Contraction relativiste des longueurs

[externo]

Les formules en cos sont bonnes. L'angle θ est l'angle d'aberration.
L'objet en mouvement se contracte, ce qui correspond à une rotation d'angle θ entre l'espace et le temps et la longueur contractée est L cosθ et le décalage de temps sur la longueur de l'objet est Lsin θ
L'invariance de la longueur d'espace-temps se manifeste par le fait que L² = L cos²θ + L sin²θ, et ce quelque soit l'angle θ donc quelque soit la vitesse de déplacement.

La métrique de Minkowski ne donne pas la longueur d'espace-temps, elle donne seulement pour les intervalles de genre temps une longueur de temps et pour les intervalles de genre espace une longueur d'espace
En outre elle est basée sur l'hypothèse que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels inertiels, c'est donc une métrique sans réalité physique. La théorie physique est fondée sur l'invariance mesurée de la vitesse de la lumière sur un aller-retour, toute hypothèse supplémentaire telle que l'invariance dans un seul sens est inutile et potentiellement anti-physique.

[Dick]

L'objet en mouvement se contracte.

J’ai expliqué pourquoi un corps ne peut se contracter à cause de sa vitesse (par rapport à quoi, d’ailleurs ?), mais seulement sous l’effet d’une force. La contraction des longueurs ne peut donc qu’être apparente (due à la perception).

ce qui correspond à une rotation d'angle θ entre l'espace et le temps

Le temps ne peut se transformer en espace et vice-versa, ce sont des entités complètement différentes. Le temps nous est intérieur, l’espace extérieur, celui-là est irréversible, celui-ci réversible.

L'invariance de la longueur d'espace-temps se manifeste par le fait que L² = L cos²θ + L sin²θ.

d’où L² = L.

et ce quelque soit l'angle θ donc quelque soit la vitesse de déplacement.

mais seulement pour L = 1 !

La métrique de Minkowski ne donne pas la longueur d'espace-temps, elle donne seulement pour les intervalles de genre temps une longueur de temps et pour les intervalles de genre espace une longueur d'espace.

Je croyais que, d’après toi, la RR était fausse.

En outre elle est basée sur l'hypothèse que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels inertiels, c'est donc une métrique sans réalité physique. La théorie physique est fondée sur l'invariance mesurée de la vitesse de la lumière sur un aller-retour, toute hypothèse supplémentaire telle que l'invariance dans un seul sens est inutile et potentiellement anti-physique.

ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve.

[externo]

Ce qui est faux est l'invariance physique de la vitesse de la lumière dans tous les référentiels inertiels. C'est une hypothèse anti-physique et qui n'a jamais été démontrée.
La lumière dans un objet mobile met plus de temps pour aller de l'arrière vers l'avant que de l'avant vers l'arrière donc on recule les horloges de l'avant et on avance celles de l'arrière pour mimer la réception simultanée des signaux et donc l'isotropie de la vitesse de la lumière à l'intérieur de l'objet mobile. La soi disant relativité de la simultanéité ce n'est que ça.
Ceux qui croient à la réalité de cette relativité de la simultanéité croient que la lumière est isotrope pour de vraie donc que l'espace change physiquement d'orientation tout seul quand on accélère exprès pour que la vitesse de la lumière ne change pas. Et en plus, du coup, devant nous ce n'est plus la Terre d'aujourd'hui que nous avons mais la Terre du futur.

[Dick]

C’est vraiment n’importe quoi !

[GDaube]

Hello,

Je vais me permettre de rappeler (ou d'expliquer) un point que beaucoup semble oublier (ou n'ont pas compris).

Une théorie n'est jamais vraie. Les lois de la physique ne sont effectivement pas écrites dans la nature. Cela implique que toute théorie doit partir de postulat. Loi qu'on peut constater mais jamais affirmer qu'elle est vraie. On peut par contre affirmer avec l'expérience qu'un postulat est faux.

Partant de ses postulats, une théorie se doit d'être cohérente. Tout ce que dit une théorie doit être une conséquence de ses postulats. Ainsi 2 théories peuvent être en contradiction mais être toutes les 2 cohérentes.
Le relativité galiléenne est tout à fait cohérente, par contre elle inclut dans ses postulats un temps absolu. L'expérience nous montre que ce postulat est faux mais elle n'en reste pas loin cohérente. De plus, on sait très bien que dans la vie de tous les jours, ce paramètre est négligeable et on continue énormément d'utiliser cette théorie en physique.
Je ne connais pas la théorie de Lorentz et je n'ai aucune envie de m'y intéresser mais il se peut tout à fait qu'elle soit cohérente.
En conclusion, vous pouvez être en désaccord avec des postulats mais vous ne pouvez pas dire que la théorie de la relativité restreinte soit incohérente. Si vous le pensez, c'est que vous ne l'avez pas comprise (et par expérience que vous n'avez pas envie de la comprendre).

[externo]

La théorie d'Einstein est ad hoc, et pourtant on prétend que ce serait celle de Lorentz qui serait ad hoc.
La théorie de Lorentz a établi que les corps en mouvement se transforment et que cette transformation implique la contraction des longueurs et la dilatation du temps. Elle est la conséquence de la diminution des forces électromagnétiques dans un environnement mobile. Cette réduction implique le raccourcissement des liaisons atomiques et moléculaires et la contraction des particules élémentaires. L'objet en mouvement ayant de nouveaux étalons d'espace et de temps les coordonnées qu'il applique au monde extérieurs ont changé. Plus généralement, et comme on le sait aujourd'hui, les transformations de Lorentz sont les équations de transformations des ondes stationnaires mobiles dans leur milieu de propagation. On en déduit que la matière est constituée d'ondes stationnaires d'éther.
La théorie d'Einstein postule qu'il ne s'agit pas d'un changement dans les coordonnées mais d'un changement dans l'espace-temps lui-même, l'objet mobile n'a pas changé, c'est l'orientation de l'espace qui a changé. Elle ne donne aucune cause physique pour cela, c'est un postulat ad hoc. La raison d'être de ce postulat est la volonté que les référentiels soient physiquement équivalents car les observations faites par les uns et les autres étant symétriques, on ne peut pas distinguer l'orientation réelle et unique de l'espace.