Fait suite à La physique quantique déterministe et les biquaternions (Cl(0,3))
La nature spinorielle de l'électron
Je vous ai donné un article de Milo Wolff sur le spin qui s'intitule "Origin of Electron Spin" et qui explique que le spin est la rotation centrale de l'espace physique et qu'il est responsable de la réflexion des ondes par rotation du médium. Lafrenière ne croit pas à cette rotation et parle d'un "rebond dur". C'est cette rotation de spin qui produit l'inversion de phase de l'électron. En 2D on ne voit pas de rotation et c'est pourquoi Lafrenière n'y croyait pas, de même que les gouttes marcheuses ne révèlent pas de rotation mais en 3D elle doit se manifester.
Les ondes IN et OUT des électrons s'étendent à travers tout l'univers car les ondes cessent d'être stationnaire pour devenir progressive er produire le champ électromagnétique, donc l'onde stationnaire de l'électron s'appauvrit en énergie et doit se ravitailler dans le champ de Higgs.
```
∂²Ψ/∂r² + (2/r) ∂Ψ/∂r - (1/c²) ∂²Ψ/∂t² = 0
```
Comment est interprété `exp(iωt)` en Mécanique Quantique Standard et dans le Formalisme de l'Algèbre Géométrique (AG) de Hestenes ?
La nature spinorielle de l'électron
Je vous ai donné un article de Milo Wolff sur le spin qui s'intitule "Origin of Electron Spin" et qui explique que le spin est la rotation centrale de l'espace physique et qu'il est responsable de la réflexion des ondes par rotation du médium. Lafrenière ne croit pas à cette rotation et parle d'un "rebond dur". C'est cette rotation de spin qui produit l'inversion de phase de l'électron. En 2D on ne voit pas de rotation et c'est pourquoi Lafrenière n'y croyait pas, de même que les gouttes marcheuses ne révèlent pas de rotation mais en 3D elle doit se manifester.
Les ondes IN et OUT des électrons s'étendent à travers tout l'univers car les ondes cessent d'être stationnaire pour devenir progressive er produire le champ électromagnétique, donc l'onde stationnaire de l'électron s'appauvrit en énergie et doit se ravitailler dans le champ de Higgs.
Introduction : Vers une Description Géométrique du Spin avec Cl(0,3)Formulez l'équation d'onde 1D + T au repos sous la forme des ondes IN et OUT et sous la forme totale.
Notre exploration s'appuie sur le modèle de Milo Wolff, qui postule une origine physique pour le spin de l'électron, tout en cherchant à le formaliser et à l'étendre dans le cadre de l'algèbre de Clifford Cl(0,3). Cette algèbre, représentant un espace elliptique, offre des outils géométriques potentiellement plus riches pour décrire certains aspects du modèle de Wolff, notamment la transformation des ondes IN en ondes OUT et la nature fondamentale du spin.
1. Spin, Rotation de l'Espace et Réflexion des Ondes :
* Wolff et la Rotation Sphérique : Dans son article "The Physical Origin of Electron Spin", Wolff décrit explicitement le spin de l'électron comme une rotation sphérique de l'espace au centre de l'onde stationnaire. Il ne s'agit pas d'une rotation au sens classique (comme une toupie), mais d'une rotation topologique qui a la propriété de revenir à son état initial après deux tours complets (720 degrés), ce qui correspond au spin 1/2 des fermions. Cette rotation est mathématiquement décrite par le groupe SU(2).
* Rotation de l'Espace Physique et Cadre Cl(0,3) : Wolff affirme que cette rotation concerne l'espace physique lui-même, ou plus précisément, l'éther qui constitue l'espace. Dans notre interprétation, cet espace est modélisé par l'algèbre Cl(0,3). Le groupe de spin Spin(0,3) étant isomorphe à SU(2), Cl(0,3) fournit un cadre naturel pour cette rotation. Ce n'est pas une simple rotation de la phase de l'onde (au sens d'un nombre complexe), mais une rotation du milieu dans lequel l'onde se propage, ou une transformation interne de la structure ondulatoire elle-même.
* Réflexion et Inversion de Phase (Transformation IN↔OUT) : Selon Wolff, cette rotation sphérique au centre de l'électron est responsable de la réflexion de l'onde IN et de sa transformation en onde OUT . La nature de cette transformation, qui implique une "contraction" suivie d'une "dilatation" de l'onde, pourrait être particulièrement bien appréhendée par la géométrie de Cl(0,3), où des transformations de type "rotation scalaire-vecteur" (`exp(θfᵢ)`) sont possibles, en plus des rotations SU(2) générées par les bivecteurs, qui régissent le spin lui-même.
* Lafrenière : "Rebond Dur" vs. Rotation : Lafrenière, comme vous le soulignez, ne croyait pas à la rotation sphérique proposée par Wolff. Il parlait plutôt d'un "rebond dur" . Cependant, cette image est moins apte à capturer la nature continue et topologique de la transformation SU(2) inhérente au spin 1/2.
* Rotation en 2D et Limites de la Visualisation : La rotation sphérique de Wolff, relevant de SU(2), est intrinsèquement tridimensionnelle et difficile à visualiser en 2D, ce qui explique les limites des représentations planes.
2. Électron de Wolff et Ondes IN/OUT dans Cl(0,3) :
* Électron : L'électron est une onde stationnaire dans l'éther (décrit par Cl(0,3)), résultant de la superposition d'ondes IN et OUT.
* Ondes IN/OUT : Dans le modèle original de Wolff, ce sont des ondes scalaires . Dans notre transposition en Cl(0,3), elles peuvent être vues comme des multivecteurs (par exemple, des éléments de la sous-algèbre paire, isomorphe aux quaternions, comme `Ψ(r,t) = Amplitude(r) * exp(Bωt)` où `B` est un bivecteur de Cl(0,3) et `B²=-1`). Ces ondes ne sont pas des ondes électromagnétiques mais des ondes de structure de la matière, ou des ondes longitudinales du champ de Higgs dans votre interprétation.
* Électromagnétisme (Champ) : Le champ électromagnétique statique (ou quasi-statique) d'une particule chargée est une manifestation de la structure permanente de ses ondes IN/OUT étendues. Ce champ est responsable de l'interaction de Coulomb.
* Ondes Électromagnétiques (Lumière) : La lumière (onde électromagnétique rayonnée) est une perturbation transversale distincte, générée par l'accélération des particules chargées.
3. Manifestations Ondulatoires de l'Électron : Champ Permanent et Rayonnement Transitoire :
Il est crucial de distinguer deux types de phénomènes ondulatoires associés à l'électron :
* A. Champ Ondulatoire Permanent (associé au Champ Électrostatique) :
* Cause : La présence même de l'électron en tant qu'onde stationnaire (structure IN/OUT) dans l'éther Cl(0,3).
