• diffraction d'espace et principe d'incertitude

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Les autres théories ou peut être la votre...
 #29156  par tierri
 
Si le principe est bon, il faut le superposer à la RG pour avoir un description complète de la matière et de l'univers (sans matière noire), mais dans quelles conditions, cela m'échappe encore.

Intuitivement j'ai le sentiment que la diffraction spatiale pourrait être la clé du problème, mais c'est très intuitif.

Je fais un édit pour ajouter quelque chose, c'est sur le photon que je serais tenté de mettre l'idée à l'épreuve.
Dans le cas du photon on parle de train d'ondes, ce qui pourrait être la diffraction d'une onde simple, si l'on peut définir cette onde, on peut vérifier l'idée.
 #29167  par bongo
 
Si le principe est bon, il faut le superposer à la RG pour avoir un description complète de la matière et de l'univers (sans matière noire), mais dans quelles conditions, cela m'échappe encore.
Je n'arrive pas à te suivre, entre ce poste et le précédent...
Intuitivement j'ai le sentiment que la diffraction spatiale pourrait être la clé du problème, mais c'est très intuitif.
Tu n'as toujours pas répondu à ma question.
Un électron est de taille nulle, jusqu'à nouvel ordre. Donc pas de contraction relativiste. Comment expliques-tu la diffraction, surtout qu'elle se fait dans une direction autre que la contraction.

Je te rappelle l'expérience de diffraction de Young, on envoie des électrons dans la direction Ox, il traverse une fente, et les électrons sont diffractés selon la direction Oy, ça veut dire qu'après la fente, les électrons ne vont plus tous dans la direction Ox, il y a une composante supplémentaire selon la direction Oy.
Cependant la contraction relativiste se fait dans la direction du mouvement donc Ox. Mais cette contraction est relative, puisque si tu te places dans le référentiel des électrons, ils ne bougent pas, donc il n'y a pas de contraction.
Je fais un édit pour ajouter quelque chose, c'est sur le photon que je serais tenté de mettre l'idée à l'épreuve.
Dans le cas du photon on parle de train d'ondes, ce qui pourrait être la diffraction d'une onde simple, si l'on peut définir cette onde, on peut vérifier l'idée.
Un train d'onde ce n'est pas autre chose que la superposition de plusieurs ondes de longueur d'onde différente.
 #29169  par tierri
 
Un électron est de taille nulle, jusqu'à nouvel ordre. Donc pas de contraction relativiste. Comment expliques-tu la diffraction, surtout qu'elle se fait dans une direction autre que la contraction.


Pour aborder ces questions, le cadre dans lequel j'aime me placer est celui ou l'élément fondamental de l'univers est l'espace-temps, le cadre d'une théorie purement relativiste.
Tout n'est qu'espace-temps et tout ce que nous observons n'est que le résultat de sa mécanique.
Le facteur déterminant semble être la métrique, une grande métrique ne peut pas rentrer dans une petite et cette dernière semblera massive, tandis qu'une grande métrique semblera vide, mais fondamentalement c'est la même chose.

Analyser le déplacement rectiligne d'un objet massique n'est pas la même chose qu'analyser la nature même de ses constituants.
On passe de une à trois dimensions, il va falloir que j'astique mes neurones.

Fondamentalement une idée me revient constamment, si par diffraction on peut faire un segment d'un point, on peut faire ensuite une surface puis un volume, d'une infinité de points on peut faire un univers, un univers purement relativiste.
 #29172  par bongo
 
Un électron est de taille nulle, jusqu'à nouvel ordre. Donc pas de contraction relativiste. Comment expliques-tu la diffraction, surtout qu'elle se fait dans une direction autre que la contraction.


