• Paradoxe des jumeaux d'Einstein

  • La relativité générale est une théorie relativiste de la gravitation. Elle décrit l'influence sur le mouvement des astres de la présence de matière et, plus généralement d'énergie, en tenant compte des principes de la relativité restreinte. La relativité générale englobe et supplante la théorie de la gravitation universelle d'Isaac Newton.
La relativité générale est une théorie relativiste de la gravitation. Elle décrit l'influence sur le mouvement des astres de la présence de matière et, plus généralement d'énergie, en tenant compte des principes de la relativité restreinte. La relativité générale englobe et supplante la théorie de la gravitation universelle d'Isaac Newton.

 #3097  par lichee
 
oui tout a fait progressons.

que penses tu de la video qui explique ceci?

car tu pars deja du principe que l'un vieillit plus vite

 #3124  par GAIA
 
Je maîtrise mieux ma pensée. Je confirme ma pensée.

Supposons, le gars rentre de l' espace et a l' aspect d'un homme de 30 ans puisque le temps s' est ralenti, il a vieilli moins vite que celui resté sur la Terre (en temps terrien il a le même âge que celui resté sur terre 100 ans d' existence), ça on est d' accord.

Mais ou sont passé les 70 ans de temps gagné ???? boudiou ! le temps quantique, ça ça m ....

 #3195  par quantique
 
Pour la vitesse de la lumière, il faut revenir à ce qu'avait dit Einstein : elle est de 300 000 km/sec par rapport à tout et à rien ; imaginons que vous vouliez courir (très vite) après un rayon de lumière - disons que vous courez à 280 000 km/sec derrière le rayon de lumière (un peu d'entrainement sera nécessaire) et bien, le rayon de lumière s'éloignera de vous non pas à 20 000 km/Sec mais toujours à 300 000 km/sec !!

Pourquoi ? et bien la vitesse lumière (il faudrait plutôt dire la vitesse limite de la relativité mais bon) ne se déplace que dans l'espace, pas dans le temps, elle représente en quelque sorte le maillage de l'espace temps.

Ne pas oublier que, dans les équations de la relativité , la vitesse de la lumière est de 300 000 km/sec mais sans préciser un quelconque référentiel, aucun référentiel n'est indiqué dans ces équations. Quand vous dites qu'une voiture roule à 130 km/h, vous prenez n'importe quel référentiel fixe terrestre pour le dire alors que là, on dit que la lumière se déplace à 300 000 par rapport à tout - on ne peut appréhender cette notion intéressante mais mentalement difficile à visualiser qu'en prenant bien en compte cette notion d'espace temps et que l'espace et le temps sont les 2 pages d'une même feuille.

Ce n'est pas paradoxe, ce n'est pas anormal mais en parlant de la vitesse de la lumière, nous parlons en fait de notre contenant universel que nous ne pouvons visualiser vu de l'intérieur

 #3196  par MIMATA
 
Tu veux dire qu'un vaisseau qui va à 300 000km/s (par rapport à un observateur "fixe" sur Terre, se déplace à ... 300 000 km/s ...bon ok.
Si ce vaisseau allume ses phares..., il "verra" donc la lumière de ses phares aller à 300 000 km/s, jusqu'ici tout va bien mais en revanche, l'observateur sur Terre, lui,mesurera une vitesse équivalente pour le vaisseau et pour la lumière de ses phares, comme si les 2 allaient à la même vitesse ?

Si c'est ça (c'est assez grossier comme représentation, je te l'accorde), je crois avoir compris le principe, par contre, il va me falloir quelques temps pour vraiment l'assimiler :?

 #3206  par GAIA
 
Donc, la lumière est une constante et le temps est relatif. Ce qui imprime au temps sa relativité c'est le mouvement : accélération, déccélération ?
Malgré cela, nous sommes toujours en présence de sauts quantique du temps ?

 #3258  par quantique
 
La lumière est une constante, yes. Le temps est relatif pour un observateur extérieur, il reste le même pour l'observateur en mouvement. Référentiel, toujours.

Par saut quantique du temps, disons que si le temps se décompose en des instants sans durée (comme les points sans longueur qui constituent une ligne), alors nous ne vivons jamais le présent, nous sommes fixés sur l'avenir et nous nous rappelons du passé : en ce cas, notre vie est un mix permanent entre le souvenir du passé et le pressenti de l'avenir, la fugacité du présent, toujours instantané, toujours en mouvement, nous échappe totalement.

Ce principe était déjà approché il y a plusieurs siècles, par un certain Blaise Pascal qui a oublié d'être c.. (chapeau bas à ces gens qui, bien que baignés dans toute sorte de limitation de pensée, ont su voir au delà des choses 8) ).