Une nouvelle théorie à vous présenter aujourd'hui : la diffraction spatiale.
Plaçons-nous comme observateur fixe et observons un objet nous passer devant à une vitesse proche de c.
Dans ce cas la RR et Lorentz nous disent que la longueur propre de l'objet de même que la distance qu'il parcourt se trouvent contracté proportionnellement au facteur de Lorentz.
Et là une interprétation apparemment communément admise dit que l'objet contracté se déplace linéairement, le plus simplement du monde, mais là je bloque.
Si nous voyons l'objet contracté, pourquoi ne verrions-nous pas son trajet avec la même contraction ?
Maintenant j'aimerais me permettre ce petit écart en supposant que ce soit vrai, qu'effectivement si nous voyons l'objet contracté nous voyons aussi son trajet contracté.
Nous nous retrouvons immédiatement face à un problème :
Si nous le voyons parcourir une distance moindre comment peut-il arriver à couvrir la distance ?
La réponse logique semble surprenante, c'est de dire qu'il sont plusieurs.
On a alors un mécanisme que je qualifie de "diffraction d'espace"
Considérons un objet mesurant trois unités de longueur au repos et une seule en déplacement, quand il passe devant nous, nous le voyons 1 mais il est quand même sur les 3 unités de longueur, nous le voyons trois fois, mieux, il est trois.
Il est unique mais peut être en plusieurs endroits en même temps.
Regardons de plus près, selon sa position chacun des trois correspondra à un moment différent du déplacement.
Bref, en analysant un tel processus, on a très vite l'impression d'analyser des propriétés quantiques.
Plaçons-nous comme observateur fixe et observons un objet nous passer devant à une vitesse proche de c.
Dans ce cas la RR et Lorentz nous disent que la longueur propre de l'objet de même que la distance qu'il parcourt se trouvent contracté proportionnellement au facteur de Lorentz.
Et là une interprétation apparemment communément admise dit que l'objet contracté se déplace linéairement, le plus simplement du monde, mais là je bloque.
Si nous voyons l'objet contracté, pourquoi ne verrions-nous pas son trajet avec la même contraction ?
Maintenant j'aimerais me permettre ce petit écart en supposant que ce soit vrai, qu'effectivement si nous voyons l'objet contracté nous voyons aussi son trajet contracté.
Nous nous retrouvons immédiatement face à un problème :
Si nous le voyons parcourir une distance moindre comment peut-il arriver à couvrir la distance ?
La réponse logique semble surprenante, c'est de dire qu'il sont plusieurs.
On a alors un mécanisme que je qualifie de "diffraction d'espace"
Considérons un objet mesurant trois unités de longueur au repos et une seule en déplacement, quand il passe devant nous, nous le voyons 1 mais il est quand même sur les 3 unités de longueur, nous le voyons trois fois, mieux, il est trois.
Il est unique mais peut être en plusieurs endroits en même temps.
Regardons de plus près, selon sa position chacun des trois correspondra à un moment différent du déplacement.
Bref, en analysant un tel processus, on a très vite l'impression d'analyser des propriétés quantiques.