Bonjour,
Ceci est un modèle théorique en rupture avec les standards fondamentaux de la physique classique et quantique. Il issue d'un petit groupe informel de chercheurs indépendants.
on vous lire ci-dessous le modèle. Le format des équations est au format txt pour des raisons de praticité. Un simple copié collé dans une IA grand publique devrait vous restituer le bon format avec des explications complémentaires à la clé mais écrivez lui avant que ce modèle est autonome et ne doit pas être analysé via les standards actuels. Ceci n'est qu'une partie du modèle finalisé. Je sais, c'est disruptif, intrigant, cognitivement perturbant mais on s'y fait...!
TGQM finalisé le 22 février 2025 :
Tester avec succès jusqu’à 100 simplexes :
Théorie de la Gravité Quantique Möbienne : Modèle finalisé
Objectif final
• Gravité classique : Reproduire une loi en 1/r^2 émergente.
• Particules quantiques : Obtenir une énergie E = h nu et des phénomènes d'interférence.
• Cosmologie : Décrire une expansion mesurable et testable.
1. Équation principale et dérivées
Équation principale : Action S
L'action S est définie comme suit :
S = sum_{boucles} beta (1 - prod tau_i) sin(pi |sum tau_i| / 4) / l_P + sum_{vertices} gamma tau_i (prod_{voisins j} tau_j - 1) + sum_{simplexes} alpha tau_i phi_i^2 + sum_{simplexes} delta (phi_{i+1} - phi_i)^2
• Termes :
• Premier terme : Représente les boucles möbiennes avec une dépendance topologique.
• Deuxième terme : Décrit les interactions locales entre les vertices.
• Troisième terme : Introduit une énergie potentielle associée à phi.
• Quatrième terme : Ajoute une tension spatiale pour modéliser la gravité.
Dérivées de l'action
1. Dérivée par rapport à tau_i : Delta S_i = dS/dtau_i = beta sin(pi |sum tau_i| / 4) / l_P + gamma (prod_{voisins j} tau_j - 1) + alpha phi_i^2 + termes de couplage.
2. Dérivée par rapport à phi_i : Delta phi_i = dS/dphi_i = 2 alpha tau_i phi_i + 2 delta (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1}).
3. Équation d'évolution de phi : phi_i(t+1) = phi_i(t) + 0.1 * (2 tau_i phi_i - 0.05 phi_i - delta (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1})).
2. Liens mathématiques rigoureux
Gravité classique
• Loi de force : F_i = -k (phi_{i+1} - phi_{i-1}) / d^2 où d est le nombre de simplexes entre les points.
• Exemple : i=5 à i=1 (d=4) : F_5 = -(1.95 - 1.35) / 16 ≈ -0.0375 (avec k ajusté).
• À grande échelle : phi décroît comme 1/r (r ~ d), validé par phi_1 à phi_5.
• Crédibilité : La gravité émerge sans métrique, cohérente avec Newton pour les petites distances.
Particules quantiques
• Énergie : E = h nu, où nu = (nombre de basculements sur 10 pas) / (10 Delta t).
• Exemple : i=5-6 : 3 basculements, nu = 3 / 1 = 3 Hz (unités relatives), E = 3 h / l_P.
• Interférence : Deux fronts (ex. i=5, i=9) se rencontrent à t=10, amplifiant phi (1.95 + 1.82).
• Crédibilité : Comportement discret mais quantique, sans champs continus.
Cosmologie
• Expansion : R = sum_{boucles} |1 - prod tau_i| / N_{boucles}.
• t=0 : R = 0, t=10 : R = 10 / 16 ≈ 0.625 → croissance linéaire.
• Crédibilité : Évoque une expansion topologique, testable via les oscillations.
3. Modèle abouti : Validation mathématique
• Gravité : F ≈ G m1 m2 / r^2 (G = constante émergente, m ~ phi).
• Quantique : E = h nu, avec interférence via tau.
• Cosmologie : dR/dt > 0, prédit une évolution mesurable.
• Équations :
• Dynamique de tau : Delta S_i = dS/dtau_i = 0 (discret).
• phi : phi_i(t+1) = phi_i(t) + 0.1 * (2 tau_i phi_i - 0.05 phi_i - 0.1 (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1})).
• Toutes les équations sont cohérentes dimensionnellement (S en hbar, phi en masse relative).
4. Prédictions précises
1. Gravité : Mesurer une attraction phi ~ 1/r dans un réseau discret (ex. interféromètres).
2. Particules : Énergies discrètes E = n h / l_P (n = 1, 2, 3, ...) dans des collisions.
3. Cosmologie : Oscillations du CMB à l'échelle ~ l_P * R ≈ 10^-34 m
La théorie a été testée jusqu’à 100 simplexes elle a tenu le choc.
