• Réflexion collective sur la composition de l'Univers

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #26890  par L'Agrafeur
 
N'exagérons pas tierri, je ne suis pas inculte non plus. Que je présente mal ou de façon inexploitable une idée, soit, je sais le reconnaître. Que l'on me mette sous le nez les cours élémentaires de physiques, ça sent un peu la condescendance ou ça s'en rapproche très fort. Bah, soyons philosophe et glissons l'épisode sous l'onglet "humour". 2-laugh3

Je ne pense toujours pas que ma démarche soit comprise, désolé d'insister. Je n'ai pas dit: "Voici un nouveau modèle que je présente et en voici ses arguments et ses lois.". J'ai dit:"Et s'il était possible que..., et admettons un instant que...", je fais le tour de la table et je demande:"Que pensez-vous que cela induirait, qu'est-ce que cette idée pourrait expliquer et si nous poussons le raisonnement, vers quoi irions-nous...".

Ceci étant dit, j'ai bien compris la leçon. Sans présentation exploitable, je mets fin de suite à ce topic. Je vous ai assez fait perdre de temps.

Mes respectueuses salutations 0-icon_hehe
 #26893  par Eric17
 
Moi la question que je me pose c'est " qu'y a t-il entre les billes" ?
Car même si elles se touchent, elles laissent beaucoup de place perdue entre elles. Ou alors se sont des billes déformables qui en étant pressées entre elles prennent pratiquement la forme d'un cube et là on tombe plus ou moins sur la structure de l'univers à grande échelle avec du vide entre les arrêtes des cubes.
Eric
 #26895  par L'Agrafeur
 
C'est ce que j'aimerais développer aussi.
Ce à quoi je pensais c'est à une imbrication (si le terme est correct dans ce cas) de vibrations de type fractal comme les sphereflakes d'Eric Haines mais appliqué à des fréquences, l'univers fractal étant d'ailleurs un modèle cosmologique existant. Pour cela, je pense que ces billes devraient être de la taille des photons, comme dans le champs de Higgs. Il ne doit pas y avoir d'espace entre ces billes puisqu'elle ne seraient que des relais transmetteurs et ne doivent donc pas se déplacer pour vibrer. Un peu comme les billes oscillantes décorant les bureaux branchés dont les billes intérieures transmettent le mouvement des billes extérieures tout en restant parfaitement immobiles. J'imagine que ce sont des sphères puisqu'elles doivent émettre dans toutes les directions simultanément. On peut peut-être dire qu'elles soient plutôt des tétraèdres car combinées elles rempliraient mieux l'espace mais je ne pense pas que ce soit correct au niveau homogénéité de l'émission.
Est-ce un inconvénient si ces billes de la taille des photons auraient du vide entre elles sachant qu'algébriquement un cube et une sphère auraient le même volume si le rayon de la sphère a été réduit de moitié ?

Désolé, j'en rajoute mais j'ai du mal à ne pas répondre à une question, ne fût-ce que par politesse, eh oui, je suis de la vieille école... 0-icon_redface
Dernière modification par L'Agrafeur le dimanche 18 août 2013 à 22:46, modifié 1 fois.
 #26896  par tierri
 
Il a raison, il y a un défaut là.
Entre les billes il y a du vide donc, et le vide on sait ce que c'est, il est constitué de billes qui ne vibrent pas.
Si tu dis qu'il y a un autre type de vide, c'est que les billes ne sont pas indispensable pour avoir du vide.

Mais surtout je ne vois pas comment faire le lien avec la relativité d'Einstein qui est pourtant fondamentale et n'a jamais été mise à défaut.
 #26914  par bongo
 
Pour en revenir à l'idée elle-même, supposons que les primbearings statiques existent et que l'univers est inondé de fréquences de toutes sortes.
J’ai horreur de mots techniques. Je bloque déjà sur primbearing, qu’est-ce que c’est ?
Des billes dures régulièrement espacées ?
Qu’est-ce qu’être inondé de fréquence de toute sorte ? Qu’est-ce qui oscille ? Les billes ? Si ces billes oscillent, quelle est la force de rappel ? Donc quelle est la nature de leur interaction ?
En mécanique on aime modéliser ce genre d’interaction par une force de rappel telle la loi de Hooke : F = -kx.
Dans ce cas, il y a une seule fréquence : oméga = racine k/m.

Rien que le début manque de rigueur.
Si tu veux faire intervenir d’autres fréquences, tu dois compliquer la loi de Hooke : F = -k1x –k3x^3 – k5x^5
Remarque, ce sont nécessairement des puissances impaires, sinon la loi de rappel n’est plus un rappel…
De plus tu auras seulement des multiples d'une fondamentale.
Supposons que pour « voir » un élément primaire de type atome il faut une combinaison d'interférences de fréquences composée d'une superposition d'harmoniques.
Je ne comprends pas ce qu’est une combinaison d’interférences. Une interférence, c’est la somme des amplitudes de plusieurs ondes en un point, moyennées sur un temps.
Si tu superposes des ondes de fréquences différentes, multiples d’un fondamental, alors les endroits où l’amplitude de l’onde est maximal sont régulièrement espacés. (cf. développement en série de Fourier d’un signal périodique).
Par exemple à l'intersection d'interférences des harmoniques f1+f2+f3+...+fn , j'ai une résultante complexe de fréquence « fr ». Cette « fr » est par exemple « «visible » en tant qu'atome d'hydrogène.
Je ne comprends pas l’idée de résultante complexe, ni la notion d’intersection de fréquences. Je pense qu’il faut que tu définisse cette notion.
Je pense que pour commencer, il faudrait que tu parte sur un modèle de billes régulièrement espacées, et d’étudier les ondes, ça préciserait toutes les notions que je n’arrive pas à comprendre.
Si plusieurs « fr » (identiques) interfèrent entre elles, cet assemblage de « fr » nous donne un atome d'hélium, d'oxygène, de fer, ect... selon leur nombre. L'atome ici décrit serait un peu comme le timbre des instruments musicaux. Un sol ou un ré joué avec un piano ou une trompette reste un sol ou un ré mais le timbre sera propre à un piano ou une trompette selon la combinaison des harmoniques de fréquences. Le fait est que ce qui est "visible" ne l'est que pour les moyens humains, il y a une infinité de combinaisons d'harmoniques possible dans le chaos vibratoire universel et donc une infinité de "matière".
J’ai complètement décroché.
Le modèle atomique actuel est cellui d'un noyau entouré d'un nuage de probabilité d'électron(s), noyau auquel on ajoute de plus en plus de particules au gré des limites atteintes. Dans l'idée que je propose, c'est plus simple. Les combinaisons (chimiques, atomiques, moléculaires, ...) ne seraient alors qu'une modification de ces imbrications d'interférences de fréquences sous l'effet d'autres. Ce nouvel agencement donnerait alors un nouvel élément. Par exemple, si deux combinaisons donnant l'hydrogène sont interférées par une combinaison donnant un oxygène, l'interférence résultante se manifeste sous l'apparence d'une molécule d'eau.
Au passage, cela donnerait une explication à l'importance des champs magnétiques et leur action sur l'environnement spacial.
Est-ce que les ondes que tu considères peuvent se propager ? Une des grosses difficultés que je vois est que si tu considères le lieu dont l’amplitude d’une onde donne un critère donné, tu peux dépasser la vitesse de la lumière…
A présent, dois-je arrêter ici le débat ou pensez-vous utile de poursuivre ? Y-30
Pour l’instant, je trouve que les termes que tu utilisent n’ont pas la même signification que ceux que je comprends. Donc pour l’instant, je ne comprends pas ton idée.