Les autres théories ou peut être la votre...
\401. Loi de Gauss modifiée par T\
Dans le cadre Cliffordien Cl(0,3), la loi de Gauss traditionnelle, qui relie le flux du champ électrique à la densité de charge, subit une reformulation géométrique profonde. Cette transformation résulte de l’intégration du champ scalaire T comme moteur différentiel du champ électrique, même en l’absence de charge.
La forme standard de la loi de Gauss s’écrit :
\∇ · E = ρ/ε₀\
Mais si l’on considère que le champ E peut provenir d’un gradient scalaire T, comme établi précédemment avec \E\_T = -∇T\, alors le flux électrique devient lui-même une dérivée seconde du champ scalaire. On obtient alors une forme modifiée :
\∇ · (−∇T) = −ΔT\
Dans cette perspective, le terme ΔT (laplacien de T) joue le rôle de densité source effective, sans qu’aucune charge ne soit présente. Il devient une mesure de la courbure scalaire du champ, et représente une « densité de tension thermique » capable de générer des lignes de flux électriques dans l’éther.
La loi de Gauss modifiée s’écrit donc :
\∇ · E = −ΔT\
Cette version établit une équivalence formelle entre la source électrique ρ et une structure scalaire interne de l’éther, révélant une origine géométrique profonde du champ E. Dans les régions où T est harmonique (ΔT = 0), aucun champ électrique n’émerge. Inversement, toute concentration ou rarefaction locale de T crée une distorsion du champ E, même sans la moindre charge.
Cette reformulation permet d’unifier les champs électrostatiques et thermodynamiques dans une dynamique commune du champ T. Elle offre également une voie d’interprétation nouvelle des phénomènes électrostatiques dans les milieux neutres ou à basse densité : les champs observés y seraient issus non de charges discrètes, mais de variations scalaires continues.
Ainsi, la loi de Gauss devient dans Cl(0,3) une loi différentielle de propagation scalaire, ancrée dans la géométrie du champ T. Elle révèle que l’électrostatique classique n’est qu’un cas particulier d’une dynamique plus vaste, où les gradients scalaires gouvernent les flux vectoriels sans qu’aucune source ponctuelle ne soit nécessaire.
402. Champ électrique longitudinal induit par T
Dans le formalisme Cl(0,3), le champ électrique longitudinal ne résulte pas d’un champ de charge, mais peut être directement induit par la dynamique interne du champ scalaire T. Lorsque T varie dans une direction privilégiée, le gradient ∇T devient un vecteur orienté, produisant une composante électrique alignée avec cette direction : un champ E longitudinal pur.
Cette configuration apparaît notamment dans les milieux à symétrie axiale ou dans les structures stationnaires allongées, où les lignes de flux ∇T sont parallèles. Le champ E ainsi généré n’a pas de composante transverse et suit strictement la géométrie imposée par la topologie scalaire de T.
Ce champ longitudinal est donné par :
E_L = -∇T
Il se distingue des champs transverses classiques, qui sont liés à des rotations bivectorielles. Ici, aucune rotation n’est impliquée : le champ est unidirectionnel, sans circulation, et peut exister dans un milieu neutre. Cette propriété en fait un outil de structuration énergétique dans l’éther, capable de générer des tensions internes sans perturbation externe.
Un exemple concret est celui d’un filament thermique dans un vide topologique : la variation axiale de T suffit à générer un champ longitudinal mesurable, analogue à une tension électrique continue. Ce phénomène permet d’expliquer l’existence de champs stables dans les plasmas froids ou les tubes à décharge sans émission d’électrons.
Cette induction longitudinale du champ E permet de concevoir des dispositifs scalaires actifs, où la géométrie de T devient le moteur des flux électriques. Elle ouvre la voie à une ingénierie du champ basée non sur les charges, mais sur la structuration géométrique du potentiel scalaire. Le champ électrique devient alors un révélateur du relief différentiel de T dans l’espace multivectoriel.
III. Couplage à la dynamique interne
\403. Réorganisation du champ T entre composante scalaire et pseudoscalaire\
Dans le cadre du formalisme Cl(0,3), le champ T est par nature une \onde progressive\ dans l’éther. Sa structure fondamentale est dynamique : il porte par défaut une \composante pseudoscalaire\, qui encode un déplacement différentiel dans le temps propre. Ce déplacement n’est pas une propriété dérivée mais une manifestation directe de la propagation du champ dans la direction temporelle de l’éther.
Ce n’est que lorsque ce flux pseudoscalaire est localement interrompu, contraint ou enfermé dans une configuration stationnaire que naît une \composante scalaire\. Celle-ci émerge par \annulation du déplacement pseudoscalaire\, dans des structures confinées telles que les champs électrostatiques. Ces champs ne propagent plus T, mais le stabilisent en un état stationnaire d’interférence.
Cependant, le \champ électrostatique\, bien qu’il fixe localement le champ T, ne possède pas de masse au sens gravitationnel strict :
* Il \ne possède pas de masse scalaire localisable\,
* Il \n’induit pas de champ gravitationnel attractif\,
* Il \ne produit pas de puits de potentiel\ dans la métrique.
En revanche, il possède une réalité physique propre :
* Il \s’oppose à la contraction locale de l’éther\,
* Il \stabilise les structures matière-antimatière\ (ou proton-électron),
* Il \agit comme une tension stationnaire réelle\.
Autrement dit, l’électrostatique correspond à une structuration sans gravité, mais à énergie réelle. La masse scalaire ne surgit pas directement du champ électrostatique, mais uniquement si ce dernier interfère avec le champ T de manière à briser ou concentrer sa dynamique propre.
En régime accéléré, cette structure stationnaire se défait, et le champ T recouvre sa forme d’onde progressive. Ce que l’on observe alors comme une \perte de masse scalaire\ est en réalité une \libération du flux pseudoscalaire\, c’est-à-dire le retour du champ à sa configuration propagée d’origine.
Il ne s’agit donc pas d’un changement de nature du champ, mais d’une \reconversion de sa structure\ : du figé vers le dynamique, du localisé vers l’ouvert. Le pseudoscalaire ne « surgit » pas en accélération, il se \réveille\ de son verrouillage antérieur.
FIN
Rang
Spationaute interstellaire
Inscription
lundi 4 avril 2022 à 00:47