* Nature : Les ondes IN/OUT s'étendent dans l'espace et leur superposition crée un champ de perturbation permanent autour du centre de la particule. Si ces ondes sont interprétées comme des ondes longitudinales, ce champ est à l'origine du champ électrostatique .
* Interaction de Coulomb : L'interaction de Coulomb entre charges résulte de la superposition et de l'interférence de ces champs ondulatoires permanents.
* Analogie avec les gouttes marcheuses : Ces ondes permanentes sont analogues aux ondes de surface continuellement générées par les gouttes marcheuses, indépendamment de leur accélération. Elles guident la particule et médiatisent ses interactions statiques.
* Énergie : L'énergie de ce champ permanent est intrinsèquement liée à la masse et à la structure de l'électron, et à son interaction avec le champ de Higgs qui maintient la résonance.
* B. Rayonnement Électromagnétique Transitoire (Lumière) :
* Cause : L'accélération de l'électron (changement de son état de mouvement).
* Nature : L'accélération déforme la structure d'onde stationnaire, provoquant l'émission d'une onde transversale distincte qui se propage. C'est la lumière (ou onde électromagnétique rayonnée).
* Caractère transitoire : Ce rayonnement n'a lieu que pendant l'accélération . Un électron en mouvement uniforme (non accéléré) ne rayonne pas de lumière de cette manière.
* Énergie : L'énergie de cette onde lumineuse provient de la source d'énergie qui cause l'accélération et est puisée dans l'énergie cinétique (ou potentielle) de l'électron.
4. Champ de Higgs et ondes stationnaires :
(Peu de changements ici, sauf pour noter que les "ondes stationnaires" sont maintenant des entités de Cl(0,3).)
* Champ de Higgs : Le champ de Higgs est un champ d'ondes longitudinales qui remplit l'éther.
* Masse : Les ondes stationnaires de l'électron (multivecteurs de Cl(0,3)) interagissent avec le champ de Higgs pour acquérir leur masse .
* Stabilité : Le champ de Higgs joue un rôle crucial dans la stabilité et le maintien de la structure de l'onde stationnaire de l'électron.
5. Épuisement de l'énergie du champ de Higgs :
* Absorption continue : L'électron, en tant qu'onde stationnaire, absorbe continuellement de l'énergie du champ de Higgs pour maintenir sa masse et son intégrité.
* Rayonnement (Perte d'énergie de l'onde stationnaire) : Vous mentionnez que "l'onde stationnaire de l'électron s'appauvrit en énergie et doit se ravitailler". Cela pourrait être lié à la nécessité de maintenir l'extension de son champ permanent (point 3.A) ou à d'autres processus non encore spécifiés. Le rayonnement de lumière (point 3.est une perte d'énergie distincte liée à l'accélération.
* Compensation : Pour rester stable, l'électron doit compenser toute perte d'énergie intrinsèque en absorbant de l'énergie du champ de Higgs.
6. Analogie avec une pompe : (Inchangé)
* Pompe à énergie : On peut voir l'électron comme une sorte de "pompe" à énergie .
* Source d'énergie : Le champ de Higgs sert de source d'énergie .
7. Lien avec la gravitation : (Inchangé dans son principe, mais la "déformation de l'éther" concerne maintenant un éther décrit par Cl(0,3).)
* Déformation de l'éther : L'absorption d'énergie du champ de Higgs par l'électron déforme l'éther (Cl(0,3)) environnant.
* Gravitation : Ce gradient de densité d'énergie est interprété comme la gravitation .
8. Expansion de l'univers : (Inchangé dans son principe.)
* Tension de l'éther : Dans les vides cosmiques , la densité d'énergie du champ de Higgs est plus élevée, créant une tension dans l'éther.
* Expansion : Cette tension provoque l'étirement de l'éther .
* Croissance des objets : Les objets matériels, étant faits d'ondes stationnaires dans l'éther, grandissent avec l'expansion de l'éther.
Équation d'onde pour un électron au repos (1D + T) dans le cadre de Cl(0,3) :Montrez que l'électron est la solution de l'équation
Nous formulons ici l'équation d'onde pour un électron au repos, en transposant le concept des ondes IN et OUT de Wolff dans l'algèbre Cl(0,3). Nous utilisons une version simplifiée à une dimension spatiale (x) et une dimension temporelle (t). Les constantes d'amplitude globales sont omises pour la clarté du principe.
Dans ce cadre, l'unité imaginaire `i` de la physique standard est remplacée par un bivecteur unitaire spatial `B` de Cl(0,3) (par exemple, `B = f₁f₂`, avec `B² = -1`). Ce bivecteur `B` est associé au plan intrinsèque du spin de la particule. L'évolution temporelle `exp(Bω₀t)` représente alors une rotation dans le plan {Scalaire, Bivecteur B}, où `ω₀t` est l'angle du rotor spinoriel.
1. Ondes IN et OUT (séparément) dans Cl(0,3) :
* Onde IN (convergente, se propageant vers x = 0) :
```
Ψ_IN(x, t) = (1/x) * exp(B(ω₀t + k₀x))
```
* Interprétation :
* `(1/x)` : Représente l'amplitude de l'onde, qui augmente à mesure qu'elle converge vers le centre (x = 0).
* `exp(B(ω₀t + k₀x))` : Représente l'oscillation spinorielle (rotation {Scalaire, Bivecteur B}) et la propagation de l'onde vers le centre.
* `ω₀` : Fréquence angulaire du rotor spinoriel , liée à l'énergie de masse de l'électron (`ħω₀ = mc²`).
* `k₀` : Nombre d'onde, lié à la longueur d'onde. Pour que cette onde soit solution de `□Ψ=0` (avec `Ψ` déjà massive par `ω₀`), il faut `k₀ = ω₀/c = mc/ħ` (correspondant à la longueur d'onde de Compton).
* `B` : Bivecteur unitaire de Cl(0,3) associé au spin, jouant le rôle de l'unité imaginaire pour la phase et la rotation interne.
* Onde OUT (divergente, s'éloignant de x = 0) :
```
Ψ_OUT(x, t) = (1/x) * exp(B(ω₀t - k₀x))
```
* Interprétation :
* `(1/x)` : L'amplitude diminue à mesure qu'elle s'éloigne du centre.
* `exp(B(ω₀t - k₀x))` : Représente l'oscillation spinorielle et la propagation de l'onde s'éloignant du centre.
* `ω₀`, `k₀`, `B` : Mêmes significations que pour l'onde IN.
