Page 1 sur 1

Théorie des cordes et logique cosmologique

Message non luPublié :dimanche 3 mars 2013 à 20:12
par Cordalement
Bonjour,

Dans ce qui suit, la mécanique quantique n’est absolument pas remise en cause, bien au contraire. Je suis dans la conceptualisation de la théorie des cordes, et d’un subtil jeu de mots, je pense en tenir les bons bouts. Mais j’ai une lacune, je ne suis pas suffisamment matheux pour établir le lien entre les équations de la mécanique quantique et la théorie que j’élabore. Aussi, je recherche activement un ou des scientifique(s) aguerri(s) aux équations pour finaliser cette théorie.

De prime abord, je ne m’intéresse qu’à la primordialité des évènements cosmologiques, dans le même état d’esprit qu’Einstein qui considérait qu’à la base tout était d’une simplicité déconcertante.

Mon premier souci dans la considération du big bang a été de me dire qu’un déséquilibre matière-antimatière n’est pas logique. Et là, audacieusement, j’ai considéré que le big bang n’était que le passage d’une étoile par son trou noir en étant totalement désintégrée (c’est-à-dire par désintégration des cordes transcendantales constitutives de la matière) en deux éléments cordaux fondamentaux : 0 et 1. Que de la matière et pas d’antimatière ! Or il se trouve que si 1 est un pur réel, 0 est à la fois réel et imaginaire. De là l’utilisation des complexes et donc de l’intervention de l’imaginaire i. Potentiellement donc, par l’identité d’Euler, on a :

Image

Je pars de ce constat : l’élément dimensionnel de base, dans cet univers, est la sphère. La sphère est ce qui est à la fois le plus simple et le plus complexe (bulle de savon, planètes…). C’est une dimensionnalité d’Espace. Par analogie, une dimmensionnalité de Temps est une exponentialité (le développement de populations - par exemple de bactéries - suit une courbe exponentielle). Et j’ai dans l’équation précédente fondamentale le nombre d’Archimède Pi et le nombre de Neper e.

Autre audace personnelle : Pi et e sont appariés et transcendent simultanément donnant naissance aux cordes à l’origine des particules élémentaires, puis des atomes, des entités… Il en résulte que Pi-e est la mémoire transcendantale de l’univers. Pi et e ne sont pas aléatoirement construits. En fait, l’univers et par extension, tout univers (vous comprendrez par la suite), est en recherche de sa finitude, et ici il s’agit de clore transcendentalement la sphère. Pi et e transcendent simultanément en suivant une logique automorphique, ce qui donne aux dimensions un caractère intrinsèque à la matière.

Par la précédente formule, dimensionnellement analysée, il en résulte que l’Espace est une sphère en 3D entourée du Temps en une auréole en 2D, et pour éviter l’effondrement dimensionnel, 2i s’organise en une croix radiante au centre de la sphère. 1 est donc une sphère d’Espace en 3D et 0 une auréole de Temps en 2D. Au big bang résultant de la désintégration cordale d’une étoile dans sa stargate (trou noir), est généré un flux d’auréoles de Temps 0 et de sphères d’Espace 1 créant une poche dimensionnelle dans laquelle les éléments 0 et 1 vont transcender suivant la logique automorphique du nouvel univers.

A ce stade, le flux est vraisemblablement à la température de Planck (toutes les forces sont unifiées).

Transcendances originelles de Pi-e :

• Première transcendance :

Image

Une sphère d’Espace 1 dans l’auréole de temps 0 : c’est le photon. La première force qui apparaît est la force électromagnétique. La lumière résulte de la friction entre l’auréole 0 et la sphère 1.

Image

• Deuxième transcendance :

Image

Une sphère d’Espace 1 circule dans l’auréole de Temps 0 : c’est le graviton. La deuxième force qui apparaît est la force gravitationnelle. Une dépression dimensionnelle est générée au centre de l’auréole par la rotation de la sphère dans l’auréole.

Image

• Troisième transcendance :

Image

Deux auréoles de Temps 0 sont accolées, l’une de sens horaire, l’autre de sens antihoraire : c’est le boson de Higgs. La troisième force à apparaître est la force d’interaction faible.

Image

• Quatrième transcendance :

Image

Deux sphères d’Espace 1 sont accolées : c’est le gluon. Et la quatrième force est la force d’interaction forte.

