Il est vrai que je travail sur un sujet compliqué seul et en autodidacte, sans avoir été moulé, ce qui fait de moi un marginal difficile à comprendre, ce n’est pas grave, je finirais par écrire une histoire de science fiction.
Je suis plutôt sympa, j’ai 40 ans et à peut près équilibrer. Je ne me prends pas au sérieux. Il est difficile de s’exprimer avec l’écrit. Mais j’ai vraiment besoins de savoir pourquoi personne ne réfléchis sur cette piste, bien que tout le monde en parle de différente façons.
Par exemple : imaginons que je puisse circuler sur les espaces de notre univers à des vitesses pas possible et que je m’éloigne de la terre, (des vidéos circulent sur internet…, je vois les amas de galaxies se concentrer jusqu'à former le fond diffus cosmologique). Imaginons que je sois, maintenant, à 13,7 milliards d’années lumière de la terre, je serais dans la lumière des premiers instants de notre univers… Si je continu de me diriger à l’ opposé de la terre je finirais par sortir de notre univers sur un espace ou le temps n’existe plus, où le photon n’est plus présent.
Durant tout mon trajet les galaxies étaient autour de moi, une fois en dehors, la lumière c’est considérablement atténué et j’observe notre univers. On peut remarquer un petit noyau de gaz, représentant l’onde de choc du Big Bang au centre d’une immense bulle de lumière. A mon échelle le mouvement me serait imperceptible. Si je m’éloigne de notre univers, je pourrais peut être voir des millions d’univers tournoyer autour d’un centre commun, si je m’éloigne encore, je verrais un anneau de lumière et en reculant encore tous les univers formeraient un point, jusqu'à ce que plus une onde ne me parvienne. Je serrais à ce moment à l’endroit le plus loin de notre Univers. Dans L’espace unique, le vide absolu et le noir absolu.
Voila le raisonnement un peut hors du commun de quelqu’un qui ne s’y connais pas« logique, je pense » et fini, ce qui m’amène à me poser plein de questions.
Si je mets un carton avec 5 trous de forme différente devant ma fenêtre et que j’ai un magnifique soleil, l’image du soleil parviendra à se reconstituer 5 fois sur le mur.
La lumière est l’onde la plus rapide de notre univers, elle est sujet à la gravite donc elle a tendance à courber sa trajectoire naturellement. Je suis vraiment désolé de mal utiliser les mots mais les photons pourraient former une bulle autour de la matière de l’univers. Quand on regarde le ciel avec un appareil, on se retrouve dans la situation ou on agrandit l’espace pour rechercher des ondes émises à une époque passée, (on ne se déplace pas) comment être sûr que chaque galaxie est différente ?
Dans mon système il y a reproduction d’univers, « vie » et « mort », un truc normal quoi, un début et une fin. Pas des cordes et des M ou des trucs pas possibles à imaginer comme la déformation de l’espace temps ou la gravité, je ne voudrais pas froisser l’observateur, mais je pense qu’il y doit y avoir plus simple.
Je ne sais pas encore si je suis au point pour développer mon sujet. Mais croire que l’univers est infini c’est comme croire en Dieu pour moi, au diable et tout ce qui va avec.
Bon allez bonne soirée
Dsl j'avais pas vu vos messages
j’ajoute :
MIMITA tu dis
« Le mur de Plank est le temps minimum au-delà duquel on ne peut pas remonter »
On ne peut pas remonter avant notre naissance. On ne peut pas observer avant le big bang car on observe de l’intérieur.
« Le temps n'a pas de plus petite division possible, on peut le diviser à l'infini. »
L’infini existe peut être Mathématiquement, surement pour exprimer une impuissance, mais dans la réalité ce n’ai pas possible (enfin on peut toujours diviser un zéro ça ne fera rien), même pas possible de se l’imaginer. Le temps exprime un début et l’espace exprime une fin, c’est de la logique pur de quelqu’un qui ne s’y connais pas et qui cherche à comprendre pourquoi ce n’est pas le cas.
Voit on vraiment la réalité ? Cherche-t-on vraiment au bon endroit ? Je ne sais pas. Mais j’ai réussi je pense à tout mélanger et à en faire un truc pas mal et bien différent. Le tout c’est de corriger mes erreurs et de ne pas trop froisser les esprits.