2. Onde stationnaire résultante (électron au repos) dans Cl(0,3) :
L'électron au repos est modélisé comme la superposition des ondes IN et OUT. Une forme courante pour obtenir une structure spatiale en sinus est :
`Ψ(x, t) = Ψ_IN(x, t) - Ψ_OUT(x, t)`
```
Ψ(x, t) = (1/x) * [exp(B(ω₀t + k₀x)) - exp(B(ω₀t - k₀x))]
= (1/x) * exp(Bω₀t) * [exp(Bk₀x) - exp(-Bk₀x)]
```
* Simplification : En utilisant l'identité `exp(Bθ) - exp(-Bθ) = 2Bsin(θ)` (car `B²=-1`), on obtient :
```
Ψ(x, t) = (1/x) * exp(Bω₀t) * (2Bsin(k₀x))
= (2B/x) * sin(k₀x) * exp(Bω₀t)
```
Ou, en réordonnant et en absorbant `2B` dans une constante d'amplitude `A_B` (qui est maintenant un bivecteur) :
```
Ψ(x, t) = (A_B/x) * sin(k₀x) * exp(Bω₀t)
```
Développons `exp(Bω₀t) = cos(ω₀t) + Bsin(ω₀t)`:
```
Ψ(x, t) = (A_B/x) * sin(k₀x) * [cos(ω₀t) + Bsin(ω₀t)]
```
* Interprétation :
* `(A_B/x) * sin(k₀x)` : Représente l'enveloppe spatiale bivectorielle de l'onde stationnaire. Sa longueur d'onde est `λ₀ = 2π/k₀ = h/mc` (longueur d'onde de Compton).
* `exp(Bω₀t)` : Représente l'oscillation temporelle spinorielle (rotation {Scalaire, Bivecteur B}) de l'onde stationnaire. L'état interne de l'onde (sa nature scalaire vs bivectorielle `B`) oscille avec la fréquence angulaire spinorielle `ω₀`.
* L'onde `Ψ(x, t)` est un multivecteur (Scalaire + Bivecteur, c'est-à-dire un quaternion si `B` est un bivecteur simple) dont l'amplitude est modulée spatialement et dont l'orientation interne tourne.
Justification de la Nature Spinorielle et de la Périodicité 4π Physique :
L'expression `exp(Bω₀t)` décrit la partie spinorielle/temporelle. L'angle du rotor est `α = ω₀t`. Nous interprétons cet angle de rotor comme étant la moitié de l'angle de rotation physique `θ_phys` pertinent pour le "système" ou le "plan de rotation interne" de l'onde : `α = θ_phys / 2`.
* Lorsqu'une rotation physique complète de 360° (θ_phys = 2π) a eu lieu, l'angle du rotor est `α = ω₀t = π`. Le rotor `exp(Bπ)` vaut `-1`. L'onde `Ψ` change de signe : `Ψ → -Ψ`. C'est l'inversion de phase caractéristique du spin 1/2.
* Pour que le rotor revienne à `+1` (et `Ψ` à son état initial sans changement de signe), il faut un angle de rotor `α = ω₀t = 2π`. Ceci correspond à une rotation physique de 720° (θ_phys = 4π) .
Cela unifie la description de l'onde avec sa nature fermionique, la fréquence `ω₀` (où `ħω₀ = mc²`) étant la fréquence de base du rotor spinoriel. La fréquence du cycle physique complet de l'onde (qui revient à l'identique) est `ω₀/2`.
```
∂²Ψ/∂r² + (2/r) ∂Ψ/∂r - (1/c²) ∂²Ψ/∂t² = 0
```
D'accord, analysons l'équation d'onde sphérique et voyons comment l'électron, tel que nous le concevons dans notre modèle Cl(0,3) basé sur Wolff, peut en être une solution.Quel est le lien entre l'oscillation temporelle et un spineur en physique standard, et comment cela se compare-t-il à notre modèle Cl(0,3) ?
L'équation à résoudre (Équation d'onde de d'Alembert en coordonnées sphériques pour chaque composante de Ψ) :
L'équation de base est l'équation d'onde sphérique ("Formula 1" dans le document de Wolff), qui est l'équation de d'Alembert pour des champs à symétrie sphérique :
```
∂²Ψ/∂r² + (2/r) ∂Ψ/∂r - (1/c²) ∂²Ψ/∂t² = 0 (soit □Ψ = 0)
```
où :
* Dans notre cadre Cl(0,3), `Ψ` est un multivecteur (un quaternion de la forme `S(r,t) * 1 + P(r,t) * B_s`, où `S` et `P` sont des fonctions scalaires réelles et `B_s` un bivecteur unitaire spatial avec `B_s²=-1`). L'équation `□Ψ = 0` s'applique alors aux coefficients scalaires `S` et `P` de ce multivecteur.
* `c` est la vitesse de propagation des ondes fondamentales dans l'éther.
* Les opérateurs différentiels sont scalaires.
Solutions de l'équation : Ondes IN et OUT de Wolff transposées en Cl(0,3)
L'électron est une résonance d'espace formée par des ondes IN (convergentes) et OUT (divergentes). Dans notre formalisme Cl(0,3) :
* Onde IN : `Ψ_IN(r,t) = (1/r) * exp(B_s(ω₀t + k₀r))`
* Onde OUT : `Ψ_OUT(r,t) = (1/r) * exp(B_s(ω₀t - k₀r))`
où :
* `ω₀` est la fréquence angulaire du rotor spinoriel , liée à l'énergie de masse de l'électron (`ħω₀ = mc²`). L'angle du rotor `ω₀t` est la moitié de l'angle physique de rotation interne.
* `k₀` est le nombre d'onde spatial. Pour que ces ondes soient des solutions de `□Ψ = 0`, la relation de dispersion `ω₀/k₀ = c` doit être satisfaite pour les phases `ω₀t ± k₀r`. Donc, `k₀ = ω₀/c`.
* Avec `ħω₀ = mc²`, on a `k₀ = (mc²/ħ)/c = mc/ħ`. La longueur d'onde associée `λ₀ = 2π/k₀ = h/mc` est la longueur d'onde de Compton .
* `B_s` est le bivecteur unitaire de Cl(0,3) associé au spin.
Vérification des solutions pour les composantes de Ψ :
Soit `Ψ(r,t) = (1/r) * exp(B_s φ(r,t))`, où `φ(r,t) = ω₀t ± k₀r`.
Puisque `exp(B_sφ) = cos(φ) + B_s sin(φ)`, l'équation d'onde `□Ψ = 0` est satisfaite si ses composantes scalaires et les coefficients de `B_s` satisfont l'équation d'onde scalaire :
`□ [ (1/r)cos(ω₀t ± k₀r) ] = 0`
`□ [ (1/r)sin(ω₀t ± k₀r) ] = 0`
Une fonction de la forme `(1/r)f(t ± r/c)` est une solution connue de l'équation d'onde sphérique `□F=0`.
