La Relativité générale fonctionne bien à l'échelle du système solaire mais plus à très grande échelle ni à très petite.
Après une longue réflexion sur la relativité j'en suis arrivé à la conviction que le problème venait d'une mauvaise interprétation de la relativité et plus précisément des déformations d'espace.
reprenons l'expérience de pensée des jumeaux de Langevin :
L'un reste sur terre tandis que l'autre voyage dans l'espace à une vitesse proche de c, à son retour il est beau plus jeune que son frère resté sur terre, son temps propre s'est écoulé plus lentement.
Il a donc parcouru la distance en un temps moindre que celui constaté depuis la terre alors que dans ce repère il voyageait à une vitesse proche de c.
Peut-on en conclure que dans son repère propre il a dépassé la vitesse de la lumière ? Evidemment non car là intervient la contraction de l'espace dont la mesure est donnée par les équations de Lorentz, là ou je veux insister c'est que cette contraction d'espace ne concerne pas juste l'objet en mouvement mais aussi, pour cet objet, tout l'espace dans le sens du mouvement et si l'on considère les interactions de l'objet en mouvement avec son milieu cela change radicalement les règles du jeu.
La fusée quitte la terre et s'éloigne du système solaire en subissant la gravitation, mais dans son repère propre, compte tenu de la vitesse, les distances sont moindres et la force de gravitation se retrouve concentrée sur une plus courte distance, elle apparaît donc plus intenses mais avec une moins grande portée, je vois là le moyen d'unifier les interactions fondamentales.
L'espace-temps de Minkovski, avec ses trois dimensions spatiales et sa dimension temporelle est à mes yeux une énorme source d'erreur car il permet de passer outre les déformations d'espace.
A mes yeux chaque point de l'espace est caractérisé par sa mesure d'espace-temps, donc en chaque point d'un espace tri-dimensionnel doit s'appliquer une mesure du temps ET de l'espace.
L'introduction d'une cinquième dimension spatiale a été tentée par Theodor kaluza dans le but d'unifier les interactions.
Extrait de wiki à ce sujet :
"Lorsqu'il découvrit cette idée, Einstein, fort impressionné, écrivit à Kaluza :
« J'ai le plus grand respect pour la beauté et la finesse de votre conception. »
Sur recommandation d'Einstein, ce travail parut en 1921 dans les Compte-rendus de l'Académie des sciences de Prusse. Mais le succès croissant de la toute nouvelle mécanique quantique relégua peu à peu au second plan ce programme, et Einstein reconnut, quoiqu'avec prudence :
« On ne peut encore dire pour l'instant si l'idée de Kaluza sera validée, mais il faut lui reconnaître du génie. »"
L'idée a été enterrée quelques temps puis finalement reprise par les physiciens quantique, cela a abouti à la théorie des cordes.
Mais face à la mécanique quantique je ne peux m'empêcher de penser : "Dieu ne joue pas aux dés".
Après une longue réflexion sur la relativité j'en suis arrivé à la conviction que le problème venait d'une mauvaise interprétation de la relativité et plus précisément des déformations d'espace.
reprenons l'expérience de pensée des jumeaux de Langevin :
L'un reste sur terre tandis que l'autre voyage dans l'espace à une vitesse proche de c, à son retour il est beau plus jeune que son frère resté sur terre, son temps propre s'est écoulé plus lentement.
Il a donc parcouru la distance en un temps moindre que celui constaté depuis la terre alors que dans ce repère il voyageait à une vitesse proche de c.
Peut-on en conclure que dans son repère propre il a dépassé la vitesse de la lumière ? Evidemment non car là intervient la contraction de l'espace dont la mesure est donnée par les équations de Lorentz, là ou je veux insister c'est que cette contraction d'espace ne concerne pas juste l'objet en mouvement mais aussi, pour cet objet, tout l'espace dans le sens du mouvement et si l'on considère les interactions de l'objet en mouvement avec son milieu cela change radicalement les règles du jeu.
La fusée quitte la terre et s'éloigne du système solaire en subissant la gravitation, mais dans son repère propre, compte tenu de la vitesse, les distances sont moindres et la force de gravitation se retrouve concentrée sur une plus courte distance, elle apparaît donc plus intenses mais avec une moins grande portée, je vois là le moyen d'unifier les interactions fondamentales.
L'espace-temps de Minkovski, avec ses trois dimensions spatiales et sa dimension temporelle est à mes yeux une énorme source d'erreur car il permet de passer outre les déformations d'espace.
A mes yeux chaque point de l'espace est caractérisé par sa mesure d'espace-temps, donc en chaque point d'un espace tri-dimensionnel doit s'appliquer une mesure du temps ET de l'espace.
L'introduction d'une cinquième dimension spatiale a été tentée par Theodor kaluza dans le but d'unifier les interactions.
Extrait de wiki à ce sujet :
"Lorsqu'il découvrit cette idée, Einstein, fort impressionné, écrivit à Kaluza :
« J'ai le plus grand respect pour la beauté et la finesse de votre conception. »
Sur recommandation d'Einstein, ce travail parut en 1921 dans les Compte-rendus de l'Académie des sciences de Prusse. Mais le succès croissant de la toute nouvelle mécanique quantique relégua peu à peu au second plan ce programme, et Einstein reconnut, quoiqu'avec prudence :
« On ne peut encore dire pour l'instant si l'idée de Kaluza sera validée, mais il faut lui reconnaître du génie. »"
L'idée a été enterrée quelques temps puis finalement reprise par les physiciens quantique, cela a abouti à la théorie des cordes.
Mais face à la mécanique quantique je ne peux m'empêcher de penser : "Dieu ne joue pas aux dés".