Par curiosité, quelle est ta formation ?
Cela me permettra d'éviter de faire des rappels que tu connais déjà.
Cela me permettra d'éviter de faire des rappels que tu connais déjà.
Par curiosité, quelle est ta formation ?
Cela me permettra d'éviter de faire des rappels que tu connais déjà.
N'ayant pas votre bagage technique ou scolaire j'ai un peu de mal à vous suivre, cependant j'aimerai te poser une question.
Quelle est la réflexion, la pensée, l'élément déclencheur qui t'a fait t'intéresser à cette idée de billes ?
Autre chose, j'ai l'impression que tu remplaces l’éther qui pour les anciens "comblait " l'espace entre les planètes, avec ces billes microscopiques qui envahiraient tout l'espace.
Cordialement.
Eric
Adroite et élégante manière de sonder la limite de mes connaissances, chapeau-bas:)
Je suis parti de l'expérience d'interférences de Young et de la dualité onde-particule de la lumière. Je me suis donc poser la question: et si toutes ces particules, cette matière n'étaient "visible" par l'homme que sous certaines conditions, ce qui ne veut pas dire qu'il y a du vide là où l'on ne perçoit rien.Ce vide qui n’est pas vide a déjà été envisagé par Paul Dirac en 1930. C’est la mer de Dirac. C’est une façon d’expliquer l’existence de l’antimatière. Il faut considérer l’espace rempli d’électrons, qui peuvent avoir une énergie négative : -511 keV. Pour observer un électron réel, il faut que cet électron ait une énergie d’au moins 511 keV. Donc il faut fournir au moins 1 022 keV pour créer un électron à partir du vide (qui n’est pas vide). Le fait de créer un électron va créer un trou dans la mer de Dirac, comme il manque une charge négative, c’est comme si ce trou avait une charge positive. Ce trou est un positron, ou anti-électron.
Comme l'ensemble de la matière observable est nettement inférieur à celle théoriqueJe ne comprends pas cette affirmation.
ne se pourrait-il pas que la matière visible soit un état particulier de la matière universelle ou en tout cas ne nous "apparaîtrait" qu'à l'intersection de certains phénomènes propres aux ondes. Dans l'expérience de Young, 2 rayons lumineux sont capables de s'additionner (frange brillante) ou de s'annuler (frange sombre) lorsqu'ils sont mis en relation. Et si des ondes parcourraient l'univers de façon chaotique, d'une multitude de fréquences et d'amplitudes différentes, se diffusant dans toutes les directions. Il y aurait donc des superpositions et des interférences comme une gigantesque expérience de Young. Et si en des points particuliers de ces interférences, certaines interférences se manifestaient "visuellement" comme une particule élémentaire?Dans ce cas, il faut expliquer comment une force agit sur ces ondes, et retrouver les lois de Newton.
Qu'est-ce que ces ondes et comment se déplacent-elles? C'est à étudier.J’ai répondu en partie. En effet, ces ondes sont des perturbations des billes, donc cela peut être une variation de la position d’une bille. Quant à sa propagation, cela est lié à l’interaction entre chaque bille… C’est cela qu’il faudrait préciser.
J'imagine qu'il faut un support et un élément "actif". Le support ce sont les billes en question. L'élément "actif" ce serait ces ondes. J'ai pensé à des billes car les ondes doivent forcément se propager dans toutes les directions.Quel est le problème ici ? Même avec des billes, les ondes doivent se propager dans toutes les directions.
Le vide entre les billes semble poser problème. Je me demande si en leur attribuant une taille suffisamment réduite, le rapport de vide/bille ne serait pas assez petit que pour justifier la quantité de matière théorique de l'univers. Sauf erreur, quel que soit le modèle proposé, je ne vois pas comment déroger à cette dernière idée.Je ne vois pas de problème au vide… je rappelle que la matière est surtout faite de vide.
Comment expliquer les mouvements et forces en action? Je pensais à des déplacement de ces ondes sous l'effet du déplacement d'autres ondes émises en continu de sources dispersées un peu partout dans l'univers, il y aurait glissement et/ou recombinaison des points particuliers. Pour l'observateur, "quelque chose" se déplace , en réalité ce serait ces points d'interférences/superpositions qui se modifient donnant l'illusion d'un mouvement relatif.Ce qu’il manque c’est une caractérisation plus préciser qu’une sorte de « quelque chose » ou « superposition d’interférence ».
1) Si nous sommes observateurs placés à la limite infinie de l'univers, puisque le temps semble être une grandeur physique variable selon Einstein et comme dans l'univers rien ne se crée, rien ne se perd, à l'échelle cosmique, dans cet infini le temps n'est-il pas nul?Je ne comprends pas la notion d'être placé à l'infini de l'univers. Et je ne comprends pas pourquoi tu cites Lavoisier hors contexte.
2) si à l'échelle cosmique le temps est nul, ne peut-on pas dire que ce qui nous semble, à notre échelle, être un temps n'est en somme que l'inertie lié à la matière (quelle qu'elle soit) et à l'environnement ?Je ne comprends pas le sens que tu donnes à l'inertie, sachant que tu extrapoles à partir de ton 1) qui est... sujet à discussion.
Nuits blanches en perspective......