Second volet de ma croisade contestataire : la RG
Je suis très impressionné par la RG, c'est un chef-d'oeuvre de clairvoyance, mais force est de constater qu'elle ne fonctionne parfaitement qu'à notre échelle.
Pour la faire fonctionner à plus grande échelle il faut rajouter une matière noire que personne n'a jamais pu voir.
A l'échelle des particules cela ne va pas non plus.
J'aime bien l'approche de M.Nottale avec sa relativité d'échelle.
J'ai l'impression qu'il manque quelque chose comme une transformation de Lorentz, la RG marche à notre échelle mais si l'écart est trop important un puissant effet relativiste fait son apparition.
Le problème pour moi est de comprendre cet effet et non de faire correspondre l'univers à mes connaissances en créant matière noire et physique quantique.
Je vois une autre manière de mettre en évidence le défaut à travers la notion de référentiel inertiel.
Démarrons de la chute des corps, on nous dit : tous les corps en chute libre subissent la même accélération quelle que soit leur masse.
La-dessus on me colle dans un labo avec un cobaye, moi je garde les pieds sur terre tandis qu'à lui on lui retire le sol pour qu'il tombe en chute libre.
Et là on m'explique que l'accélération subie par le cobaye est une mesure de la gravitation que je ressens, un raisonnement qui me parait d'une logique implacable.
Je suis là, dans le labo, et je réfléchis, tant et si bien que j'en oubli le cobaye qui continu d'accélérer, au bout d'un moment il s'est plaint, il commençait à avoir la trouille le gars et je dois bien reconnaitre que ça commençait à aller vraiment vite, d'ailleurs je me suis demandé jusqu'ou il allait accélérer comme ça, Il gueulait bien un peu mais je l'ai ... heu .... laissé tomber.
Il me semble peu probable qu'il dépasse c, alors il va bien falloir à un moment ou un autre qu'il arrête d'accélérer ou plutôt que son accélération diminue.
Et sur la chute des corps cela donne : tous les corps en chute libre et à la même vitesse subissent la même accélération quelle que soit leur masse.
La différence entre les deux est une transformation de Lorentz.
Je suis très impressionné par la RG, c'est un chef-d'oeuvre de clairvoyance, mais force est de constater qu'elle ne fonctionne parfaitement qu'à notre échelle.
Pour la faire fonctionner à plus grande échelle il faut rajouter une matière noire que personne n'a jamais pu voir.
A l'échelle des particules cela ne va pas non plus.
J'aime bien l'approche de M.Nottale avec sa relativité d'échelle.
J'ai l'impression qu'il manque quelque chose comme une transformation de Lorentz, la RG marche à notre échelle mais si l'écart est trop important un puissant effet relativiste fait son apparition.
Le problème pour moi est de comprendre cet effet et non de faire correspondre l'univers à mes connaissances en créant matière noire et physique quantique.
Je vois une autre manière de mettre en évidence le défaut à travers la notion de référentiel inertiel.
Démarrons de la chute des corps, on nous dit : tous les corps en chute libre subissent la même accélération quelle que soit leur masse.
La-dessus on me colle dans un labo avec un cobaye, moi je garde les pieds sur terre tandis qu'à lui on lui retire le sol pour qu'il tombe en chute libre.
Et là on m'explique que l'accélération subie par le cobaye est une mesure de la gravitation que je ressens, un raisonnement qui me parait d'une logique implacable.
Je suis là, dans le labo, et je réfléchis, tant et si bien que j'en oubli le cobaye qui continu d'accélérer, au bout d'un moment il s'est plaint, il commençait à avoir la trouille le gars et je dois bien reconnaitre que ça commençait à aller vraiment vite, d'ailleurs je me suis demandé jusqu'ou il allait accélérer comme ça, Il gueulait bien un peu mais je l'ai ... heu .... laissé tomber.
Il me semble peu probable qu'il dépasse c, alors il va bien falloir à un moment ou un autre qu'il arrête d'accélérer ou plutôt que son accélération diminue.
Et sur la chute des corps cela donne : tous les corps en chute libre et à la même vitesse subissent la même accélération quelle que soit leur masse.
La différence entre les deux est une transformation de Lorentz.