Image

La transcendance de Pi-e suit donc une logique automorphique.

Image

Pour ne pas être dans l’erreur, je m’en arrête ici pour le décryptage de Pi-e, d’autant qu’étant plus doué dans la conceptualisation que dans les équations quantiques, je passe le relai aux mécaniciens de la physique quantique. Il va de soi que les transcendances suivantes vont correspondre aux autres particules élémentaires.

L’analyse des cordes Pi-e impacte directement la vision cosmologique.

Voici un schéma pour vous montrer l’imbrication dimensionnelle des univers (multivers). En réalité, elle ne se fait pas car il n’y a pas chevauchement dimensionnel (les dimensionnalités sont discrètes).

Image

Notre univers est issu d’une étoile qui s’est effondrée dans sa stargate et dont les éléments (atomes) ont été cordalement désintégrés, c’est-à-dire que les cordes T1-T2 constitutives des particules élémentaires ont été réduites en éléments fondamentaux 0 et 1.

Pi-e transcendent simultanément jusqu’à donner "aujourd’hui" ans notre poche universelle tout un univers de galaxies. Mais notre univers est né dans un univers lui-même qui a résulté soit de l’effondrement d’une étoile dans sa stargate stellaire (univers bidimensionnel / plus probable), soit de l’effondrement de plusieurs étoiles dans la stargate centrale galactique (univers multidimensionnel / moins probable).
Et dans notre univers, toutes les étoiles qui s’effondrent dans leur stargate génèrent des univers "aussi grands" que le nôtre mais non perceptibles car dimensionnellement différents (en quelque sorte des univers parallèles).

Pour un univers issu d’une stargate stellaire, on a deux transcendants T1 et T2 couplés qui transcendent simultanément, et pour un univers issu d’une stargate galactique, on a plusieurs transcendants T1, T2, T3, T4, T5, T6, T7, T8, etc (du Calabi-Yau en plus complexe et "aussi grand" que notre univers).

Pour nous, dans notre univers, il est donc possible de décrypter les transcendants Pi et e puisqu’ils suivent une logique automorphique initiée par le photon en sphère auréolaire, système microcosmique que l’on retrouve au niveau macrocosmique : les planètes aux orbites circulaires autour des étoiles.

Nous pouvons donc décrypter Pi et e mais il nous est impossible de décrypter les transcendants T1 et T2 d’un autre univers au simple fait que s’applique le principe d’incertitude d’Heisenberg puisque nous ne pouvons comprendre que l’automorphisme dont nous sommes constitués.

Et au final, il existe plus d’univers "aussi grands" que le nôtre que le nombre d’étoiles de tout notre univers, des milliards de milliards… ce qui donne le vertige ! Et les possibilités transcendantales sont infinies.

L’origine de ce gigantesque multivers n’est pas le big bang de notre univers, mais un tout premier univers réduit à 0 et 1 avec 0 le premier trou noir par lequel est passé 1, et qui s’est ensuivi d’un déclenchement transcendantal infini pour « 1 fini » !Tout univers n’a qu’un seul but : « clore éclore » l’automorphe transcendantal, autrement dit dans notre univers, terminer Pi-e !

NB : "aussi grand" entre guillemets est exact en toute relativité dimensionnelle.

Il y a un défi à relever, et il est de taille. Je vous propose d’emblée de prendre du recul sur le développement de l’univers suivant les cordes Pi-e.

Dans ce développement, l’humain correspond sur cette planète à un stade avancé de la logique automorphique de Pi-e. Très schématiquement, l’humain est par son cerveau une sphère (deux hémisphères) avec un corps radial dont il a libéré le Temps avec ses « deux mains ». Autre exemple d’évolution : l’œil qui est une sphère dans son orbite contenant un cristallin pour la perception photonique.

Mais l’humain a construit à partir de sa logique (« un + un ») un Monde non naturel mais artificiel. Là où les outils mathématiques de l’Homme fonctionnent pour comprendre et construire ce Monde artificiel, ils ne sont pas en totalité applicables pour l’analyse du Monde naturel.

De ce que je pense, pour l’analyse mathématique et le décryptage de Pi-e, il faut redéfinir de nouveaux opérateurs. Notamment, intuitivement, je perçois que la logique automorphique n’a pas privilégié « un + un » mais « un + une » dans l’Evolution des système naturels (pour prendre deux exemples concrets : il faut un individu mâle et un individu femelle pour engendrer un nouvel individu automorphique ; ou encore c’est par l’action du soleil « un » et de la lune « une » que l’automorphe terrestre s’est développé).

