Pour en revenir à l'idée elle-même, supposons que les primbearings statiques existent et que l'univers est inondé de fréquences de toutes sortes.
J’ai horreur de mots techniques. Je bloque déjà sur primbearing, qu’est-ce que c’est ?
Des billes dures régulièrement espacées ?
Qu’est-ce qu’être inondé de fréquence de toute sorte ? Qu’est-ce qui oscille ? Les billes ? Si ces billes oscillent, quelle est la force de rappel ? Donc quelle est la nature de leur interaction ?
En mécanique on aime modéliser ce genre d’interaction par une force de rappel telle la loi de Hooke : F = -kx.
Dans ce cas, il y a une seule fréquence : oméga = racine k/m.
Rien que le début manque de rigueur.
Si tu veux faire intervenir d’autres fréquences, tu dois compliquer la loi de Hooke : F = -k1x –k3x^3 – k5x^5
Remarque, ce sont nécessairement des puissances impaires, sinon la loi de rappel n’est plus un rappel…
De plus tu auras seulement des multiples d'une fondamentale.
Supposons que pour « voir » un élément primaire de type atome il faut une combinaison d'interférences de fréquences composée d'une superposition d'harmoniques.
Je ne comprends pas ce qu’est une combinaison d’interférences. Une interférence, c’est la somme des amplitudes de plusieurs ondes en un point, moyennées sur un temps.
Si tu superposes des ondes de fréquences différentes, multiples d’un fondamental, alors les endroits où l’amplitude de l’onde est maximal sont régulièrement espacés. (cf. développement en série de Fourier d’un signal périodique).
Par exemple à l'intersection d'interférences des harmoniques f1+f2+f3+...+fn , j'ai une résultante complexe de fréquence « fr ». Cette « fr » est par exemple « «visible » en tant qu'atome d'hydrogène.
Je ne comprends pas l’idée de résultante complexe, ni la notion d’intersection de fréquences. Je pense qu’il faut que tu définisse cette notion.
Je pense que pour commencer, il faudrait que tu parte sur un modèle de billes régulièrement espacées, et d’étudier les ondes, ça préciserait toutes les notions que je n’arrive pas à comprendre.
Si plusieurs « fr » (identiques) interfèrent entre elles, cet assemblage de « fr » nous donne un atome d'hélium, d'oxygène, de fer, ect... selon leur nombre. L'atome ici décrit serait un peu comme le timbre des instruments musicaux. Un sol ou un ré joué avec un piano ou une trompette reste un sol ou un ré mais le timbre sera propre à un piano ou une trompette selon la combinaison des harmoniques de fréquences. Le fait est que ce qui est "visible" ne l'est que pour les moyens humains, il y a une infinité de combinaisons d'harmoniques possible dans le chaos vibratoire universel et donc une infinité de "matière".
J’ai complètement décroché.
Le modèle atomique actuel est cellui d'un noyau entouré d'un nuage de probabilité d'électron(s), noyau auquel on ajoute de plus en plus de particules au gré des limites atteintes. Dans l'idée que je propose, c'est plus simple. Les combinaisons (chimiques, atomiques, moléculaires, ...) ne seraient alors qu'une modification de ces imbrications d'interférences de fréquences sous l'effet d'autres. Ce nouvel agencement donnerait alors un nouvel élément. Par exemple, si deux combinaisons donnant l'hydrogène sont interférées par une combinaison donnant un oxygène, l'interférence résultante se manifeste sous l'apparence d'une molécule d'eau.
Au passage, cela donnerait une explication à l'importance des champs magnétiques et leur action sur l'environnement spacial.
Est-ce que les ondes que tu considères peuvent se propager ? Une des grosses difficultés que je vois est que si tu considères le lieu dont l’amplitude d’une onde donne un critère donné, tu peux dépasser la vitesse de la lumière…
A présent, dois-je arrêter ici le débat ou pensez-vous utile de poursuivre ?
Pour l’instant, je trouve que les termes que tu utilisent n’ont pas la même signification que ceux que je comprends. Donc pour l’instant, je ne comprends pas ton idée.