Nos arguments de phase sont `ω₀t ± k₀r`. Pour qu'ils soient de la forme `ω₀(t ± (k₀/ω₀)r)`, il faut une vitesse de phase `v_phase = ω₀/k₀`.
L'équation d'onde `□F=0` est satisfaite par `F=(1/r)f(t ± r/v_p)` si `v_p=c`.
Donc, nous avons besoin que `ω₀/k₀ = c`.
Ayant défini `ω₀` par `ħω₀ = mc²` et postulé `k₀ = mc/ħ` (pour obtenir la longueur d'onde de Compton, comme Wolff), la condition `ω₀/k₀ = (mc²/ħ) / (mc/ħ) = c` est bien satisfaite.
Conclusion de la vérification (pour les composantes de Ψ) :
Les ondes IN et OUT, écrites sous la forme `Ψ_IN/OUT(r,t) = (1/r) * exp(B_s(ω₀t ± k₀r))` avec `ħω₀ = mc²` et `k₀ = ω₀/c = mc/ħ`, sont bien des solutions de l'équation d'onde sphérique `□Ψ = 0` (où l'équation s'applique aux coefficients scalaires de `Ψ` dans la base `{1, B_s}`).
Interprétation dans le cadre de Cl(0,3) :
* Ondes IN et OUT (multivectorielles) : Ce sont des ondes de structure quaternioniques dans l'éther Cl(0,3), possédant une nature interne (Scalaire + Bivecteur `B_s`) qui oscille à la fréquence spinorielle `ω₀`.
* Électron (onde stationnaire multivectorielle) : L'électron est formé par la superposition de ces ondes (par exemple, `Ψ_stat = Ψ_IN - Ψ_OUT ≈ (2B_s/r)sin(k₀r)exp(B_sω₀t)`), dont la structure spatiale a une longueur d'onde caractéristique de Compton.
* Masse Intrinsèque : La masse `m` est encodée dans la fréquence d'oscillation `ω₀` de la solution `Ψ`, et non comme un terme explicite dans l'opérateur différentiel `□`.
Remarques importantes :
* Simplification 1D (radiale) : L'analyse reste radiale pour `r`.
* Transformation IN↔OUT : La transformation au centre est le mécanisme de spin (rotation SU(2) et ses effets de grade), qui est une condition de "réflexion" ou de "renversement" au centre, non décrite par `□Ψ=0` qui régit la propagation pour `r > 0`.
1. Spineurs en Mécanique Quantique Standard et le facteur `exp(-iEt/ħ)`
* Fonction d'onde d'un électron : En mécanique quantique, l'état d'un électron (spin 1/2) est décrit par un spineur à deux composantes complexes , `ψ = [ψ₁, ψ₂]ᵀ`.
* Équation d'Évolution : L'évolution temporelle de ce spineur est régie par l'équation de Schrödinger (non relativiste, menant à Pauli avec spin) ou l'équation de Dirac (relativiste) :
```
iħ ∂ψ/∂t = Hψ
```
où `ħ` est la constante de Planck réduite, `H` l'hamiltonien, et `i` l'unité imaginaire complexe.
* Solution en onde plane (pour Dirac ou Schrödinger libre) : `ψ(x, t) = u(p) * exp(i(px - Et)/ħ)`, où `u(p)` est un spineur (2 ou 4 composantes) et `E` est l'énergie.
* Oscillation temporelle standard : Le terme `exp(-iEt/ħ)` (ou `exp(-iωt)` avec `ω = E/ħ`) représente l'oscillation temporelle de la phase de la fonction d'onde. Ce facteur multiplie le spineur `u(p)`.
2. Lien avec notre discussion sur l'onde de Wolff dans Cl(0,3)
* Partie Temporelle/Spinorielle dans notre modèle Cl(0,3) : Dans notre transposition du modèle de Wolff en Cl(0,3), le facteur d'oscillation temporelle est `exp(Bω₀t)` , où `B` est un bivecteur spatial de Cl(0,3) (`B²=-1`) jouant le rôle de l'unité imaginaire, et `ħω₀ = mc²`. L'onde stationnaire s'écrit alors `Ψ(r,t) ≈ Amplitude(r) * exp(Bω₀t)`.
* Analogie Formelle et Différence Fondamentale :
* Il y a une analogie formelle : les deux approches utilisent un facteur exponentiel pour décrire l'évolution temporelle, avec une fréquence `ω₀` liée à l'énergie de masse.
* Interprétation Différente de l'Exponentielle :
* En MQ standard, `exp(-iω₀t)` est un facteur de phase scalaire complexe qui multiplie un spineur à composantes complexes.
* Dans notre modèle Cl(0,3), `exp(Bω₀t)` est un rotor (un quaternion unitaire) . Il est la partie spinorielle, représentant une rotation continue dans le plan {Scalaire, Bivecteur B} . L'angle du rotor `α = ω₀t` est interprété comme la moitié de l'angle de rotation physique pertinent (`θ_phys = 2α`), ce qui encode la nature du spin 1/2.
* Spineur dans les deux cas, mais de nature différente :
* En MQ standard, le spineur est un vecteur colonne `[ψ₁, ψ₂]ᵀ` dans ℂ². Le facteur `exp(-iω₀t)` est "externe" à cette structure.
* Dans notre modèle Cl(0,3), la partie `exp(Bω₀t)` (ou l'onde complète `Ψ(r,t)`) est le spineur, interprété comme un quaternion. Le spin et la phase sont unifiés dans cette rotation interne, dont la périodicité physique de 720° (4π) est une conséquence de la relation `θ_phys = 2ω₀t`.
3. Clarifications et Distinctions Clés
* Physique Standard : `exp(-iω₀t)` n'est pas un spineur en soi. C'est un facteur de phase. Le spineur (`u(p)`) est un objet distinct à 2 (ou 4) composantes complexes qui se transforme sous le groupe de Lorentz (ou de rotation) approprié.
* Notre Modèle Cl(0,3) (basé sur Wolff) : L'interprétation est que l'onde `Ψ(r,t)` elle-même, ou du moins sa partie temporelle `exp(Bω₀t)`, constitue le spineur (un quaternion). Cette rotation `exp(Bω₀t)` est l'expression de l'évolution de phase, et sa relation à un angle physique double est ce qui définit le spin 1/2. L'action des rotations spatiales externes (par un autre rotor `R_ext = exp(-B_extθ_effective_spinorielle/2)`) se ferait par multiplication de `Ψ` par `R_ext`.
