Bonjour
1) Qu'est ce qui m'interdit de "généraliser à tout l'univers" un nombre quantique principal "Nu0"?
Réponse: "bongo"!
Mais, dans l'absolu, que connait réellement "bongo" des propriétés quantiques de notre Univers?
"bongo" connaîtrait-il tous les mystères et les énigmes cosmologiques???...
Le nombre quantique principal "Nu0" fait partie d'une théorie où il s'intègre dans un ensemble d'équations qui forment un tout cohérent malgré que certaines de ces équations sont indépendantes les unes des autres. Malgré cette indépendance elles convergent toutes vers les mêmes valeurs. Ce qui justifie cette théorie c'est que de plus en plus de prévisions sont confirmées soient par des observations astronomiques soient par des expériences de laboratoires...
Nous savons de façon générale qu'en science, quand rien de l'interdit, l' EXTRAPOLATION peux se poser comme un POSTULAT...
2)"bongo" dit:
"Les 18 milliards d'années lumière ( ou 180 ) sont arbitraires. Vous n'expliquez pas non plus pourquoi l'expansion s'arrête pour Nu0 , et non pour n=1 ( à l'état fondamental)."
- la démonstration (basée sur une observation pertinante) des 180 milliards d'années ( qui serait l'âge MINIMUM de l'Univers) sera faite ultérieurement car cela réclame un développement assez long ...
-par contre en ce qui concerne l' "ARRÊT" de l'expansion de notre Univers lorsque Nu0 = 1,78.10^18
je peux faire appel à une explication qui semble justifier cet "ARRÊT" de l'expansion de l'Univers qui aurait duré 18 milliards d'années. Cette explication serait, justement, que la géométrie spatiale de notre Cosmos serait devenu globalement une "géométrie à dimension FRACTALE"...
Cette hypothèse est plus qu'une hypothèse car elle repose sur des expériences de laboratoire menées à l' École Polytechnique (France). [1]
Voilà pourquoi la théorie que je développe se nomme le "New Big-Bang Fractal" quantique ou "NBBF".
3) Une discussion avec "bongo" me donne, maintenant, l' "impression de discuter avec":
a) "quelqu'un de bonne foi" aussi, mais qui me semble manquer d'une connaissance approfondie en cosmologie, en thermodynamique, en physique quantique, sur les expériences concernant les fractales...
b) ne connaissant pas toutes les équations du "NBBF" quantique il s'autorise, malgré cette ignorance, de traiter les équations de "numérologie" ...
Au vu de tout cela je lui conseille gentiment, en ce qui concerne les "EXTRAPOLATIONS" dans le domaine de la recherche, de voir ou de revoir l'histoire des sciences...
[1] Bernard Sapoval: "UNIVERSALITÉ ET FRACTALES", Préface de Benoît Mandelbrot, Nouvelle Bibliothèque Scientifique, Flammarion, 1997.
Le nombre quantique principal de l'atome de Bohr pilote le "rayon" de l'orbitale atomique "n" pour un électron en interaction électrostatique avec un proton central : la solution pour l'atome d'hydrogène. Cela ne permet absolument pas de le généraliser à tout l'univers, puisqu'il n'est pas composé d'un seul proton, en interaction avec un seul électron à ce que je sache.
Donc encore une fois vous appliquez des formules issues de la physique à des situations inappliquables.
Les 18 milliards d'années lumière (ou 180 ?) sont arbitraires.
Vous n'expliquez pas non plus pourquoi l'expansion s'arrête pour Nu0, et non pour n=1 (à l'état fondamental).
J'ai l'impression de discuter avec :
1) quelqu'un de bonne foi, mais qui est complètement incompétent en physique
2) un escroc qui fait de la numérologie, comme les anciens de la renaissance qui vendait l'astrologie comme une science en se basant sur l'astronomie
1) Qu'est ce qui m'interdit de "généraliser à tout l'univers" un nombre quantique principal "Nu0"?
Réponse: "bongo"!
Mais, dans l'absolu, que connait réellement "bongo" des propriétés quantiques de notre Univers?
"bongo" connaîtrait-il tous les mystères et les énigmes cosmologiques???...
Le nombre quantique principal "Nu0" fait partie d'une théorie où il s'intègre dans un ensemble d'équations qui forment un tout cohérent malgré que certaines de ces équations sont indépendantes les unes des autres. Malgré cette indépendance elles convergent toutes vers les mêmes valeurs. Ce qui justifie cette théorie c'est que de plus en plus de prévisions sont confirmées soient par des observations astronomiques soient par des expériences de laboratoires...
Nous savons de façon générale qu'en science, quand rien de l'interdit, l' EXTRAPOLATION peux se poser comme un POSTULAT...
2)"bongo" dit:
"Les 18 milliards d'années lumière ( ou 180 ) sont arbitraires. Vous n'expliquez pas non plus pourquoi l'expansion s'arrête pour Nu0 , et non pour n=1 ( à l'état fondamental)."
- la démonstration (basée sur une observation pertinante) des 180 milliards d'années ( qui serait l'âge MINIMUM de l'Univers) sera faite ultérieurement car cela réclame un développement assez long ...
-par contre en ce qui concerne l' "ARRÊT" de l'expansion de notre Univers lorsque Nu0 = 1,78.10^18
je peux faire appel à une explication qui semble justifier cet "ARRÊT" de l'expansion de l'Univers qui aurait duré 18 milliards d'années. Cette explication serait, justement, que la géométrie spatiale de notre Cosmos serait devenu globalement une "géométrie à dimension FRACTALE"...
Cette hypothèse est plus qu'une hypothèse car elle repose sur des expériences de laboratoire menées à l' École Polytechnique (France). [1]
Voilà pourquoi la théorie que je développe se nomme le "New Big-Bang Fractal" quantique ou "NBBF".
3) Une discussion avec "bongo" me donne, maintenant, l' "impression de discuter avec":
a) "quelqu'un de bonne foi" aussi, mais qui me semble manquer d'une connaissance approfondie en cosmologie, en thermodynamique, en physique quantique, sur les expériences concernant les fractales...
b) ne connaissant pas toutes les équations du "NBBF" quantique il s'autorise, malgré cette ignorance, de traiter les équations de "numérologie" ...
Au vu de tout cela je lui conseille gentiment, en ce qui concerne les "EXTRAPOLATIONS" dans le domaine de la recherche, de voir ou de revoir l'histoire des sciences...
[1] Bernard Sapoval: "UNIVERSALITÉ ET FRACTALES", Préface de Benoît Mandelbrot, Nouvelle Bibliothèque Scientifique, Flammarion, 1997.