C'est vrai, désolé.
Je ne suis pas assez calé pour comprendre ce que tu proposes
Je ne suis pas assez calé pour comprendre ce que tu proposes

Je n'ai pas souvenir d'avoir lu quelque part qu'en mécanique quantique temps est universel (vidéo à 1:12).
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19Précédemment partisan de la Théorie de la Relativité, j'étais néanmoins gêné parEt pourtant c'est ce que montre l'expérience.
- la variabilité du temps (par exemple, que le temps ne s'écoule pas de la même manière que l'on soit à l'Equateur ou aux Pôles)
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19- l'invariance de la lumière (que la lumière nous arrive exactement à la même vitesse que la source lumineuse s'éloigne ou se rapproche de nous).voir l'expérience de Pound et Rebka.
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19Si la théorie de Newton a été dépassée par celle d'Einstein, rappelons que 99% des problèmes, y compris spatiaux, sont encore résolus dans le cadre de la mécanique newtonienne. Cette mécanique (basée sur l'écoulement constant du temps et la "force" de gravitation) n'est donc peut-être pas à rejeter.Parce que la théorie de Newton est une très bonne approximation à basse vitesse d'une théorie plus fondamentale : la RG.
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19C'est pourquoi j'ai essayé de regarder s'il n'était pas possible de conserver la mécanique newtonienne en la faisant évoluer sur deux points qui n'étaient pas discernables à l'époque de son élaboration :Sur quelle base expérimentale ?
1) Si Newton avait distingué qualitativement la masse gravitationnelle de la masse inerte, il n'était alors pas possible de mesurer leur différence et il avait conclu à leur égalité numérique. C'est ainsi que je garde bien les 2 concepts de masse inerte et de masse gravitationnelle, mais en les reliant par le facteur de Lorentz γ
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:192) J'ai également supposé l'existence d'une limite asymptotique, notée 's', à peine supérieure (dans la limite de l'incertitude de mesure) à la célérité 'c' de la lumière dans notre référentiel.Ce qui ne laisse pas invariant les équations de Maxwell...
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19...C'est aussi le problème... c'est pourquoi il faut passer par les cercles académiques. Trop d'amateurs pensent révolutionner la physique...
N'étant ni astrophysicien ni astronome, c'est un travail indépendant qui demande à présent d'être confronté à des avis externes et critiques (même si les articles ont été essentiellement publiés dans des revues à Comité de Lecture).
Olivier a écrit : ↑jeudi 3 août 2017 à 21:19afin de pouvoir m'indiquer dans la démonstration les erreurs de calcul ou le besoin de clarification ou les défauts d'argumentation.Si j'ai le temps je regarderai... la vidéo ne dit absolument rien.