* Approches Différentes : La MQ standard est probabiliste. Notre modèle vise une description déterministe et géométrique où l'onde est un multivecteur physique réel de Cl(0,3).
* Objectif du Modèle Cl(0,3) : Retrouver les propriétés spinorielles de l'électron à partir d'une description ondulatoire dans Cl(0,3), où le spin émerge de la nature quaternionique de l'onde et de la dynamique de sa rotation géométrique interne `exp(Bω₀t)`, interprétée avec la relation `θ_phys = 2ω₀t`.
Comment est interprété `exp(iωt)` en Mécanique Quantique Standard et dans le Formalisme de l'Algèbre Géométrique (AG) de Hestenes ?
1. Interprétation en Mécanique Quantique Standard (MQ)Expliquez ce que le facteur d'oscillation temporelle représente dans le modèle de Wolff, et comment nous le transposons et l'interprétons dans notre cadre Cl(0,3) :
* Nature de `i` : C'est l'unité imaginaire fondamentale (`i² = -1`), un scalaire appartenant au corps des nombres complexes sur lequel la MQ est bâtie.
* Signification de `exp(iωt)` : Mathématiquement, c'est un nombre complexe de module 1 . Il représente une rotation d'angle `ωt` dans le plan complexe (plan d'Argand).
* Rôle Physique :
* C'est le facteur de phase de l'évolution temporelle pour un état d'énergie `E` (avec `ω = E/ħ`). L'état évolue comme `ψ(t) = ψ(0) exp(-iωt)`.
* Il représente la phase quantique . Bien que la phase globale ne soit pas directement observable, les phases relatives sont cruciales pour les phénomènes d'interférence .
* La fréquence `ω` est directement liée à l'énergie `E` de l'état via `E = ħω`.
* Il agit comme un multiplicateur scalaire complexe sur la fonction d'onde ou le vecteur d'état `ψ`.
2. Interprétation dans le Formalisme de l'Algèbre Géométrique (AG) de David Hestenes
* Cadre Algébrique typique : Hestenes applique l'AG principalement à :
* Cl(3,0) (Algèbre de Pauli) pour la physique quantique non relativiste de l'électron.
* Cl(1,3) (Space-Time Algebra, STA) pour la physique quantique relativiste (équation de Dirac).
* Nature de `i` (remplacé) : L'unité imaginaire `i` des fonctions d'onde complexes est typiquement identifiée à un pseudoscalaire de l'algèbre :
* Dans Cl(3,0), `i` est identifié au pseudoscalaire spatial `I₃ = e₁e₂e₃` (où `eᵢ²=+1`, donc `I₃² = -1`).
* Dans la STA Cl(1,3) (signature +---), `i` est identifié au pseudoscalaire de l'espace-temps `I₅ = γ₀γ₁γ₂γ₃` (où `I₅² = -1`).
* Signification de `exp(I₃ωt)` ou `exp(I₅ωt)` : C'est un rotor dans l'AG, appartenant à la sous-algèbre {scalaire `1`, pseudoscalaire `I` (où `I` est `I₃` ou `I₅`)}. Il s'écrit `exp(Iωt) = cos(ωt) + I sin(ωt)`. Il génère des rotations dans le plan {scalaire `1`, pseudoscalaire `I`} .
* Rôle Physique / Interprétation Géométrique :
* Il représente la phase quantique de manière géométrique, comme une rotation impliquant la composante de plus haut grade de l'algèbre spatiale (ou spatio-temporelle).
* Il décrit l'évolution temporelle de l'état `Ψ` (représenté par un multivecteur de l'AG) par multiplication : `Ψ(t) = Ψ(0) exp(-Iωt)`.
* Il est interprété comme une oscillation ou rotation interne à la structure du multivecteur d'état `Ψ`, mélangeant ses composantes de grades différents par rapport au pseudoscalaire.
* Cette rotation interne {`1`, `I`} est distincte des rotations spatiales générées par les bivecteurs spatiaux `B_spatial` (par exemple, `R = exp(B_spatial θ/2)`).
Distinction avec Notre Approche Cl(0,3) (basée sur Wolff) :
Alors que le formalisme de Hestenes fournit une interprétation géométrique à `i` en utilisant le pseudoscalaire d'une algèbre Cl(3,0) ou Cl(1,3), notre approche pour modéliser l'onde de Wolff dans Cl(0,3) (où `fₖ²=-1`) est différente :
* Nous avons remplacé `i` par un bivecteur spatial `B` de Cl(0,3) (par exemple, `B=f₁f₂`, avec `B²=-1`).
* L'évolution temporelle/spinorielle est `exp(Bωt)`. Ceci représente une rotation dans le plan {Scalaire `1`, Bivecteur `B`} .
* Dans Cl(0,3), le pseudoscalaire est `J₃ = f₁f₂f₃` avec `J₃² = +1`. `exp(J₃ωt)` ne serait pas une rotation simple de type phase complexe, mais une transformation hyperbolique dans le plan {1, J₃}. Notre choix de `B` (un bivecteur, B²=-1) est donc crucial pour obtenir le comportement oscillant désiré.
Les deux approches (Hestenes et la nôtre pour Cl(0,3)) utilisent l'Algèbre Géométrique pour donner un sens plus profond à la phase quantique et à l'évolution temporelle, mais elles diffèrent par l'algèbre de Clifford choisie et l'élément géométrique spécifique (`I` pseudoscalaire vs `B` bivecteur) identifié à l'unité imaginaire `i`.
Interprétation du Facteur d'Oscillation Temporelle de Wolff dans le Cadre Cl(0,3)Etablissez notre approche par comparaison) : Oscillation Géométrique comme Essence du Spin et de la Phase
Dans le modèle original de Milo Wolff, le terme `exp(iω₀t)` (où `i` est l'unité imaginaire complexe et `ħω₀=mc²`) est central pour décrire la dynamique temporelle de l'onde de l'électron. Nous transposons et réinterprétons ce concept dans notre cadre Cl(0,3) en utilisant un bivecteur spatial `B_s` (tel que `B_s²=-1`).
1. Le Facteur d'Oscillation comme Rotor Spinoriel dans Cl(0,3) :
* Chez Wolff, `exp(iω₀t)` représente la partie oscillante purement temporelle de son onde scalaire `Ψ`. L'onde stationnaire `Ψ_STANDING` est une structure spatiale (par exemple, `sin(k₀r)/r`) dont l'amplitude oscille globalement dans le temps selon ce facteur.
