Bonjour,
Je suis ingénieur. Depuis 6 ans, j’écris une thèse en physique sur l’effet Pioneer. Selon mes calculs, cet effet ne serait qu’une illusion causée par le fait que la lumière accélère au cours du temps. L’effet Doppler utilisée pour mesurer la vitesse de la lumière prend pour acquis que la lumière a une vitesse constante (suite au postulat d’Einstein). Comme la lumière accélère de 1 m/s à tous les 35.4 ans, cela donne l’impression que les sondes ralentissent. C’est un phénomène de point de référence similaire à la situation qui prévaut dans un stationnement lorsqu’on prend pour acquis qu’une autre voiture est stationnée. Lorsqu’elle se met à avancer, cela nous donne l’impression de reculer.
Einstein a démontré en 1911 qu’un champ gravitationnel pouvait ralentir la lumière en augmentant l’indice de réfraction du vide. Sur cette base, nous formulons l’hypothèse que l’expansion de l’univers causerait une diminution de l’influence des champs gravitationnels sur la lumière, lui permettant une légère accélération.
Se référant aux constantes c, G et H0, nous proposons 4 équations pour obtenir le rapport « b » entre la vitesse d’expansion de l’univers matériel et celle de la lumière, la masse apparente « mu » et le rayon de courbure « ru » de l’univers et enfin le paramètre « k » qui serait la vitesse asymptotique de la lumière. Avec H0=70,4 km/(s*MPsec) (selon les résultats publiés en février 2011 du projet WMAP de la NASA). Ces paramètres permettent de calculer l’accélération de la lumière aL=8.95x10E-10 m/s2 et celle des sondes Pioneer car l’accélération Pioneer ap=-aL. Ces résultats sont comparables à ceux mesurés par la NASA, soit ap=8.74x10E-10m/s2 (selon Brownstein et Moffat).
Selon mes calculs, ap=-aL=-c*H0/b où b=0.76. En lisant sur le sujet, vous trouverez quelques auteurs qui obtiennent ap=-c*H0, mais ceux-ci sont obligés de dire que H0 est près de 90 km/(s*MPsec), ce qui ne concorde évidemment pas avec la réalité. Le facteur "b" vient du fait que la matière ne peut pas prendre de l'expansion dans l'univers à la même vitesse que la lumière. Le fait que b=0.76 veut dire que l'univers matériel se déplace à 0.76 fois la vitesse de la lumière. Ceux qui disent que ap=-c*H0 assument que l'univers matériel se déplace à la vitesse de la lumière, ce qui est une absurdité en soit selon les équations de la relativité.
La thèse est disponible en français et en anglais sur le site www.pragtec.com/physique/
Le titre du document est : « La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante ».
Un document de vulgarisation ainsi qu’une présentation Power Point est disponible sur le même site.
Si vous avez lu cette thèse et que vous avez des commentaires basés sur des calculs (et non des impressions émotionnelles), vous pouvez me contacter à pleinaircanada@yahoo.ca (E-Mail à la maison).
Il est impossible de concevoir un univers en expansion sans que cela ait une influence sur la vitesse de la lumière. Même ici sur terre, la vitesse de la lumière est 6m/s moins vite que la constante "c" en raison de la présence du Soleil et de la Terre.
Claude Mercier, ing.
Je suis ingénieur. Depuis 6 ans, j’écris une thèse en physique sur l’effet Pioneer. Selon mes calculs, cet effet ne serait qu’une illusion causée par le fait que la lumière accélère au cours du temps. L’effet Doppler utilisée pour mesurer la vitesse de la lumière prend pour acquis que la lumière a une vitesse constante (suite au postulat d’Einstein). Comme la lumière accélère de 1 m/s à tous les 35.4 ans, cela donne l’impression que les sondes ralentissent. C’est un phénomène de point de référence similaire à la situation qui prévaut dans un stationnement lorsqu’on prend pour acquis qu’une autre voiture est stationnée. Lorsqu’elle se met à avancer, cela nous donne l’impression de reculer.
Einstein a démontré en 1911 qu’un champ gravitationnel pouvait ralentir la lumière en augmentant l’indice de réfraction du vide. Sur cette base, nous formulons l’hypothèse que l’expansion de l’univers causerait une diminution de l’influence des champs gravitationnels sur la lumière, lui permettant une légère accélération.
Se référant aux constantes c, G et H0, nous proposons 4 équations pour obtenir le rapport « b » entre la vitesse d’expansion de l’univers matériel et celle de la lumière, la masse apparente « mu » et le rayon de courbure « ru » de l’univers et enfin le paramètre « k » qui serait la vitesse asymptotique de la lumière. Avec H0=70,4 km/(s*MPsec) (selon les résultats publiés en février 2011 du projet WMAP de la NASA). Ces paramètres permettent de calculer l’accélération de la lumière aL=8.95x10E-10 m/s2 et celle des sondes Pioneer car l’accélération Pioneer ap=-aL. Ces résultats sont comparables à ceux mesurés par la NASA, soit ap=8.74x10E-10m/s2 (selon Brownstein et Moffat).
Selon mes calculs, ap=-aL=-c*H0/b où b=0.76. En lisant sur le sujet, vous trouverez quelques auteurs qui obtiennent ap=-c*H0, mais ceux-ci sont obligés de dire que H0 est près de 90 km/(s*MPsec), ce qui ne concorde évidemment pas avec la réalité. Le facteur "b" vient du fait que la matière ne peut pas prendre de l'expansion dans l'univers à la même vitesse que la lumière. Le fait que b=0.76 veut dire que l'univers matériel se déplace à 0.76 fois la vitesse de la lumière. Ceux qui disent que ap=-c*H0 assument que l'univers matériel se déplace à la vitesse de la lumière, ce qui est une absurdité en soit selon les équations de la relativité.
La thèse est disponible en français et en anglais sur le site www.pragtec.com/physique/
Le titre du document est : « La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante ».
Un document de vulgarisation ainsi qu’une présentation Power Point est disponible sur le même site.
Si vous avez lu cette thèse et que vous avez des commentaires basés sur des calculs (et non des impressions émotionnelles), vous pouvez me contacter à pleinaircanada@yahoo.ca (E-Mail à la maison).
Il est impossible de concevoir un univers en expansion sans que cela ait une influence sur la vitesse de la lumière. Même ici sur terre, la vitesse de la lumière est 6m/s moins vite que la constante "c" en raison de la présence du Soleil et de la Terre.
Claude Mercier, ing.