Espace temps

[theodos]

Bonjours, j'ouvre se sujet pour parler de l'espace temps.
je me suis fais une idée de l'univers que j'aimerais vous exposer, mais je n'ai pas du tout les mots qu'il faut, ni le savoir pour vérifier si ce que je pense est une bêtise, c'est pour cette raison que je souhaite vous poser des questions. Pour pouvoir mieux vous exposer mon idée par la suite.

le temps et l'espace serraient défini par les dimensions de Planck.
le temps le plus petit est 1-44s et l'espace le plus petit est 1-33m (environs)
On me dit souvent que l'espace-temps est indissociable ? pourtant Il y a l'espace et le temps.

Si j'ai bien compris à 1-44 seconde le photon s'arrête, et à 1-33m les fluctuations du vide apparaissent. Cela signifie qu'ils sont bien différents et dissociables non ?
qu'elle est le temps le plus grand ? et l'espace le plus grand ?

J'essaye de mettre au point un visuelle qui définirai le temps, et un autre qui définirait l'espace, j'ai juste à le compléter et à le revérifier un peut, j'espère que vous participerez à ma réflexion, loufoque soit elle. N’hésitez pas à me corriger.

[theodos]

Je vais vous demander un effort d’imagination important.
Imaginons que je possède un caméscope numérique ultra puissant capable de filmer jusqu’à 1^44 images par seconde. Et que je film une scène de 1 seconde : la chute d’une boule de cristal.
Que verrais-je au ralenti ? Il faut s’imaginer avoir le pouvoir d’intégrer le temps
Je n’ai que ma boule et mon sol dans la scène. Et je démarre au temps 0, avec pour hypothèse que le photon est arrêter. Je vous joins un petit schéma à lire à l’endroit et à l’envers.

1) Le temps est arrêté. Le photon ne circule plus, je suis sur pause ou stop. Le noir absolu règne.
(Ce moment impossible correspond à la création de notre univers, quand l’espace n’existait pas encore).
2) 1-44s/s à 1-42s/s : le photon se met en mouvement et la lumière apparaît pour éclairer ma scène.

3) 1-42s/s à 1-37s/s : je vois ma boule parfaitement net, en apesanteur.
(Je verrais le vide se fendre sous l’effet d’un rayon laser)
A cette échelle de temps, il me faudrait 1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 d’années pour voir la boule toucher le sol.
Si j’accélère un peut, ma scène apparaît comme un liquide en agitation faisant vibrer et gonfler la surface de ma boule uniformément, jusqu’à ce qu’il y a division d’espace. A cette échelle le vide se mesure d’un centre à un autre.

4) 1-37s/s à 1-34s/s : les deux espaces (en dessous et au dessus de la sphère) s’agitent différemment et agissent vers le centre de la boule à la façon d’un liquide. Repoussée par la matière et attirée par le vide, la boule se déforme vers le haut.

5) 1-34s/s à 1-30s/s : les ondes du vide inégales se superposent au centre de ma boule pour créer un sillage qui la traverse, la disloque et la transforme en énergie. Si je pouvais réduire le temps par des milliards de milliard, de milliard, de milliard de milliard, de milliard, de milliard... de fois, et observer ce qu’il se passe dans ces moments, je verrais... le sol disparaître et une colonne d’énergie monter au ciel. Un rayon de lumière dirigé vers l’opposé du centre de mon sol.
6) 1-28s/s : les énergies s’additionnent, fusionnent. Je suis dans la lumière et ne peut plus rien voir.
7)1-25s/s : la ligne d’énergie de ma boule réapparaît vers le bas.
(En accélérant, je verrais l’énergie de ma boule s’étirer vers le haut, puis s’étirer vers le bas produisant une sorte de colonne d’énergie, puis son sommet descend, puis le bas remonte pour reformer la boule, comme un rythme cardiaque).

8) 1-15s/s : l’énergie se concentre. Les ondes de la matière apparaissent, faisant à nouveau réagir ma boule. Elle se déforme à nouveau comme un liquide, cette fois ci, attiré par le sol.
En accélérant un peut, elle reprend sa forme solide.

9) 1-5s/s ma boule est parfaite, presque inerte en apesanteur, son mouvement est imperceptibles.
Il me faudrait 69 jours pour la voir tomber
(je verrais les ondes se propager sur la matière).
1 millième de seconde par seconde et ma boule tombe en 16mn 40s
(je marcherais à la vitesse d’un avion de ligne)
1 centième de seconde par seconde et ma boule tombe en 3mn 20s
(je marcherais à la vitesse d’une voiture roulant sur l’autoroute)
10) 1/2s/s je vois ma boule tomber en 2 secondes
11) 1s/s je vois ma boule tomber en 1 seconde

Une fois ma boule immobilisée au sol, les énergies s’additionnent, (moins le mouvement de la boule) jusqu’à ce que je mette un coup de pied dedans, à défaut elles fusionneront en quelques millions d’années. En fait dans se système, il n’y a jamais fusion, il n’y a que combinaison ou addition.

L’espace le plus petit se retrouverait au centre du temps de l’univers. L’espace le plus grand étant lui-même se retrouve dans le passé à nos yeux et nous sommes presque en son centre. Ce qui impliquerait un point extérieur désignant le vide absolu. Une énergie de pression extérieure à notre univers à peut près égal à l’énergie de sa matière ou l’énergie qu’il faudrait pour arriver au temps 0.

Que pensez-vous de ça ? ça peut tenir la route ? Les constantes se situeraient au centre ou à l’extrémité du temps pour délimiter notre univers.

[MIMATA]

BOnjour,

Désolé mais je ne comprends toujours rien à ce que tu dis

Pourquoi veux-tu que le "temps le plus petit" soit 1^-44 ?

Sinon, le temps et l'espace seraient en fait les deux aspect d'un même phénomène et ils sont relatifs.

[theodos]

désolé pour mon langage peut adapté. je parlais du plus petit morceau de temps possible. je pensais que c'était le temps de Planck ? si on ralenti le temps à l'extrême le photon doit finir par s'arrêter, Non ?

Ce que je voulais dire c'est l'antimatière ne se trouverait elle pas dans le temps ? dans touts les instants que compose un mouvement. Cela signifierait que tout est défini à l'avance et que nous percevons une moyenne constante de ce qu'il se passe autour de nous.

[Eric31]

J'ai une vision de la lumière différente de celle que peuvent avoir les scienTifiques...

[Eric31]

Si sa intéresse des gens, je Pense que jusqu'à preuve du contraire les scientifique ont toujours chercher la vérité sans jamais l'obtenir. Mais toujour en s'y rapprochant. Et cela vaut également pour la lumière même si le faite qu'elle soit une constante est sûrement juste. Mais ...