Salut.
La physique quantique nous dit que, lorsque nous prenons la décision de tourner à gauche plutôt qu'à droite par exemple, nous changeons d'univers (en gros résumé). Quoi que l'on fasse, la moindre de nos actions, la moindre de nos idées, fait que l'on change de "continuum" en permanence.
Donc, il n'y a pas de "présent". Notre "présent" n'est qu'une illusion perpétuelle. Perpétuelle, donc base de notre sentiment de présent.
Réfléchissons au concept de "maintenant". Quand je dis "maintenant", on est maintenant ici, ainsi qu'à l'autre bout de l'univers. Pourtant, courbure de l'espace oblige, quand je dis "maintenant", il y a 13.8 milliards d'années que j'ai dit "maintenant" d'un coté de l'univers visible, et c'est dans 13.8 milliards d'années qu'on entendra ma voix de l'autre. Si on accepte d'imaginer que d'un coté comme de l'autre, on puisse m'entendre instantanément. On m'entendra d'un coté comme de l'autre au même instant sauf que, de mon point de vue référentiel, une distance de 13.8 milliards d'années vers le futur ou le passé me séparera de mon "maintenant".
Il n'y a donc pas de paradoxe. Étant donné que "maintenant" n'existe que d'un point de vue relativiste. Si on continue d'imaginer, un observateur de cette scène, dégagé de toute contrainte temporelle, pourra penser que "maintenant" c'est tout le temps sur 27.6 milliards d'années lumière de distance (2 x 13.8).
Donc, peut importe notre voyage dans le temps, ou peu importe celui de John, car ce n'est pas mon moi de "maintenant" ou le John de "maintenant" qui voyage. C'est un John d'un autre univers quantique qui ne pourra jamais tuer son grand-père de "maintenant". Pas plus qu'il ne pourra bousiller le Skynet de "maintenant".
Ça fait quand même fumer les neurones de "maintenant".
La physique quantique nous dit que, lorsque nous prenons la décision de tourner à gauche plutôt qu'à droite par exemple, nous changeons d'univers (en gros résumé). Quoi que l'on fasse, la moindre de nos actions, la moindre de nos idées, fait que l'on change de "continuum" en permanence.
Donc, il n'y a pas de "présent". Notre "présent" n'est qu'une illusion perpétuelle. Perpétuelle, donc base de notre sentiment de présent.
Réfléchissons au concept de "maintenant". Quand je dis "maintenant", on est maintenant ici, ainsi qu'à l'autre bout de l'univers. Pourtant, courbure de l'espace oblige, quand je dis "maintenant", il y a 13.8 milliards d'années que j'ai dit "maintenant" d'un coté de l'univers visible, et c'est dans 13.8 milliards d'années qu'on entendra ma voix de l'autre. Si on accepte d'imaginer que d'un coté comme de l'autre, on puisse m'entendre instantanément. On m'entendra d'un coté comme de l'autre au même instant sauf que, de mon point de vue référentiel, une distance de 13.8 milliards d'années vers le futur ou le passé me séparera de mon "maintenant".
Il n'y a donc pas de paradoxe. Étant donné que "maintenant" n'existe que d'un point de vue relativiste. Si on continue d'imaginer, un observateur de cette scène, dégagé de toute contrainte temporelle, pourra penser que "maintenant" c'est tout le temps sur 27.6 milliards d'années lumière de distance (2 x 13.8).
Donc, peut importe notre voyage dans le temps, ou peu importe celui de John, car ce n'est pas mon moi de "maintenant" ou le John de "maintenant" qui voyage. C'est un John d'un autre univers quantique qui ne pourra jamais tuer son grand-père de "maintenant". Pas plus qu'il ne pourra bousiller le Skynet de "maintenant".
Ça fait quand même fumer les neurones de "maintenant".