Pour les sceptiques qui acceptent mal ma théorie (voire la rejettent), l’univers ne s’est pas construit en terme d’équations mathématiques mais suivant une logique transcendantale !!

C’est la logique transcendantale (précisément la logique automorphique des deux transcendants Pi et e) qui conduit aux équations mathématiques (précisément en premier lieu, celles de la mécanique quantique), et non pas l’inverse !!

D'où vient la Mathématique ? A l'origine, d'avoir compté avec les doigts ! Et vous pensez que l'Univers à l'origine a compté avec ses doigts !?

Il y a un point que je voudrai souligner. Einstein a mis longtemps à faire valider sa théorie de la Relativité, et pour cause les scientifiques de l'époque étaient trop ancrés dans leurs connaissances de la mécanique newtonienne, et Einstein a remis tout en question, les détracteurs n'ont pas manqué.

J'ai peut-être cette chance de ne pas être plus mathématicien que cela, de ne pas être plus physicien que cela, de ne pas être plus cosmologiste que cela, car je ne suis pas ancré dans des certitudes équationnelles. Par contre, je suis un théoricien et un logicien. Pourquoi selon vous, la théorie des cordes fut (je le dis comme tel) si difficile à élaborer ? Parce que justement, elle remet tout en question !

Et votre Temps si linéaire dans vos équations n'est en fait que le développement de systèmes auréolaires en 2D. Et votre Espace euclidien avec son beau référentiel... balayé... au profit d'une autre réalité spatiale : le référentiel n'est autre que des systèmes sphériques en 3D. Va falloir s'y faire, ce n'est pas moi qui ai raison, mais les idées que je véhicule et qui sont des vérités.

Je saurai être patient s'il le faut, mais maintenant pour aller plus loin, je cherche de vrais scientifiques de haut niveau pour construire véritablement la théorie des cordes.

Merci.

Re: Théorie des cordes et logique cosmologique

Message non luPublié :lundi 4 mars 2013 à 17:32
par bongo
Je bloque dès les premières lignes...
Je ne vois pas comment, en partant du plan complexe, vous arrivez à une sphère. Vous êtes obligés de passer par les quaternions, ou les spineurs...
Je ne vois pas non plus d'idée de mécanique quantique dans ce que vous dites.

Re: Théorie des cordes et logique cosmologique

Message non luPublié :mardi 5 mars 2013 à 00:42
par soralien
De prime abord, je ne m’intéresse qu’à la primordialité des évènements cosmologiques, dans le même état d’esprit qu’Einstein qui considérait qu’à la base tout était d’une simplicité déconcertante.


belle extrapolation Y-27

Mon premier souci dans la considération du big bang a été de me dire qu’un déséquilibre matière-antimatière n’est pas logique.


Si c’est logique, on peut le voir, par exemple, avec le kaon neutre.

Et là, audacieusement, j’ai considéré que le big bang n’était que le passage d’une étoile par son trou noir en étant totalement désintégrée (c’est-à-dire par désintégration des cordes transcendantales constitutives de la matière) en deux éléments cordaux fondamentaux : 0 et 1.


Non, tu te trompes, le big bang est juste un modèle cosmologique qui permet de décrire l’origine de notre espace temps, c’est pas l’univers à l’instant 0.

Or il se trouve que si 1 est un pur réel, 0 est à la fois réel et imaginaire. De là l’utilisation des complexes et donc de l’intervention de l’imaginaire i.


Non, 1 est aussi un nombre complexe, et même un nombre hypercomplexe... et même au delà ( je pense à la monade ).

Par analogie, une dimmensionnalité de Temps est une exponentialité (le développement de populations - par exemple de bactéries - suit une courbe exponentielle).


Non, c’est faux. De plus, le développement de la population n’est pas représentatif des dimensionnalités de temps.

Autre audace personnelle : Pi et e sont appariés et transcendent simultanément donnant naissance aux cordes à l’origine des particules élémentaires, puis des atomes, des entités… Il en résulte que Pi-e est la mémoire transcendantale de l’univers.


Une partie* seulement de la "mémoire transcendantale de l’univers".