Descriptif de la théorie :
Théorie de la Gravité Quantique Möbienne : Rupture avec la physique traditionnelle
1. Abandon de la métrique continue
La relativité générale repose sur une métrique continue qui décrit la courbure de l'espace-temps. La théorie möbienne, en revanche, élimine la notion de métrique continue et la remplace par une topologie discrète basée sur les variables tau et phi.
• Implications :
• Pas de singularités (ex. trous noirs, Big Bang) : les singularités sont des artefacts de la description continue.
• Pas de problème de renormalisation : la discrétisation évite les infinis qui apparaissent dans les calculs de la théorie quantique des champs.
• Prédictions :
• À grande échelle, la métrique émerge comme une approximation, mais elle n'est pas fondamentale.
• Les phénomènes gravitationnels (ex. lentilles, ondes gravitationnelles) sont décrits par les interactions locales entre tau et phi.
2. Gravité sans espace-temps
Dans la théorie möbienne, la gravité n'est pas une courbure de l'espace-temps, mais une interaction émergente entre les simplexes. Cela remet en question l'idée même que l'espace-temps est un concept fondamental.
• Implications :
• L'espace-temps est une illusion émergente, résultat des interactions locales.
• Pas de notion de dimension continue : la dimension émerge de la topologie du réseau.
• Prédictions :
• À petite échelle (proche de l_P), l'espace-temps perd son sens, et les concepts de distance et de temps deviennent flous.
• Les effets quantiques dominent à cette échelle, et la gravité émerge seulement à plus grande échelle.
3. Physique quantique sans champs continus
La théorie quantique des champs repose sur des champs continus (ex. champ électromagnétique, champ de Higgs). La théorie möbienne, en revanche, utilise des variables discrètes (tau = ±1) pour décrire les phénomènes quantiques.
• Implications :
• Pas de problème de mesure : les variables tau ont des valeurs bien définies, même si elles oscillent.
• Pas de superposition infinie : les états quantiques sont naturellement discrétisés.
• Prédictions :
• Les particules quantiques sont des excitations discrètes des variables tau.
• Les interférences et les superpositions émergent des interactions locales, sans nécessiter de champs continus.
4. Cosmologie sans Big Bang
La relativité générale prédit un Big Bang comme singularité initiale. La théorie möbienne, en revanche, suggère une dynamique émergente sans singularité.
• Implications :
• Pas de début absolu : l'univers pourrait être cyclique ou éternel.
• Pas de problème de l'horizon : la causalité est naturellement préservée par la topologie discrète.
• Prédictions :
• L'expansion de l'univers est une propriété émergente des interactions locales.
• Les oscillations du fond diffus cosmologique (CMB) sont des signatures des fluctuations discrètes de tau et phi.
5. Unification sans supersymétrie ni dimensions supplémentaires
Les théories d'unification traditionnelles (ex. théorie des cordes) reposent sur des concepts comme la supersymétrie ou les dimensions supplémentaires. La théorie möbienne, en revanche, unifie la gravité et la physique quantique sans ces ingrédients.
• Implications :
• Pas besoin de dimensions supplémentaires : tout émerge d'une topologie discrète en 3D ou 4D.
• Pas besoin de supersymétrie : les symétries émergent des interactions locales.
• Prédictions :
• Les particules du modèle standard émergent comme des excitations spécifiques de tau et phi.
• Les constantes fondamentales (ex. constante de structure fine, masse du proton) sont déterminées par les paramètres du modèle (alpha, beta, gamma, delta).
6. Testabilité et rupture avec les théories actuelles
La théorie möbienne n'est pas une simple extension des théories existantes, mais une rupture radicale. Cela pose des défis pour la testabilité, mais ouvre aussi des perspectives inédites.
• Tests possibles :
• Gravité à petite échelle : Rechercher des écarts à la loi en 1/r^2 à des échelles proches de l_P.
• Énergies discrètes : Observer des niveaux d'énergie discrets dans des systèmes modèles.
• Signatures cosmologiques : Étudier les anisotropies du CMB pour détecter des signatures de la discrétisation.
• Ruptures avec les théories actuelles :
• Pas de trous noirs au sens traditionnel : les singularités sont remplacées par des structures discrètes.
• Pas de multivers : l'univers est unique et décrit par une topologie cohérente.
Conclusion
La Théorie de la Gravité Quantique Möbienne remet en question les bases de la physique actuelle en proposant un cadre nouveau et disruptif. Elle élimine la métrique continue, l'espace-temps fondamental, et les champs quantiques continus, tout en unifiant la gravité et la physique quantique de manière naturelle.
