Bonjour à tous,
Comme promis Bongo, voici une réponse à tes questions ou du moins une tentative que j'espère exploitable.
Comme je le disais dans ma présentation, je n'ai malheureusement pas le bagage suffisant (dont celui mathématique) pour mettre en équation un phénomène ou un problème du type cosmologique. Je suis familier des notions mathématiques courantes notamment dans le domaine de l'électromagnétisme, de la mécanique générale et pas mal en chimie. C'est cette carence qui m'a décidé à lancer ce topic. Je me disais que si j'arrivais à partager cette idée d'interférences de fréquences particulières, des intervenants rompus aux calculs et théorèmes mathématiques me conseilleraient si l'idée n'est pas viable ou si cela vaut la peine de pousser plus en avant la réflexion.
Pour en revenir à l'idée elle-même, supposons que les primbearings statiques existent et que l'univers est inondé de fréquences de toutes sortes. Supposons que pour « voir » un élément primaire de type atome il faut une combinaison d'interférences de fréquences composée d'une superposition d'harmoniques. Par exemple à l'intersection d'interférences des harmoniques f1+f2+f3+...+fn , j'ai une résultante complexe de fréquence « fr ». Cette « fr » est par exemple « «visible » en tant qu'atome d'hydrogène. Si plusieurs « fr » (identiques) interfèrent entre elles, cet assemblage de « fr » nous donne un atome d'hélium, d'oxygène, de fer, ect... selon leur nombre. L'atome ici décrit serait un peu comme le timbre des instruments musicaux. Un sol ou un ré joué avec un piano ou une trompette reste un sol ou un ré mais le timbre sera propre à un piano ou une trompette selon la combinaison des harmoniques de fréquences. Le fait est que ce qui est "visible" ne l'est que pour les moyens humains, il y a une infinité de combinaisons d'harmoniques possible dans le chaos vibratoire universel et donc une infinité de "matière".
Le modèle atomique actuel est cellui d'un noyau entouré d'un nuage de probabilité d'électron(s), noyau auquel on ajoute de plus en plus de particules au gré des limites atteintes. Dans l'idée que je propose, c'est plus simple. Les combinaisons (chimiques, atomiques, moléculaires, ...) ne seraient alors qu'une modification de ces imbrications d'interférences de fréquences sous l'effet d'autres. Ce nouvel agencement donnerait alors un nouvel élément. Par exemple, si deux combinaisons donnant l'hydrogène sont interférées par une combinaison donnant un oxygène, l'interférence résultante se manifeste sous l'apparence d'une molécule d'eau.
Au passage, cela donnerait une explication à l'importance des champs magnétiques et leur action sur l'environnement spacial.
Cela fait penser effectivement au champs de Higgs sauf qu'encore une fois là aussi les particules comme les photons seraient en mouvement et leur masse apparente dépendant de leur facilité à se mouvoir dans ce champs.
J'ai bien conscience d'une chose, quand on aborde les sujets comme la cosmologie à l'échelle universelle et donc bien au-delà des limites humaines actuelles, c'est un peu comme si nous tentions d'expliquer le fonctionnement d'un téléviseur couleur à une termite. Mais nous savons tous que la curiosité humaine fait fi des difficultés.
A présent, dois-je arrêter ici le débat ou pensez-vous utile de poursuivre ?