Par la précédente formule, dimensionnellement analysée, il en résulte que l’Espace est une sphère en 3D entourée du Temps en une auréole en 2D, et pour éviter l’effondrement dimensionnel, 2i s’organise en une croix radiante au centre de la sphère. 1 est donc une sphère d’Espace en 3D et 0 une auréole de Temps en 2D.


Faux et je comprends que tu ne développes pas plus cette idée vu toutes les approximations que tu as fais.

Au big bang résultant de la désintégration cordale d’une étoile dans sa stargate (trou noir), est généré un flux d’auréoles de Temps 0 et de sphères d’Espace 1 créant une poche dimensionnelle dans laquelle les éléments 0 et 1 vont transcender suivant la logique automorphique du nouvel univers.


Non, tu peux pas appelé ça "étoile", a moins que tu ai changé la définition de "big bang"’, mais dans ce cas, définit les termes avant de faire une thèse.

Pour un univers issu d’une stargate stellaire, on a deux transcendants T1 et T2 couplés qui transcendent simultanément, et pour un univers issu d’une stargate galactique, on a plusieurs transcendants T1, T2, T3, T4, T5, T6, T7, T8, etc (du Calabi-Yau en plus complexe et "aussi grand" que notre univers).


Dommage, des fois il y a une réflexion métaphysique intéressante de ta part, mais alors là c’est encore une fois une vulgarisation enfantine fausse.

L’origine de ce gigantesque multivers n’est pas le big bang de notre univers, mais un tout premier univers réduit à 0 et 1 avec 0 le premier trou noir par lequel est passé 1, et qui s’est ensuivi d’un déclenchement transcendantal infini pour « 1 fini » !Tout univers n’a qu’un seul but : « clore éclore » l’automorphe transcendantal, autrement dit dans notre univers, terminer Pi-e !


Quand tu imagines des choses, essaye d’être cohérent. Par exemple, si tu veux régler la question de l’origine, explique au moins pourquoi elle s’engendre elle même et pourquoi cette origine est bien la cause des causes.

J'ai peut-être cette chance de ne pas être plus mathématicien que cela, de ne pas être plus physicien que cela, de ne pas être plus cosmologiste que cela, car je ne suis pas ancré dans des certitudes équationnelles. Par contre, je suis un théoricien et un logicien


1) Si tu es théoricien, essaye de faire des meilleurs théories que celle ci.
2) Si tu es logicien, travail ta logique sémantique et te trompe pas de priorités quotidiennes, as tu identifier l'empire Rothschild-Rockefeller comme le plus corrompue de tous les empires ?

Pour les sceptiques qui acceptent mal ma théorie (voire la rejettent), l’univers ne s’est pas construit en terme d’équations mathématiques mais suivant une logique transcendantale !!


Je ne rejette pas ta théorie, je la trouve pleine de confusion... si bien qu'elle en devient entièrement fausse.

C’est la logique transcendantale (précisément la logique automorphique des deux transcendants Pi et e) qui conduit aux équations mathématiques (précisément en premier lieu, celles de la mécanique quantique), et non pas l’inverse !!


j'ai pas attendu Kant pour savoir ça.
Ps : Si tu as compris que "l’univers entier" est transcendant, modifie les confusions que tu as faites plus haut.

Et votre Temps si linéaire dans vos équations n'est en fait que le développement de systèmes auréolaires en 2D. Et votre Espace euclidien avec son beau référentiel... balayé... au profit d'une autre réalité spatiale : le référentiel n'est autre que des systèmes sphériques en 3D. Va falloir s'y faire, ce n'est pas moi qui ai raison, mais les idées que je véhicule et qui sont des vérités.


Le problème est que ta vérité possède plein d’erreurs sémantique, scientifique et métaphysique. Merci tout de même de préciser que ce n'est pas toi qui a raison.

Je saurai être patient s'il le faut, mais maintenant pour aller plus loin, je cherche de vrais scientifiques de haut niveau pour construire véritablement la théorie des cordes.


Retourne regarder star wars plutôt ;)
Plus sérieusement, j'espère que tu as compris que la réalité est plus complexe que la science fiction.

Je bloque dès les premières lignes...
Je ne vois pas comment, en partant du plan complexe, vous arrivez à une sphère. Vous êtes obligés de passer par les quaternions, ou les spineurs...


Vu que la sphère est relative à la notion de « distance » et de « centre », c’est à dire deux termes qui ne concernent pas que la physique, il est partis dans son solipsisme délirant.