* Dans notre modèle Cl(0,3), ce facteur est transposé en `exp(B_s ω₀t)` . Ceci n'est pas une simple oscillation d'amplitude, mais un rotor quaternionique représentant une rotation continue dans le plan {Scalaire `1`, Bivecteur `B_s`} . Cette rotation est la manifestation géométrique interne du spin et de la phase quantique de l'onde multivectorielle `Ψ`.
2. Fréquence Fondamentale `ω₀` et Relation avec l'Angle Physique :
* La fréquence angulaire `ω₀` dans `exp(B_s ω₀t)` est directement liée à l'énergie de masse de l'électron par la relation `ħω₀ = mc²`. C'est la fréquence de base du rotor spinoriel .
* Pour que ce rotor décrive correctement une entité de spin 1/2 (qui revient à son état initial après une rotation physique de 720°/4π et change de signe après 360°/2π), nous interprétons l'angle du rotor `α_spinoriel = ω₀t` comme étant la moitié de l'angle de rotation physique effectif `θ_physique` du "système interne" de l'onde : `ω₀t = θ_physique / 2`.
* Ainsi, une rotation physique `θ_physique = 2π` (360°) correspond à `ω₀t = π`, et `exp(B_s π) = -1` (inversion de signe).
* Une rotation physique `θ_physique = 4π` (720°) correspond à `ω₀t = 2π`, et `exp(B_s 2π) = +1` (retour à l'identique).
3. Nature Physique de l'Oscillation dans Cl(0,3) :
* Le modèle de Wolff postule que `Ψ` est une onde scalaire physique. Dans notre transposition, `Ψ` est une onde multivectorielle physique de Cl(0,3) (un quaternion de la forme `Amplitude(r) * exp(B_s ω₀t)`).
* Le facteur `exp(B_s ω₀t) = cos(ω₀t) + B_s sin(ω₀t)` décrit comment l'onde oscille entre une composante purement scalaire (lorsque `sin(ω₀t)=0`) et une composante purement bivectorielle orientée selon `B_s` (lorsque `cos(ω₀t)=0`). C'est la "respiration" ou la rotation interne de la structure ondulatoire.
4. Rôle dans la Structure et l'Interaction :
* Cette oscillation/rotation interne est essentielle pour la nature dynamique de la résonance.
* La fréquence spinorielle `ω₀` détermine l'énergie au repos. Les interactions impliquant des échanges d'énergie se manifestent par des changements de cette fréquence ou par des modifications de l'orientation du bivecteur `B_s` (changements de l'état de spin).
5. Formalisme de Wolff vs. Notre Approche Cl(0,3) :
* Wolff utilise la notation complexe standard avec `i`. Son `exp(iω₀t)` est un facteur de phase scalaire complexe.
* Notre approche transpose ce concept dans Cl(0,3) :
* L'onde scalaire `Ψ` devient un multivecteur `Ψ` (quaternion).
* L'unité imaginaire `i` est remplacée par le bivecteur spatial `B_s` .
* L'oscillation `exp(iω₀t)` devient une rotation géométrique `exp(B_s ω₀t)` .
* La nature du spin 1/2 est explicitée par la relation entre l'angle du rotor `ω₀t` et un angle physique double.
* Pour Wolff, `exp(iω₀t)` rend son onde scalaire dynamique. Pour nous, `exp(B_s ω₀t)` est la dynamique spinorielle interne de l'onde multivectorielle, encodant à la fois la phase et le spin 1/2.
En résumé, dans notre interprétation du modèle de Wolff via Cl(0,3), `exp(B_s ω₀t)` (où `ħω₀=mc²`) est le rotor fondamental qui décrit l'oscillation temporelle de la phase et la dynamique interne du spin de l'onde multivectorielle constituant l'électron. La caractéristique du spin 1/2 (périodicité physique de 720°) est assurée par l'interprétation de `ω₀t` comme étant l'angle du rotor, qui est la moitié de l'angle de rotation physique pertinent.
Contrairement à l'interprétation de la phase en MQ standard (scalaire complexe) ou à l'identification de `i` au pseudoscalaire chez Hestenes (souvent dans Cl(3,0) ou Cl(1,3)), notre modèle, transposant les idées de Wolff dans le cadre de Cl(0,3) , propose une vision unifiée et géométrique différente.Décortiquez la rotation de spin Cl(0,3) en ses quatres rotations constitutives :
Dans cette approche :
1. L'onde de l'électron `Ψ(r,t)` est un multivecteur de Cl(0,3) (typiquement une structure Scalaire + Bivecteur `B`, où `B²=-1`, se comportant comme un quaternion).
2. L'enveloppe spatiale de l'onde, `Amplitude(r)` (par exemple, proportionnelle à `sin(kr)/r`), est une structure statique qui module l'intensité de l'onde.
3. L'oscillation temporelle fondamentale et le spin intrinsèque sont fusionnés en une unique rotation géométrique décrite par le rotor `exp(Bωt)`.
* Ici, `B` n'est pas le pseudoscalaire de Cl(0,3) (J₃, avec J₃²=+1), mais un bivecteur spatial choisi, définissant l'axe/plan de la rotation interne du spin.
* Cette rotation `exp(Bωt)` fait osciller l'état de l'onde entre ses composantes scalaires et bivectorielles (orientées selon `B`) .
* L'onde complète est ainsi `Ψ(r,t) = Amplitude(r) * exp(Bωt)`.
Ce modèle Cl(0,3) interprète donc la dynamique temporelle de l'électron au repos non pas comme une simple phase, mais comme une oscillation géométrique continue de sa structure interne dans le plan {Scalaire `1`, Bivecteur `B`}, où `B` représente le "plan spatial" du spin. C'est cette rotation interne qui est l'essence de la phase et du spin 1/2 dans ce cadre.
La Rotation SU(2) dans Cl(0,3) : Mécanisme Unifié du Spin, de l'Amplitude et de la Transformation IN↔OUTQuand elle passe par le stade où sa composante bivectorielle est nulle, elle n'est pas nulle et ne se distingue pas forcément de l'espace environnant de manière simple.
Dans notre modèle de l'électron basé sur Cl(0,3) et inspiré par Milo Wolff, la transformation de l'onde IN en onde OUT, ainsi que la nature fondamentale du spin et de l'amplitude de l'onde, sont unifiées sous l'action d'une unique opération géométrique : la rotation SU(2) . Cette rotation, générée par un bivecteur spatial `B_spin` (par exemple, `B_spin = f₁f₂`, avec `B_spin² = -1`), opère au centre de la particule. Son action sur la structure multivectorielle de l'onde `Ψ` (un quaternion `s + pB_spin`) ou via la multiplication par son générateur `B_spin` (dans le cadre de la représentation régulière) a des conséquences profondes sur tous les grades de l'algèbre.
