• La cosmologie expansionniste:de son 'âge d'or' à son 'âge le plus sombre

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #24037  par Cosentino
 
Bonjour

Il y a l'Univers observé et l'Univers observable.
Sur de tels problèmes je n'engage que les équations du "NBBF" quantique.


1) merci pour toutes tes informations.
2) Mais qu'est ce que l'univers selon toi précisément ? Dans la phrase "l'univers est en expansion", qu'est ce que tu entends par univers par exemple ?
3) peux tu développer ta vision des choses sur la matière sombre et l'énergie sombre ?


1) Pour moi cela est un grand plaisir de discuter afin de partager des informations qui sortent du cadre classique ( cadre qui semble nous conduit vers de plus en plus d' impasses...).

2) Selon le "NBBF" quantique la "forme" et la masse de notre Univers se calcule avec les équations de la géométrie euclidienne. Du coup notre Univers semble avoir un "centre" et un "extérieur" comme une "boule" ( ou une "bulle pleine" ) et non comme une sphère d'Einstein...
Disons tout de suite (car cette explication pourrait être très choquante pour certains habitués à une géométrie non euclidienne) que rien dans les lois de la physique n'interdit que notre Univers soit une "boule" au sens euclidien du terme...
Voici une référence tirée de mon tome 2 ( page 16 ) où on note qu'il n'est pas exclu que notre Univers soit une gigantesque "bulle" et que notre Galaxie soit proche du centre[1].

Voici une seconde référence où nous lisons:
"Plus récemment, à Genève, nous avons testé des modèles qui, contrairement à la relativité, supposent l'existence de référentiels privilégiés ( liés aux appareils de mesure, ou correspondant à un référentiel privilégié universel comme le centre de masse de l'Univers)".[2]

Notre Univers aurait-il un "centre de masse"?
Cela n'est pas exclu par les équations du "NBBF" quantique...
Donc au cours des 18 milliards d'années d'expansion c'est toute la "boule" qui se serait dilatée. Ensuite lorsque cette "boule" serait devenue globalement à dimension fractale D ( avec D = 2,726 8 ) alors notre "Univers-boule" ( ou "Univers-bulle" ) aurait STOPPER sa dilatation ou expansion.
Pour se maintenir en parfait équilibre statique cet "Univers-boule" tourne avec une vitesse très faible.

3) Comme déjà précisé selon les équations du "NBBF" la matière sombre est de l'hélium 4 superfluide à une température de 2,18 K.
Voici un lien qui relate des travaux de recherche qui vont dans le sens de la prévision du "NBBF" où la masse de l'hélium 4 superfluide est très proche de la masse de ces travaux de recherche ( masse selon le "NBBF" : 4 fois la masse du proton et selon ces travaux de recherche : 5 fois la masse du proton ) :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... eil_24594/

Une des propriétés de l'hélium superfluide est d'empêcher que la température de 2,726 K augmente ou diminue. Nous savons que l'hélium superfluide a des propriétés très étonnantes.[3]

En ce qui concerne l' "énergie sombre" ou le "vide quantique", les équations du "NBBF" quantique nous montrent que l' "énergie du vide" est plein de potentiel. Dans cet "éther moderne" c'est une sorte de "mer de Dirac" où les électrons virtuels vibrent avec des vitesses relativistes. Ces électrons virtuels et relativistes jouent un rôle très important dans le maintien de la température du FDC que nous savons être à 2,726 K! D'ailleurs dans une de ces équations, pour le calcul de la température du FDC, nous trouvons la longueur d'onde de Compton de l'électron .

Références

[1] George F. R. Ellis : "Les Limites de l'entreprise cosmologique", La Recherche, hors-série n° 1 , avril 1998. Georges F. R. Ellis est Professeur au département de mathématique de l'Université du Cap.

[2] Nicolas Gisin, Université de Genève: Une question féconde, Pour la science - n°379, page 57.

[3] Pour plus d'informations sur les propriétés étonnantes de l'hélium 4 superfluide, lire l'article de Didier Cornuet, ancien Ingénieur au CERN, paru dans la revue Fusion n° 61, mai-juin 1996. C'est suite à sa lecture de mon tome 1 que M. Cornuet a publié son article dans Fusion. De cela est né une étroite collaboration pour mettre en évidence que l'hélium 4 superfluide est un excellant candidat à la matière sombre...
 #24040  par bongo
 
Voici un lien qui relate des travaux de recherche qui vont dans le sens de la prévision du "NBBF" où la masse de l'hélium 4 superfluide est très proche de la masse de ces travaux de recherche ( masse selon le "NBBF" : 4 fois la masse du proton et selon ces travaux de recherche : 5 fois la masse du proton ) :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... eil_24594/
Je ne vois à aucun moment parler de la masse de l'hélium superfluide... (surtout que la structure du noyau d'hélium est connu : 2 protons et 2 neutrons mélangé à un taux d'isotope moindre de 2 protons et 1 neutron).