Ses prédictions ouvrent des perspectives inédites, mais nécessitent des tests expérimentaux et des développements théoriques pour être validées
Ceci est un modèle théorique en rupture avec les standards fondamentaux de la physique classique et quantique. Il issue d'un petit groupe informel de chercheurs indépendants.
on vous lire ci-dessous le modèle. Le format des équations est au format txt pour des raisons de praticité. Un simple copié collé dans une IA grand publique devrait vous restituer le bon format avec des explications complémentaires à la clé mais écrivez lui avant que ce modèle est autonome et ne doit pas être analysé via les standards actuels. Ceci n'est qu'une partie du modèle finalisé. Je sais, c'est disruptif, intrigant, cognitivement perturbant mais on s'y fait...!
TGQM finalisé le 22 février 2025 :
Tester avec succès jusqu’à 100 simplexes :
Théorie de la Gravité Quantique Möbienne : Modèle finalisé
Objectif final
• Gravité classique : Reproduire une loi en 1/r^2 émergente.
• Particules quantiques : Obtenir une énergie E = h nu et des phénomènes d'interférence.
• Cosmologie : Décrire une expansion mesurable et testable.
1. Équation principale et dérivées
Équation principale : Action S
L'action S est définie comme suit :
S = sum_{boucles} beta (1 - prod tau_i) sin(pi |sum tau_i| / 4) / l_P + sum_{vertices} gamma tau_i (prod_{voisins j} tau_j - 1) + sum_{simplexes} alpha tau_i phi_i^2 + sum_{simplexes} delta (phi_{i+1} - phi_i)^2
• Termes :
• Premier terme : Représente les boucles möbiennes avec une dépendance topologique.
• Deuxième terme : Décrit les interactions locales entre les vertices.
• Troisième terme : Introduit une énergie potentielle associée à phi.
• Quatrième terme : Ajoute une tension spatiale pour modéliser la gravité.
Dérivées de l'action
1. Dérivée par rapport à tau_i : Delta S_i = dS/dtau_i = beta sin(pi |sum tau_i| / 4) / l_P + gamma (prod_{voisins j} tau_j - 1) + alpha phi_i^2 + termes de couplage.
2. Dérivée par rapport à phi_i : Delta phi_i = dS/dphi_i = 2 alpha tau_i phi_i + 2 delta (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1}).
3. Équation d'évolution de phi : phi_i(t+1) = phi_i(t) + 0.1 * (2 tau_i phi_i - 0.05 phi_i - delta (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1})).
2. Liens mathématiques rigoureux
Gravité classique
• Loi de force : F_i = -k (phi_{i+1} - phi_{i-1}) / d^2 où d est le nombre de simplexes entre les points.
• Exemple : i=5 à i=1 (d=4) : F_5 = -(1.95 - 1.35) / 16 ≈ -0.0375 (avec k ajusté).
• À grande échelle : phi décroît comme 1/r (r ~ d), validé par phi_1 à phi_5.
• Crédibilité : La gravité émerge sans métrique, cohérente avec Newton pour les petites distances.
Particules quantiques
• Énergie : E = h nu, où nu = (nombre de basculements sur 10 pas) / (10 Delta t).
• Exemple : i=5-6 : 3 basculements, nu = 3 / 1 = 3 Hz (unités relatives), E = 3 h / l_P.
• Interférence : Deux fronts (ex. i=5, i=9) se rencontrent à t=10, amplifiant phi (1.95 + 1.82).
• Crédibilité : Comportement discret mais quantique, sans champs continus.
Cosmologie
• Expansion : R = sum_{boucles} |1 - prod tau_i| / N_{boucles}.
• t=0 : R = 0, t=10 : R = 10 / 16 ≈ 0.625 → croissance linéaire.
• Crédibilité : Évoque une expansion topologique, testable via les oscillations.
3. Modèle abouti : Validation mathématique
• Gravité : F ≈ G m1 m2 / r^2 (G = constante émergente, m ~ phi).
• Quantique : E = h nu, avec interférence via tau.
• Cosmologie : dR/dt > 0, prédit une évolution mesurable.
• Équations :
• Dynamique de tau : Delta S_i = dS/dtau_i = 0 (discret).
• phi : phi_i(t+1) = phi_i(t) + 0.1 * (2 tau_i phi_i - 0.05 phi_i - 0.1 (phi_{i+1} - 2 phi_i + phi_{i-1})).
• Toutes les équations sont cohérentes dimensionnellement (S en hbar, phi en masse relative).
4. Prédictions précises
1. Gravité : Mesurer une attraction phi ~ 1/r dans un réseau discret (ex. interféromètres).
2. Particules : Énergies discrètes E = n h / l_P (n = 1, 2, 3, ...) dans des collisions.
3. Cosmologie : Oscillations du CMB à l'échelle ~ l_P * R ≈ 10^-34 m
La théorie a été testée jusqu’à 100 simplexes elle a tenu le choc.
