• La Mécanique Néo-Newtonienne

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #43065  par Tutiou
 
C'est vrai, désolé.

Je ne suis pas assez calé pour comprendre ce que tu proposes Y-16
 #43116  par Olivier
 
Je n'ai pas souvenir d'avoir lu quelque part qu'en mécanique quantique temps est universel (vidéo à 1:12).

"Les mondes que chacune [la Mécanique Quantique et la Relativité Générale] décrit ne se ressemblent pas. Elles se représentent de façon radicalement différentes les notions de base de la physique que sont la force, l'espace, le temps ou la matière.

L'une considère la force comme un échange de quantons, alors que l'autre la conçoit comme une déformation de l'espace-temps ;

l'une [la MQ] voit l'espace-temps plat et statique, l'autre [la RG] bosselé et dynamique ;

l'une confère au hasard un rôle prépondérant, l'autre, inexistant..."


Science & Vie Hors Série N°260 de septembre 2012, page 121
 #43144  par Tutiou
 
Oui je suis d'accord, l'espace-temps en MQ, c'est un gros bazar, ça part dans tous les sens alors qu'en RG, c'est lisse et a de belles courbes. Mais ça ne vient pas justifier qu'en MQ le temps est universel Y-16
 #49164  par Dick
 
La mécanique newtonienne est valable pour les vitesses petites devant celle de la lumière. Une extension de celle-ci aux grandes vitesses est possible en changeant simplement la définition de l’impulsion.
 #49178  par bongo
 
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19Précédemment partisan de la Théorie de la Relativité, j'étais néanmoins gêné par
- la variabilité du temps (par exemple, que le temps ne s'écoule pas de la même manière que l'on soit à l'Equateur ou aux Pôles)
Et pourtant c'est ce que montre l'expérience.
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19- l'invariance de la lumière (que la lumière nous arrive exactement à la même vitesse que la source lumineuse s'éloigne ou se rapproche de nous).
voir l'expérience de Pound et Rebka.
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19Si la théorie de Newton a été dépassée par celle d'Einstein, rappelons que 99% des problèmes, y compris spatiaux, sont encore résolus dans le cadre de la mécanique newtonienne. Cette mécanique (basée sur l'écoulement constant du temps et la "force" de gravitation) n'est donc peut-être pas à rejeter.
Parce que la théorie de Newton est une très bonne approximation à basse vitesse d'une théorie plus fondamentale : la RG.
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19C'est pourquoi j'ai essayé de regarder s'il n'était pas possible de conserver la mécanique newtonienne en la faisant évoluer sur deux points qui n'étaient pas discernables à l'époque de son élaboration :
1) Si Newton avait distingué qualitativement la masse gravitationnelle de la masse inerte, il n'était alors pas possible de mesurer leur différence et il avait conclu à leur égalité numérique. C'est ainsi que je garde bien les 2 concepts de masse inerte et de masse gravitationnelle, mais en les reliant par le facteur de Lorentz γ
Sur quelle base expérimentale ?
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:192) J'ai également supposé l'existence d'une limite asymptotique, notée 's', à peine supérieure (dans la limite de l'incertitude de mesure) à la célérité 'c' de la lumière dans notre référentiel.
Ce qui ne laisse pas invariant les équations de Maxwell...
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19...

N'étant ni astrophysicien ni astronome, c'est un travail indépendant qui demande à présent d'être confronté à des avis externes et critiques (même si les articles ont été essentiellement publiés dans des revues à Comité de Lecture).
C'est aussi le problème... c'est pourquoi il faut passer par les cercles académiques. Trop d'amateurs pensent révolutionner la physique...
Olivier a écrit : jeudi 3 août 2017 à 21:19afin de pouvoir m'indiquer dans la démonstration les erreurs de calcul ou le besoin de clarification ou les défauts d'argumentation.
Si j'ai le temps je regarderai... la vidéo ne dit absolument rien.

Je note aussi un contre-sens flagrant entre relativité restreinte et relativité générale... et des notions de relativité ou équivalence de référentiel inertiel très flous.
 #49179  par bongo
 
Tu as écrit que Maxwell introduit c en 1862 sauf que ce n’est pas tout à fait cela. Il a publié ses équations en 1865, et a montré que la permittivité diélectrique du vide, et la perméabilité magnétique du vide se combinent pour donner une vitesse de propagation de solutions non triviales sans source et sans courant. Il se trouve qu’ayant calculé cette vitesse avec les données de l’époque, la valeur numérique est très proche de la vitesse connue de la lumière mesurée par Foucault en 1862 par exemple.

Toujours dans l’introduction, tu dis que les physiciens ont supposé que soit l’espace était contracté, soit le temps dilaté, soit la masse augmentait…
Lorentz a probablement tâtonné pour établir les transformations de Lorentz (qui étaient fausses) et c’est Poincaré qui arrivera à la bonne forme. Cependant, Einstein est parti de l’hypothèse de l’invariabilité de la vitesse de la lumière quelque soit le référentiel et du principe de relativité de Galilée qui est que deux observateurs dans deux référentiels inertiels observent les mêmes lois de la physique.
Il se trouve que dans la forme moderne, on peut simplement laisser tomber la première hypothèse : l’invariabilité de la vitesse de la lumière, et en supposant l’équivalence des référentiels galiléens (ce qui suppose d’autres hypothèses sous_jacentes raisonnables, comme la structure de groupe algébrique) et l’homogénéité, et isotropie de l’espace, on arrive à des transformations qui ont exactement la même forme que celles de Lorentz, et un paramètre apparaît, et on voit que les transformations de Galilée sont plutôt une forme particulière.

A partir de là, on montre que la masse d’inertie peut changer avec le référentiel (et donc la source de gravitation).

Dans la partie 2.1 je ne suis pas d’accord. Il y a des preuves expérimentales d’un écoulement du temps différent en fonction de l’altitude (voir l’expérience de Pound et Rebka) ainsi que dû au mouvement. Si le GPS ne prenait pas en compte cela, et bien il n’y aurait pas de GPS.
Ensuite en mécanique quantique, il est faux de dire que cela ne prend pas en compte un temps variable. Voir la théorie quantique des champs qui intègre tout le formalisme de la relativité restreinte.

Il y a également un contresens sur la contraction des longueurs… en augmentant la vitesse, on n’augmente pas la température… et la contraction des longueurs est un effet relativiste, lié à la relativité de la simultanéité.

Section 2.3 tu supposes que le mouvement n’influe pas dans les sources de gravitation et seulement dans la masse inerte et je pense que cette assertion est un conte-sens.

Je ne comprends pas ta section 3.2 tu rajoutes encore une hypothèse : E=mc² ou un truc arbitraire E=ms² alors que cette équation découle des hypothèses de la relativité (invariance de c et équivalence des référentiels inertiels).

Pour la démonstration du facteur de Lorentz, je n’ai pas bien compris les manipulations des différentielles, surtout le passage de l’équation 22 à 23
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