En fait il faut je pense arrêter de parler d'éther à tort et à travers. A un moment on va dire que la chaussette de ma grand-mère c'était l'éther.
Donc séparons les choses. Quand on parle de l'éther, on parle de l'éther luminifère, le support des ondes électromagnétiques. Litteralement, on sait que cet éther n'existe pas, tout simplement parce que le support des ondes électromagnétiques sont le champ électrique et le champ magnétique qui se déploient dans le vide. Donc il n'y a pas besoin de parler d'éther luminifère.
Ensuite, il est question d'un référentiel absolu, dans lequel la vitesse de la lumière est c. Il se trouve que ce référentiel n'existe pas, car toute mesure de la vitesse de la lumière sur un aller-retour, donne toujours c, quelque soit l'état de mouvement de l'observateur ou de la source. Et ça c'est bien le concept de relativité restreinte qui nous explique qu'il y a un lien entre l'espace et le temps, et que tout objet dans être vu comme un objet quadridimensionnel et que les lois de la physique s'écrivent dans ce langage et les lois y sont invariantes. Tout changement de référentiel galiléen passe pas des transformations de Lorentz et doivent laisser les lois invariantes. Ou dit autrement, si tu inventes des lois, si elle passe pas le test de l'invariance par transformation de Lorentz, tu peux les jeter.
Maintenant, la généralisation de la relativité restreinte aux référentiels accélérés permet d'introduire la gravitation. Au lieu que les lois doivent être invariantes par transformation de Lorentz, maintenant il faut que les lois soit covariantes.
Quel est le statut de l'accélération dans ce cas ? Par rapport à quoi on accélère ?
Pourquoi en chute libre, on est en mouvement accéléré (par rapport à la terre) mais on ne ressent pas d'accélération d'inertie d'entraînement ?
La réponse est : on accélère par rapport à l'espace-temps local, qui lui est entraîné dans un champ de gravitation.
Donc séparons les choses. Quand on parle de l'éther, on parle de l'éther luminifère, le support des ondes électromagnétiques. Litteralement, on sait que cet éther n'existe pas, tout simplement parce que le support des ondes électromagnétiques sont le champ électrique et le champ magnétique qui se déploient dans le vide. Donc il n'y a pas besoin de parler d'éther luminifère.
Ensuite, il est question d'un référentiel absolu, dans lequel la vitesse de la lumière est c. Il se trouve que ce référentiel n'existe pas, car toute mesure de la vitesse de la lumière sur un aller-retour, donne toujours c, quelque soit l'état de mouvement de l'observateur ou de la source. Et ça c'est bien le concept de relativité restreinte qui nous explique qu'il y a un lien entre l'espace et le temps, et que tout objet dans être vu comme un objet quadridimensionnel et que les lois de la physique s'écrivent dans ce langage et les lois y sont invariantes. Tout changement de référentiel galiléen passe pas des transformations de Lorentz et doivent laisser les lois invariantes. Ou dit autrement, si tu inventes des lois, si elle passe pas le test de l'invariance par transformation de Lorentz, tu peux les jeter.
Maintenant, la généralisation de la relativité restreinte aux référentiels accélérés permet d'introduire la gravitation. Au lieu que les lois doivent être invariantes par transformation de Lorentz, maintenant il faut que les lois soit covariantes.
Quel est le statut de l'accélération dans ce cas ? Par rapport à quoi on accélère ?
Pourquoi en chute libre, on est en mouvement accéléré (par rapport à la terre) mais on ne ressent pas d'accélération d'inertie d'entraînement ?
La réponse est : on accélère par rapport à l'espace-temps local, qui lui est entraîné dans un champ de gravitation.