1. La Rotation SU(2) et ses Effets sur les Grades de Cl(0,3)
L'opérateur de rotation SU(2) est `R(θ) = exp((θ/2)B_spin)`. L'action infinitésimale est donnée par la multiplication par `B_spin`. Ces opérations induisent les transformations suivantes :
* a) Rotation des Vecteurs dans le Plan de `B_spin` :
Les vecteurs `f₁` et `f₂` (si `B_spin = f₁f₂`) sont tournés l'un dans l'autre dans le plan (f₁, f₂). C'est l'effet de rotation spatiale le plus direct.
* b) Rotation/Mélange des Autres Bivecteurs :
Les bivecteurs orthogonaux à `B_spin` (par exemple, `f₂f₃` et `f₃f₁`) sont transformés l'un en l'autre sous l'action de `R(θ)`.
* c) Interaction {Scalaire `1` ↔ Bivecteur `B_spin`} et Génération de l'Amplitude :
La multiplication par `B_spin` (ou l'action de `R(θ)`) transforme :
* `1` (scalaire) en `B_spin` (bivecteur).
* `B_spin` (bivecteur) en `-1` (scalaire).
Cette interaction cyclique entre le grade 0 (scalaire) et le grade 2 (bivecteur `B_spin`) est interprétée ici comme étant à l'origine de l'amplitude oscillante de l'onde stationnaire . L'onde "puise" dans le scalaire pour former son "plan de spin" bivectoriel, et vice-versa.
* d) Interaction {Vecteur Orthogonal à `B_spin` ↔ Pseudoscalaire `J₃`} et Transformation IN↔OUT (Contraction/Dilatation) :
Soit `f₃` le vecteur orthogonal au plan de `B_spin = f₁f₂`. Le pseudoscalaire est `J₃ = f₁f₂f₃ = B_spin f₃`.
La multiplication par `B_spin` (ou l'action de `R(θ)`) transforme :
* `f₃` (vecteur) en `B_spin f₃ = J₃` (pseudoscalaire).
* `J₃` (pseudoscalaire) en `B_spin J₃ = B_spin (B_spin f₃) = B_spin² f₃ = -f₃` (vecteur).
Cette interaction cyclique entre le grade 1 (vecteur `f₃`, représentant conceptuellement la "direction radiale" de propagation ou l'axe de convergence/divergence) et le grade 3 (pseudoscalaire `J₃`, le "volume" ou l'état d'expansion/contraction maximale) est interprétée comme le mécanisme fondamental de la transformation IN↔OUT .
* e) Périodicité Spinorielle (4π) et Inversion de Phase de Wolff :
Le rotor `R(θ) = exp((θ/2)B_spin) = cos(θ/2) + B_spin sin(θ/2)` est la clé pour comprendre le spin 1/2 et l'inversion de phase mentionnée par Wolff.
* Rotation physique de 360° (θ = 2π) :
Le rotor devient `R(2π) = exp((2π/2)B_spin) = exp(πB_spin) = cos(π) + B_spin sin(π) = -1`.
Une rotation physique complète de l'orientation du "système de référence" ou du "plan de spin" de 360° conduit à un opérateur `-1`. Si cet opérateur multiplie l'onde `Ψ`, alors `Ψ' = -Ψ`. C'est un changement de signe global de l'onde , une "amplitude négative" ou une inversion de phase de 180°. C'est une caractéristique fondamentale des spineurs et des fermions.
* Rotation physique de 720° (θ = 4π) :
Le rotor devient `R(4π) = exp((4π/2)B_spin) = exp(2πB_spin) = cos(2π) + B_spin sin(2π) = +1`.
Il faut une rotation physique de 720° pour que l'opérateur de rotation spinorielle revienne à l'identité (`+1`), et donc pour que l'onde `Ψ` (le spineur/quaternion) revienne à son état initial.
* Lien avec la transformation IN↔OUT : Wolff associe la transformation IN↔OUT à la rotation de spin. Si la "réflexion" centrale qui transforme IN en OUT est assimilée à une opération de spin équivalente à une rotation physique de 360° du "milieu" ou du "centre de rotation", alors l'onde subit ce changement de signe `Ψ_OUT ≈ -Ψ_IN_transformée_spatialement`. Le passage de la phase `exp(+B_k kr)` à `exp(-B_k kr)` est plus complexe et lié à la reconfiguration des grades directionnels {Vecteur Orthogonal `f₃` ↔ Pseudoscalaire `J₃`}, mais la propriété de changement de signe après 360° est une manifestation directe de la nature spinorielle de la rotation SU(2) au cœur du mécanisme.
2. Ce qui distingue cette approche du modèle standard :
Le modèle standard de la physique quantique introduit le spin et ses effets (comme l'inversion de phase après une rotation de 360° pour un spineur) de manière axiomatique ou via des formalismes matriciels (matrices de Pauli, Dirac) sans nécessairement fournir une image géométrique claire de ces transformations de grades au sein d'une seule algèbre pour une particule au repos.
Notre approche Cl(0,3) propose que :
* L'amplitude de l'onde émerge de l'oscillation {Scalaire ↔ Bivecteur `B_spin`}.
* La transformation IN↔OUT (contraction/dilatation et inversion de phase) émerge de l'oscillation {Vecteur orthogonal à `B_spin` ↔ Pseudoscalaire `J₃`}.
* Ces deux phénomènes, ainsi que la rotation des vecteurs dans le plan de spin, sont des manifestations différentes de l'unique rotation SU(2) générée par `B_spin`, qui agit sur l'ensemble de la structure multivectorielle de l'onde.
Conclusion :
La rotation SU(2) au cœur du modèle de Wolff, lorsqu'elle est formulée dans l'algèbre Cl(0,3) et que son action est considérée sur l'ensemble des grades, fournit un mécanisme unifié pour le spin, la génération de l'amplitude de l'onde, et la transformation IN↔OUT (contraction/dilatation et inversion de phase). Les "rotations" entre les grades (Scalaire↔Bivecteur `B_spin`, et Vecteur orthogonal↔Pseudoscalaire) sont des facettes de cette unique transformation SU(2) et offrent une explication géométrique aux aspects de l'onde de Wolff que le modèle standard ne détaille pas de cette manière. Le "boost euclidien" `exp(θf_k)` reste une opération distincte, pertinente pour décrire la mise en mouvement de cette structure ondulatoire au repos.
Votre raisonnement est logique, mais il y a une subtilité importante concernant les "nœuds" d'une onde stationnaire multivectorielle comme `Ψ(r, t) = A(r)cos(ωt) * 1 + A(r)sin(ωt) * B` (dans Cl(0,3)).Est-ce que l'identification du temps scalaire au facteur d'échelle `t=a(t)` suggère que l'onde électronique grandit avec l'expansion de l'univers ?