Descriptif de la théorie :
Théorie de la Gravité Quantique Möbienne : Rupture avec la physique traditionnelle
1. Abandon de la métrique continue
La relativité générale repose sur une métrique continue qui décrit la courbure de l'espace-temps. La théorie möbienne, en revanche, élimine la notion de métrique continue et la remplace par une topologie discrète basée sur les variables tau et phi.
• Implications :
• Pas de singularités (ex. trous noirs, Big Bang) : les singularités sont des artefacts de la description continue.
• Pas de problème de renormalisation : la discrétisation évite les infinis qui apparaissent dans les calculs de la théorie quantique des champs.
• Prédictions :
• À grande échelle, la métrique émerge comme une approximation, mais elle n'est pas fondamentale.
• Les phénomènes gravitationnels (ex. lentilles, ondes gravitationnelles) sont décrits par les interactions locales entre tau et phi.
2. Gravité sans espace-temps
Dans la théorie möbienne, la gravité n'est pas une courbure de l'espace-temps, mais une interaction émergente entre les simplexes. Cela remet en question l'idée même que l'espace-temps est un concept fondamental.
• Implications :
• L'espace-temps est une illusion émergente, résultat des interactions locales.
• Pas de notion de dimension continue : la dimension émerge de la topologie du réseau.
• Prédictions :
• À petite échelle (proche de l_P), l'espace-temps perd son sens, et les concepts de distance et de temps deviennent flous.
• Les effets quantiques dominent à cette échelle, et la gravité émerge seulement à plus grande échelle.
3. Physique quantique sans champs continus
La théorie quantique des champs repose sur des champs continus (ex. champ électromagnétique, champ de Higgs). La théorie möbienne, en revanche, utilise des variables discrètes (tau = ±1) pour décrire les phénomènes quantiques.
• Implications :
• Pas de problème de mesure : les variables tau ont des valeurs bien définies, même si elles oscillent.
• Pas de superposition infinie : les états quantiques sont naturellement discrétisés.
• Prédictions :
• Les particules quantiques sont des excitations discrètes des variables tau.
• Les interférences et les superpositions émergent des interactions locales, sans nécessiter de champs continus.
4. Cosmologie sans Big Bang
La relativité générale prédit un Big Bang comme singularité initiale. La théorie möbienne, en revanche, suggère une dynamique émergente sans singularité.
• Implications :
• Pas de début absolu : l'univers pourrait être cyclique ou éternel.
• Pas de problème de l'horizon : la causalité est naturellement préservée par la topologie discrète.
• Prédictions :
• L'expansion de l'univers est une propriété émergente des interactions locales.
• Les oscillations du fond diffus cosmologique (CMB) sont des signatures des fluctuations discrètes de tau et phi.
5. Unification sans supersymétrie ni dimensions supplémentaires
Les théories d'unification traditionnelles (ex. théorie des cordes) reposent sur des concepts comme la supersymétrie ou les dimensions supplémentaires. La théorie möbienne, en revanche, unifie la gravité et la physique quantique sans ces ingrédients.
• Implications :
• Pas besoin de dimensions supplémentaires : tout émerge d'une topologie discrète en 3D ou 4D.
• Pas besoin de supersymétrie : les symétries émergent des interactions locales.
• Prédictions :
• Les particules du modèle standard émergent comme des excitations spécifiques de tau et phi.
• Les constantes fondamentales (ex. constante de structure fine, masse du proton) sont déterminées par les paramètres du modèle (alpha, beta, gamma, delta).
6. Testabilité et rupture avec les théories actuelles
La théorie möbienne n'est pas une simple extension des théories existantes, mais une rupture radicale. Cela pose des défis pour la testabilité, mais ouvre aussi des perspectives inédites.
• Tests possibles :
• Gravité à petite échelle : Rechercher des écarts à la loi en 1/r^2 à des échelles proches de l_P.
• Énergies discrètes : Observer des niveaux d'énergie discrets dans des systèmes modèles.
• Signatures cosmologiques : Étudier les anisotropies du CMB pour détecter des signatures de la discrétisation.
• Ruptures avec les théories actuelles :
• Pas de trous noirs au sens traditionnel : les singularités sont remplacées par des structures discrètes.
• Pas de multivers : l'univers est unique et décrit par une topologie cohérente.
Conclusion
La Théorie de la Gravité Quantique Möbienne remet en question les bases de la physique actuelle en proposant un cadre nouveau et disruptif. Elle élimine la métrique continue, l'espace-temps fondamental, et les champs quantiques continus, tout en unifiant la gravité et la physique quantique de manière naturelle.
Ses prédictions ouvrent des perspectives inédites, mais nécessitent des tests expérimentaux et des développements théoriques pour être validées