Dans le lien donné, cela parle des particules de matière noire, qui aurait une masse de 4 ou 5 GeV. Alors je n'ai peut-être pas bien compris.

Au fait ? Dans quelle université vous enseignez ?
 #24041  par Cosentino
 
Bonjour "bongo"

Cosantino> comment tu expliques le spectre de corps noir du rayonnement fossile ?

Il y a un point qui me gêne particulièrement, c'est la dimension fractale, comparée à la température du rayonnement fossile, on dirait de la numérologie... Si je change l'échelle de température... ça ne marche plus. Enfin bon ça c'est juste des bases de physique... on ne peut pas comparer un nombre sans dimension, et une mesure...


Le spectre du FDC à 2,726 K est bien un corps noir. Cela signifie que les conditions d'équilibre de notre Univers seraient maintenus et non disparus comme certains le pense. Dans un Univers qui ne serait plus en expansion, depuis au moins quelques 180 milliards d'années, il en résulte que la forme de ce spectre de corps noir n'est aucunement modifiée puisque la "mer de Dirac" ou "énergie du vide" conserve sa "masse volumique électronique" à un niveau constant pour l'éternité!
Cette situation semble possible si le "Bilan Thermodynamique" ( BT ) entre l' "absorption" ( dT) et l' "émission" ( - dT) du spectre du corps noir de la "mer de Dirac" serait nul et indépendant du temps par la relation

BT = dT - dT = 0

En ce qui concerne l'hypothèse, du "NBBF" quantique, qu'il existerait une relation entre la température du FDC à T = 2,726 K et la dimension fractal de l' "éponge de Menger" D = 2,726 8 de notre Univers il faut que la relation suivante soit satisfaite:

T= k D

Je reconnais que cette relation demande beaucoup plus de développement ... cela sera fait selon vos questions ultérieures...
En tout cas rien ne m'interdit de faire cette hypothèse car certaines constatations donnent déjà une valeur D observée de 2,5 pour 2,726 8...
Affaire à suivre...
 #24042  par bongo
 
puisque la "mer de Dirac" ou "énergie du vide" conserve sa "masse volumique électronique" à un niveau constant pour l'éternité!
je n'ai pas compris la déduction.
BT = dT - dT = 0
Je ne comprends pas d'où vient ce bilan. De quel principe part-on ?
T= k D
Bien sûr T est la température ? en Kelvin ? D est la dimension fractale, donc sans unité ?
Mais qu'est-ce que k ? la constante de Boltzmann ?

En tout cas l'un des avantages de ne pas avoir suivi de cours de physique est de ne pas être formaté par le système académique.
Cependant le plus gros inconvénient est de ne pas parler le même langage que les personnes qui sont sensées juger de vos travaux.
 #24045  par soralien
 
Selon le "NBBF" quantique la "forme" et la masse de notre Univers se calcule avec les équations de la géométrie euclidienne. Du coup notre Univers semble avoir un "centre" et un "extérieur" comme une "boule" ( ou une "bulle pleine" ) et non comme une sphère d'Einstein...
Disons tout de suite (car cette explication pourrait être très choquante pour certains habitués à une géométrie non euclidienne) que rien dans les lois de la physique n'interdit que notre Univers soit une "boule" au sens euclidien du terme...


Peux tu développer ce point ? Parce que dis comme ça, ça paraît pas très logique…
Et par quels paramètres physique limites tu cette « boule euclidienne » que tu évoques dans ce cas ?
 #24131  par Cosentino
 
Bonjour

Voici un lien qui relate des travaux de recherche qui vont dans le sens de la prévision du "NBBF" où la masse de l'hélium 4 superfluide est très proche de la masse de ces travaux de recherche ( masse selon le "NBBF" : 4 fois la masse du proton et selon ces travaux de recherche : 5 fois la masse du proton ) :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/ ... eil_24594/
Je ne vois à aucun moment parler de la masse de l'hélium superfluide... (surtout que la structure du noyau d'hélium est connu : 2 protons et 2 neutrons mélangé à un taux d'isotope moindre de 2 protons et 1 neutron).

Dans le lien donné, cela parle des particules de matière noire, qui aurait une masse de 4 ou 5 GeV. Alors je n'ai peut-être pas bien compris.

Au fait ? Dans quelle université vous enseignez ?


Dans le lien en référence ce qui est intéressant c'est que la valeur de 5 fois la masse du proton est très proche de la valeur théorique fournie par le "NBBF"quantique ( 4 fois la masse du proton ).
Il est vrai que dans ce lien on ne parle pas d' "hélium superfluide" ... mais pourquoi trouvons-nous, indépendamment, une masse très voisine?...
N'oublions pas que l'hélium superfluide, dans l'hypothèse où il serait la "matière sombre", reste invisible et a une viscosité pratiquement nulle. Par contre il se manifeste par sa masse.
Le fait qu'on obtient indépendamment presque la même masse semblerait indiquer que l'hypothèse de la "matière sombre" du "NBBF" serait sur la bonne voie...
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