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Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :dimanche 11 février 2018 à 14:47
par bongo
En effet, à partir du moment où la solution est à symétrie sphérique, la solution extérieure ne dépend pas de ce qu'il y a à l'intérieur. Ce qui veut dire que si ton astre s'effondre tout en conservant une symétrie sphérique, cela n'a aucun effet sur son champ de gravitation extérieur.

Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :jeudi 15 février 2018 à 20:11
par Markus Bloch
Merci. Il y a plus d'un an, j'avais posté un essai d'explication de MOND en partant d'une hypothèse de courbure minimale possible de l'espace temps, ce qui conduisait à une dépendance de la masse de la galaxie en V**3 (au lieu de V**4: Tully-Fisher). Cette interprétation était pour moi un exercice qui essayait de cerner l'origine physique de MOND, à supposer que ce paradigme soit valide. Tu avais eu à l'époque l'amabilité de lire ces textes , et de me répondre. Tu avais écrit que, pour toi, il s'agissait plutôt d'un problème d'accélération minimale, qui s'exprimerait au moyen de la constante a0 de MILGROM. J'ai repris ce raisonnement sur l'accélération, et l'ai posté il y a plusieurs mois; j'ai été surpris de n'avoir aucun commentaire. J'ai essayé de raisonner sur l'espace intergalactique, où il manquerait, malgré l'utilisation de MOND , un facteur de 2 à 3 sur la masse, en induisant une méthode d'utilisation de MOND qui pourrait permettre d'obtenir un résultat correct dans cette région. Même si mon explication est complètement farfelue, il me semble qu'il faille , si MOND est valide (au sens physique) à l'intérieur des galaxies, trouver une méthode d'application de MOND cohérente dans l'espace intergalactique, car il semble étrange, si il n'y a pas de masse cachée dans les galaxies, de devoir en trouver dans l'espace intergalactique. Mon document n'a rien à voir avec celui où je raisonnais sur la courbure minimale. Je le reposte, en espérant avoir des réactions. Les idées viennent parfois pas d'étranges détours. Souvenons nous que l'un des premiers avis intéressants sur le paradoxe de la nuit noire avait été émis par le poète Edgar Poe , qui n'était pas un expert en sciences physiques.

Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :jeudi 22 février 2018 à 14:58
par bongo
Il faudrait que je passe du temps sur ce que tu as écrit, mais... je suis assez occupé en ce moment, sur trop de sujets.

Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :samedi 24 février 2018 à 22:14
par Markus Bloch
OK. J'ai une question, si tu as pu parcourir le document. Est-il suffisamment compréhensible ?

Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :mercredi 28 février 2018 à 11:33
par bongo
Je ne sais pas, il faut que je regarde plus en détails, tu veux te faire publier quelque part ?

Re: Courbure de l'espace et gravitation

Message non luPublié :mercredi 28 février 2018 à 20:09
par Markus Bloch
Effectivement, je voudrais parvenir à un texte publiable; cependant, je n'ai aucune possibilité d'avoir un relecteur critique, ce qui signifie que, pour l'instant, ça ne vaut pas grand chose.
De plus, il manque (au minimum) l'étude de la zone de transition de MOND. Je travaille dessus, et je pense avoir trouvé une solution, toujours dans le cadre de la RG 1D+1, mais cette fois avec une métrique dynamique, car pour la métrique statique, il n'y a qu'une solution: celle qui cadre avec MOND asymptotique. Cependant, pour la métrique dynamique, il y a une infinité de solutions, et je ne vois pas actuellement comment justifier celle qui cadre avec MOND transition.
J'ai constaté que MOND transition colle très bien avec une dépendance en 1/(r*racine(r) ).
On aurait donc :
Newton/RG standard : a ~ 1/r**2
MOND transition : a~ 1/(r*racine(r) )
MOND asymptotique : a ~ 1/r
Question: Pourrait-il exister une raison physique pour justifier cette dépendance incrémentale ?
Pour l'instant, et faute d'obtenir une critique négative argumentée, je continue à travailler sur mon hypothèse à cause de la prédiction obtenue finalement: MOND interprété pourrait expliquer le défaut de masse existant encore dans le domaine intergalactique. Mais il manque encore, aussi, l'extension : MOND-lentille gravitationnelle