Dans le cadre de l' Année Polaire Internationale 2007-2008, après son expédition au Pôle Nord, en Arctique, Jean-Louis Etienne prépare une nouvelle expédition baptisée "TOTAL POLE AIRSHIP".
Alors, notre Jean-Lou, préoccupé par le réchauffement climatique ou sur les traces de l' Amiral Byrd ? :Y-6:
Lors de la Mission Banquise effectuée en 2002, en partenariat avec l' Institut Polaire Français (Institut fondé par Paul Emile Victor - IPEV) il part du pôle nord et se laisse dériver au gré des courants de l'Océan Arctique dans une capsule "tout confort" la "Polar Observer", équipée de panneaux solaires, et se laisse glisser sur une trajectoire chaotique qui l'emmène à 86,37° de latitude nord ou un hélico vient le récupérer.
Il constate que la banquise se réduit comme peau de chagrin de 6 % et dont l'épaisseur dans certaines zones a diminuée de 40 %.
La banquise du Grand Nord, représente en hiver 14 millions de kilomètres carrés et la moitié en été.
Fort de cette aventure et expérience, Jean-Louis Etienne retournera dans le Pôle Nord en Avril 2008 afin de mesurer l'épaisseur de la banquise de l'Océan Arctique.
Mais, cette fois ci, à bord d'un dirigeable qui sera équipé, en dessous, d'un appareil EMbird, mis au point par un institut polaire allemand, enregistrant l'épaisseur de la glace.
Il profitera de conditions climatiques idéales à cette période de l'année pour survoler la banquise en se laissant dériver pour effectuer des relevés jusqu'à la latitude 85°N.
Puis, un survol en direction du Pôle Nord magnétique. Arrivée en Alaska en Mai 2008 après 10.000 kilomètres de mesures.
Un relevé de la topographie de la surface sera réalisé par un scanner laser et photogrammétrie aérienne et un robot sous-marin sera téléguidé depuis la surface par la Station Russe Barnéo du 13 au 27 Avril 2008.
La superposition des vues aériennes et océaniques permettront d'obtenir une topographie en 3 D.
Alors, notre Jean-Lou, préoccupé par le réchauffement climatique ou sur les traces de l' Amiral Byrd ? :Y-6:
Lors de la Mission Banquise effectuée en 2002, en partenariat avec l' Institut Polaire Français (Institut fondé par Paul Emile Victor - IPEV) il part du pôle nord et se laisse dériver au gré des courants de l'Océan Arctique dans une capsule "tout confort" la "Polar Observer", équipée de panneaux solaires, et se laisse glisser sur une trajectoire chaotique qui l'emmène à 86,37° de latitude nord ou un hélico vient le récupérer.
Il constate que la banquise se réduit comme peau de chagrin de 6 % et dont l'épaisseur dans certaines zones a diminuée de 40 %.
La banquise du Grand Nord, représente en hiver 14 millions de kilomètres carrés et la moitié en été.
Fort de cette aventure et expérience, Jean-Louis Etienne retournera dans le Pôle Nord en Avril 2008 afin de mesurer l'épaisseur de la banquise de l'Océan Arctique.
Mais, cette fois ci, à bord d'un dirigeable qui sera équipé, en dessous, d'un appareil EMbird, mis au point par un institut polaire allemand, enregistrant l'épaisseur de la glace.
Il profitera de conditions climatiques idéales à cette période de l'année pour survoler la banquise en se laissant dériver pour effectuer des relevés jusqu'à la latitude 85°N.
Puis, un survol en direction du Pôle Nord magnétique. Arrivée en Alaska en Mai 2008 après 10.000 kilomètres de mesures.
Un relevé de la topographie de la surface sera réalisé par un scanner laser et photogrammétrie aérienne et un robot sous-marin sera téléguidé depuis la surface par la Station Russe Barnéo du 13 au 27 Avril 2008.
La superposition des vues aériennes et océaniques permettront d'obtenir une topographie en 3 D.