Bonjour à tous ainsi qu’à tous les pékins du coin.
Voici un sujet magnifique, un de mes préférés :
Comment quitter notre planète afin d’en visiter une autre sans pour autant heurter «quiconque » (Tiens ! celui-là tu l’avais oublié, Edji !)
Qu’est-ce qui nous empêche de le faire ? « La vitesse » bien sûr ! Une très grande vitesse qui sous-entend une énergie, une force capable d’emmener nos vaisseaux au-delà de la vitesse de la lumière.
Nous avons cependant tout ce qu’il faut techniquement pour voyager dans l’espace : capsules, atterrisseurs (avec peut-être quelques modifications), etc…. sauf une force fondamentale apte à propulser ou à tracter nos véhicules spatiaux au-delà de 300 000 km/s
Doit-on baisser les bras, capituler et ne plus jamais envisager de quitter notre globe au-delà du système solaire ?
Se tournant vers le passé et prenant en compte les avancées technologiques notamment en physique, nous nous apercevons qu’elles sont fulgurantes.
Un exemple : en 1850 les pékins les plus nantis se déplaçaient à cheval, en 1950 en jet privé, en 2050 ils auront abandonné leur résidence martienne pour aller au-delà.
Quelle pourrait donc être cette énergie capable de nous projeter si loin et si vite ?
Pourquoi pas la gravitation ? N’en déplaise à Mimata.
Des engins spatiaux mus grâce à la gravitation, à l’attraction et non à la propulsion, ce n’est pas si absurde. Nos vaisseaux se servent déjà de la gravitation d’un astre pour accroître leur vitesse ou modifier leur trajectoire. Pourquoi ne pas s’en servir dès le départ et tout au long du trajet ? Cela nécessite bien entendu d’approfondir nos connaissances sur cette force fondamentale si mystérieuse.
Pourtant Mimata nous dissuade d’espérer de tels voyages paradoxalement à cause de nos connaissances scientifiques.
Oui c’est vrai, il y a aujourd’hui un mur infranchissable, c’est le mur de la lumière ou plus précisément la théorie de la relativité comme autrefois la religion au temps de Galilée.
Gare à ceux qui essaient de le franchir, ce mur, les scientifiques attachés à mesurer la vitesse des neutrinos en savent quelque chose.
SaM42 tu m’as l’air optimiste envers l’avenir des voyages spatiaux. Tu as certainement raison, c’est le propre de l’homme condamné, sans raison d’ailleurs, à aller voir ailleurs.
Prends garde quand tu échangeras des idées avec Edji, sois attentif à ne pas trop critiquer ces propos, j’en sais quelque chose. Le nombre de noms d’oiseaux dont il m’a affublé ne rentrerait pas dans une volière.
Sinon ce sauvageon a de bonnes connaissances en astronomie ainsi qu’en vocabulaire.
Je préférais t’avertir car tu m’as l’air bien susceptible.
Sache que pour le terrible Edji « pauvre pékin », sur l’échelle des valeurs, équivaut à un titre de noblesse.
Bien le bonjour. Père Uranus.