• matière noire et champs de l'univers observable

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #50534  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : dimanche 26 octobre 2025 à 18:35tu sors du modèle descriptif qui voulait tout décrire avec la position et la vitesse.
Je n’ai jamais voulu tout décrire avec la position et la vitesse, juste décrire l’univers pas les qualités des corps qui s’y trouvent. On a établi une mécanique classique dans un espace physique à trois dimensions. Je propose une mécanique dans un espace à six dimensions qui représente l’univers, c’est tout.
 #50535  par moijdikssekool
 
Je propose une mécanique dans un espace à six dimensions qui représente l’univers, c’est tout.
ça on avait compris. Seulement, on peut toujours définir un point mobile avec, comme coordonnées, ses équations de mouvements, et de ces coordonnées on trouve alors la vitesse, comme tu as obtenu l'accélération à partir de la vitesse. Finalement, la 3D te suffirait!
Ici, on cherche plutôt à élémentariser la physique, à évacuer ce qui est redondant, éviter les hypothèses superflues etc.. Pour un ingénieur, c'est sûr c'est pas pratique, tu ne vas pas partir du big-bang et considérer 13.8Mda d'évolution pour calculer la résistance d'un pont, en tout cas on n'en est pas encore là! Mais pour construire un pont, tu passes par un système 6D, il est grossier, mais il est pratique, à notre échelle il nous convient
Mais pas pour la physique, on a fait mieux
 #50537  par moijdikssekool
 
Je ne comprends pas ce que ça veut dire
c'est dans les liens que j'ai donnés. Une particule est non ponctuelle, elle est constituée de dimensions propres, et nos dimensions macroscopiques sont localement constituées élémentairement de ces dimensions. Localement, la géométrie est un empilement de dimensions agencées suivant les symétries qui caractérisent les particules dont on subit les champs, c'est à dire les particules de l'univers observable. Les forces qui s'exercent sur la matière peuvent être décomposées en une somme de forces dirigées vers toutes les particules de l'univers observable.
Notre univers observable gonfle géographiquement dans l'univers, on voit toujours plus loin, il intersecte plus de matière, plus de dimensions, on peut donc déjà dire que la conséquence du temps est un phénomène non symétrique: l'accumulation local de dimensions au sein de nos dimensions macroscopiques, on ne peut donc revenir dans le passé. A la rigueur, dans un film SF, on pourrait, depuis le futur, manipuler les dimensions inférieures, les nôtres actuellement. Mes doigt bougent, par exemple, tout seuls, ils ne sont pas commandés par mon cerveau, des petits malins du futur m'ont hacké
Plus précisément, on peut qualifier l'univers de ligne épaisse dont la section augmente dimensionnellement avec le temps, une galaxie est une tranche du saucisson universel, j'identifie la phase π avec un vecteur Σuk/k, k<N sur chacune des 6 coordonnées macroscopiques, N~1E80
Cette géométrie est prédictive: le redshift drift des galaxies lointaines sera opposé à celui du modèle actuel
 #50538  par Dick
 
moijdikssekool a écrit : dimanche 26 octobre 2025 à 22:10
Je propose une mécanique dans un espace à six dimensions qui représente l’univers, c’est tout.
ça on avait compris. […] Finalement, la 3D te suffirait!
Je ne suis pas sûr que tu aies bien compris.
Ma proposition ne fait que modéliser l’univers dans son entièreté (i.e. tous les points de l’univers). Il modélise aussi l’univers perceptible par les ondes électromagnétiques (l’univers observable), y compris le fond diffus cosmologique et le big-bang même si on ne peut pas le percevoir. On tire ensuite des résultats très intéressants en comparant ces deux modèles, en particulier dans la construction de ponts.
Dernière modification par Dick le lundi 27 octobre 2025 à 19:34, modifié 5 fois.
 #50539  par externo
 
Une particule est non ponctuelle, elle est constituée de dimensions propres , et nos dimensions macroscopiques sont localement constituées élémentairement de ces dimensions.
La réalité est plus simple. Les particules sont non ponctuelles car elles sont des solitons (ondes stationnaires non linéaires) d'espace-temps.
Ici il y a 3 vidéos que tu peux regarder où simplement lire leur description par l'IA.
viewtopic.php?p=48953#p48953
La théorie des solitons s'est surtout développée grâce à l'optique rendue non linéaire au moyen de l'effet Kerr ou de photo-réfraction, l'expérience et la théorie s'épaulant : soit une onde lumineuse plane dont l'intensité décroît en fonction de la distance à un point central. Vers le centre, l'accroissement de l'indice de réfraction, qui résulte de l'accroissement de l'intensité, réduit la vitesse de propagation et l'onde devient convergente ; mais cette convergence est limitée du fait de la défaillance de l'optique géométrique. L'expérience ainsi que la résolution des équations de Maxwell montrent que l'essentiel de l'énergie lumineuse se propage en un filament entouré d'une onde évanescente. L'énergie étant concentrée dans deux directions perpendiculaires au filament et se propageant dans une troisième, on nomme ce filament « soliton 2+1 ». La présence d'un filament voisin modifie différemment le champ électromagnétique suivant qu'on se trouve du côté voisin ou du côté opposé au filament voisin, de sorte que la variation résultant du champ, donc de l'indice de réfraction, courbe le filament. Le filament peut être courbé de façon à former un tore, par exemple en postulant que la perméabilité magnétique du milieu croît aussi avec le champ. Le tore ainsi obtenu est un soliton tridimensionnel (3+0) qui peut représenter une particule. Ces particules possèdent toutes les propriétés des particules matérielles : leurs interactions par leurs champs évanescents permettent, en particulier, des interférences.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soliton
Un électron filmé :


La physique standard interpréte les anneaux comme des probabilités de présence dues au passage d'un très grand nombre d'électrons ponctuels, mais en fait il s'agit de la densité d'énergie d'un seul soliton. Mais l'électron interrragit bien en un point seulement, qui est son centre ou oeil, donc c'est bien une grande quantité d'électron seulement qui produit la figure qui apparaît.
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