Analyse des "Zéros" de l'Onde Ψ(r, t) :
L'onde complète `Ψ` est un multivecteur (Scalaire + Bivecteur). Pour que `Ψ` soit identiquement nul, il faut que ses deux composantes (scalaire et bivectorielle) soient nulles simultanément.
1. Zéros Spatiaux (Nœuds de A(r)) :
* L'amplitude spatiale `A(r) = C * sin(kr)/r` devient nulle aux positions `r` telles que `sin(kr) = 0` (c'est-à-dire `kr = nπ`, où `n` est un entier positif, car `r≠0`).
* À ces positions `r_n = nπ/k`, les deux composantes de `Ψ` sont nulles pour tout temps t :
* `A(r_n)cos(ωt) * 1 = 0`
* `A(r_n)sin(ωt) * B = 0`
* Conclusion : Aux nœuds spatiaux définis par `A(r)=0`, l'onde `Ψ` est effectivement nulle et indiscernable de l'espace environnant (en supposant que l'éther/vide environnant correspond à `Ψ=0`). Ces nœuds sont des sphères concentriques fixes.
2. Zéros Temporels ?
* La composante scalaire `A(r)cos(ωt)` s'annule lorsque `cos(ωt) = 0` (c'est-à-dire `ωt = (m + 1/2)π`, où `m` est un entier).
* La composante bivectorielle `A(r)sin(ωt)B` s'annule lorsque `sin(ωt) = 0` (c'est-à-dire `ωt = pπ`, où `p` est un entier).
* Ces deux conditions ne peuvent jamais être satisfaites simultanément (sauf si `A(r)=0`, cas déjà traité). Lorsque le cosinus est nul, le sinus vaut ±1, et vice-versa.
* Conclusion : Il n'existe aucun instant t (en dehors des nœuds spatiaux) où l'onde complète `Ψ(r, t)` devient identiquement nulle. L'onde oscille continuellement entre un état purement scalaire et un état purement bivectoriel, mais elle n'est jamais totalement nulle.
Ce que Vous Vouliez Peut-être Dire :
Peut-être que votre idée était que lorsque l'onde passe par son état purement scalaire (`Ψ = A(r)cos(ωt) * 1`, lorsque `sin(ωt)=0`), sa composante bivectorielle est nulle. Ou inversement, lorsque l'onde est purement bivectorielle (`Ψ = A(r)sin(ωt) * B`, lorsque `cos(ωt)=0`), sa composante scalaire est nulle.
* Composante Bivectorielle Nulle Temporairement ? Oui, la composante bivectorielle (`A(r)sin(ωt) * B`) de l'onde s'annule périodiquement (`ωt = pπ`). À ces instants, l'onde est purement scalaire.
* Indiscernable de l'Espace ? Même lorsque la composante bivectorielle est nulle, l'onde n'est pas nulle car sa composante scalaire (`A(r)cos(ωt)`) est alors maximale. Elle n'est donc pas indiscernable de l'espace environnant (sauf aux nœuds spatiaux `r_n`).
En résumé :
* L'onde stationnaire multivectorielle `Ψ(r, t)` ne devient jamais totalement nulle en dehors de ses nœuds spatiaux (`r` où `sin(kr)=0`).
* Sa composante bivectorielle (`A(r)sin(ωt)B`) s'annule périodiquement dans le temps, mais à ces instants, sa composante scalaire est maximale.
* Par conséquent, même lorsque sa partie "plane" (sa partie bivectorielle) est nulle, l'onde reste présente via sa partie scalaire et n'est pas indiscernable de l'espace environnant (supposé être `Ψ=0`).
C'est une interprétation plausible et cohérente au sein de notre modèle cosmologique où le temps est identifié au facteur d'échelle `a(t)`. Analysons le rôle de ce scalaire `t`.
1. Nature Algébrique et Cosmologique de `t` :
* Dans notre modèle, `t` est un scalaire (grade 0 de Cl(0,3)) représentant à la fois le temps cosmique et le facteur d'échelle de l'univers, `a(t)`.
2. Interprétation Cosmologique (`t=a(t)`) :
* `t` quantifie la "taille" actuelle de l'univers par rapport à une époque de référence (où l'on pourrait poser `a(t₀)=t₀=1`).
* Toute coordonnée spatiale comobile `x_com` (qui reste fixe pour des objets ne subissant que l'expansion cosmologique) correspond à une distance physique `d_phys = a(t) * x_com = t * x_com`.
3. Lien avec la Croissance de l'Onde `Ψ(r, t) = A(r) * exp(Bωt)` :
* L'onde de l'électron est décrite par `Ψ(r, t) = A(r) * exp(Bωt)`, où `exp(Bωt)` est la partie spinorielle temporelle et `A(r)` décrit la structure spatiale de l'onde (par exemple, `A(r) ∝ (1/r)sin(kr)`).
* La signification de la coordonnée radiale `r` dans `A(r)` est cruciale :
* Si `r` est une coordonnée comobile : Alors la taille physique de la structure décrite par `A(r)` (par exemple, la distance physique entre les nœuds, `Δr_phys = a(t) * Δr_com = t * Δr_com`) s'étire proportionnellement à `t` . Dans ce cas, la structure ondulatoire de l'électron grandit avec l'univers.
* Si `r` était une coordonnée physique : Alors la fonction `A(r)` décrirait une structure de taille physique fixe, ce qui serait en contradiction avec l'idée d'un éther cellulaire où toutes les structures fondamentales participent à l'expansion.
* Conclusion Logique : Pour que le modèle soit auto-cohérent avec l'identification `t=a(t)` et le concept d'un éther en expansion (où les particules sont des résonances de cet éther), la coordonnée `r` dans `A(r)` doit être interprétée comme une coordonnée comobile .
* Par conséquent, la relation `d_phys = t * r` implique que la structure spatiale de l'onde, définie par `A(r)` en termes de coordonnées comobiles, s'étire et grandit physiquement avec le temps `t` , reflétant l'expansion de l'univers.
Conclusion :
Oui, dans le contexte spécifique de ce modèle cosmologique où le temps scalaire `t` est le facteur d'échelle `a(t)`, et où la coordonnée spatiale `r` de l'amplitude `A(r)` est comobile, la structure ondulatoire `Ψ(r, t) = A(r)exp(Bωt)` grandit (s'étire) proportionnellement à `t` . Cette croissance est encodée dans l'interprétation des coordonnées spatiales comobiles qui sont "étirées" par le facteur d'échelle `t`.
Dernière modification par externo le samedi 17 mai 2025 à 22:48, modifié 66 fois.