Comment tenter de concevoir (ou d’expliquer) l’énigme de comportements quantiques qu’est la dualité des ondes-particules, et plus singulièrement, l’expérience des fentes de Young.
Une supposition pourrait être que nous soyons la projection d’un dispositif programmatique, la résultante d’une sorte de « visualisation » d’un processus originel. Si bien que lorsqu’on tente d’observer ou de mesurer un comportement d’ondes ou de particules, notre observation atteindrait probablement les limites ce que ce « programme » est en mesure de nous renvoyer comme résultat observable.
Afin de clarifier l’idée que je tente d’émettre, je propose une comparaison plus imagée.
Imaginons que nous concevions un programme informatique (appelons le « Prg1 ») dont la fonction est de dessiner la trajectoire d’un point traversant l’écran d’un ordinateur. Précisons maintenant que cet ordinateur est en fait équipé de deux écrans en mode clonage (affichages identiques sur les 2 écrans) mais nous décidons de n’utiliser qu’un seul écran pour l’instant.
L’algorithme de notre programme est conçu en sorte qu’à chaque fois qu’il s’exécute, la trajectoire du point qui est aléatoire, est très probablement différente que la précédente.
Imaginons maintenant que notre ordinateur soit conçu avec un tel niveau d’intelligence artificiel et d’autonomie, qu’il conçoive un autre programme (appelons le « Prg2 ») capable d’entreprendre indépendamment la mise en service du second écran (cloné), et d’observer les trajectoires des points issu du Prg1 sur les 2 écrans.
Les éléments dont dispose le programme Prg2 comme concept d’expérimentation sont :
1. Un programme Prg1 générant et affichant une trajectoire d’un point à chaque fois différente,
2. Deux écrans (2 possibilités) permettant d’observer (mesurer) le résultat de ce programme.
Intégrant le principe que le Prg1 ne produira toujours qu’une trajectoire du point aléatoire et différente à chaque résultat obtenu, le programme Prg2 s’attend à observer (mesurer) que sur chacun des 2 écrans, les trajectoires soient donc différentes.
Or lorsque nous avons écrit le programme Prg1, nous ne l’avions pas conçu pour que son algorithme puisse produire deux scénarios différents. Nous l’avions limité à ne produire qu’un seul résultat observable, n’anticipant pas que notre ordinateur acquerrait suffisamment d’autonomie et d’intelligence pour être capable un jour de pousser les investigations jusqu’à aller observer ce qui se passe au-delà du périmètre dans lequel il a été envisagé.
Vous saisirez que le parallèle à établir entre nous effectuant l’expérience des Fentes de Young et l’ordinateur est le suivant :
- Notre univers est l’ordinateur
- L’expérience des Fentes de Young ou la projection d’une particule … est le programme Prg1
- Notre démarche d’observer la trajectoire … c’est le programme Prg2
Une supposition pourrait être que nous soyons la projection d’un dispositif programmatique, la résultante d’une sorte de « visualisation » d’un processus originel. Si bien que lorsqu’on tente d’observer ou de mesurer un comportement d’ondes ou de particules, notre observation atteindrait probablement les limites ce que ce « programme » est en mesure de nous renvoyer comme résultat observable.
Afin de clarifier l’idée que je tente d’émettre, je propose une comparaison plus imagée.
Imaginons que nous concevions un programme informatique (appelons le « Prg1 ») dont la fonction est de dessiner la trajectoire d’un point traversant l’écran d’un ordinateur. Précisons maintenant que cet ordinateur est en fait équipé de deux écrans en mode clonage (affichages identiques sur les 2 écrans) mais nous décidons de n’utiliser qu’un seul écran pour l’instant.
L’algorithme de notre programme est conçu en sorte qu’à chaque fois qu’il s’exécute, la trajectoire du point qui est aléatoire, est très probablement différente que la précédente.
Imaginons maintenant que notre ordinateur soit conçu avec un tel niveau d’intelligence artificiel et d’autonomie, qu’il conçoive un autre programme (appelons le « Prg2 ») capable d’entreprendre indépendamment la mise en service du second écran (cloné), et d’observer les trajectoires des points issu du Prg1 sur les 2 écrans.
Les éléments dont dispose le programme Prg2 comme concept d’expérimentation sont :
1. Un programme Prg1 générant et affichant une trajectoire d’un point à chaque fois différente,
2. Deux écrans (2 possibilités) permettant d’observer (mesurer) le résultat de ce programme.
Intégrant le principe que le Prg1 ne produira toujours qu’une trajectoire du point aléatoire et différente à chaque résultat obtenu, le programme Prg2 s’attend à observer (mesurer) que sur chacun des 2 écrans, les trajectoires soient donc différentes.
Or lorsque nous avons écrit le programme Prg1, nous ne l’avions pas conçu pour que son algorithme puisse produire deux scénarios différents. Nous l’avions limité à ne produire qu’un seul résultat observable, n’anticipant pas que notre ordinateur acquerrait suffisamment d’autonomie et d’intelligence pour être capable un jour de pousser les investigations jusqu’à aller observer ce qui se passe au-delà du périmètre dans lequel il a été envisagé.
Vous saisirez que le parallèle à établir entre nous effectuant l’expérience des Fentes de Young et l’ordinateur est le suivant :
- Notre univers est l’ordinateur
- L’expérience des Fentes de Young ou la projection d’une particule … est le programme Prg1
- Notre démarche d’observer la trajectoire … c’est le programme Prg2