Pour aborder ces questions, le cadre dans lequel j'aime me placer est celui ou l'élément fondamental de l'univers est l'espace-temps, le cadre d'une théorie purement relativiste.
En d'autres termes une formulation tensorielle ? ou covariante généralisée ?
Tout n'est qu'espace-temps et tout ce que nous observons n'est que le résultat de sa mécanique.
Tu oublies la matière, et tu oublies l'invariance de l'intervalle.
Le facteur déterminant semble être la métrique, une grande métrique ne peut pas rentrer dans une petite et cette dernière semblera massive, tandis qu'une grande métrique semblera vide, mais fondamentalement c'est la même chose.
Je pense que tu n'as pas bien saisi la notion de métrique.
Une métrique est un objet mathématique qui permet de passer des coordonnées dans un repère, à des distances physiques.
Par exemple, quand tu te déplaces suivant une parallèle sur 10°, si tu le fais au niveau de l'équateur, ou au niveau de Bordeaux, ce n'est pas du tout la même distance que tu parcours. Cette distance est donnée par la métrique qui s'écrit :
R²cos²λ
où R est le rayon de la terre, et λ la latitude en radian.
Analyser le déplacement rectiligne d'un objet massique n'est pas la même chose qu'analyser la nature même de ses constituants.
Là tu parles de réductionnisme ?? Quel est le rapport avec le sujet ?
On passe de une à trois dimensions, il va falloir que j'astique mes neurones.

Fondamentalement une idée me revient constamment, si par diffraction on peut faire un segment d'un point, on peut faire ensuite une surface puis un volume, d'une infinité de points on peut faire un univers, un univers purement relativiste.
Je ne comprends pas où tu veux en venir.
 #29183  par tierri
 
Tu me donnes l'impression Bongo de plus chercher à ma mettre à défaut qu'à éprouver l'idée.

Tu me discutes par exemple le mot "métrique"
Pour ce qui est de la définition, on a le choix quand même : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trique

Dans l'exemple cité on a une fusée en déplacement par rapport à un observateur immobile tel que le facteur de Lorentz vaut trois.
L'observateur fixe pourra voir la fusée aller d'un point A à un point B et parcourir la distance correspondante D
L'observateur en mouvement se verra toujours aller du point A au point B, mais en parcourant D/3, donc selon l'observateur les distances n'ont pas la même valeur, si je ne peux pas parler de "métrique" pour qualifier ces écarts alors dis-moi quel terme je dois utiliser.
Si tu me fais des manières sur ce genre de détail la discussion entre nous risque d'être longue.

C'est une bonne chose d'être critique, cela est nécessaire, cependant apporter des réponses est tout de même mieux.
Ne peux-tu proposer des réponses à tes propres questions ?
 #29187  par bongo
 
Tu me donnes l'impression Bongo de plus chercher à ma mettre à défaut qu'à éprouver l'idée.
Normal je t'ai déjà donné l'argument qui tuait ta théorie.
Tu me discutes par exemple le mot "métrique"
Pour ce qui est de la définition, on a le choix quand même : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9trique
Je ne savais pas que tu étais poète... mais moi je pensais que tu discutais physique-mathématique, donc c'est la définition que je t'en ai donné.
Dans l'exemple cité on a une fusée en déplacement par rapport à un observateur immobile tel que le facteur de Lorentz vaut trois.
L'observateur fixe pourra voir la fusée aller d'un point A à un point B et parcourir la distance correspondante D
L'observateur en mouvement se verra toujours aller du point A au point B, mais en parcourant D/3, donc selon l'observateur les distances n'ont pas la même valeur, si je ne peux pas parler de "métrique" pour qualifier ces écarts alors dis-moi quel terme je dois utiliser.
Ici on mesure des distances entre deux évènements dans deux référentiels différents. C'est bien une métrique que tu utilises pour calculer l'intervalle d'espace-temps entre ces deux évènements.
Mais le terme métrique, utilisé dans cette partie est un contre-sens :
Le facteur déterminant semble être la métrique, une grande métrique ne peut pas rentrer dans une petite et cette dernière semblera massive, tandis qu'une grande métrique semblera vide, mais fondamentalement c'est la même chose.
Je ne comprends pas ce qu'est une grande métrique... comment tu compares deux métriques ??
Et puis bon tu vas finir par pour justifier qu'en fait tu voulais pas parler de métrique, mais de longueur, et que pour calculer une longueur il faut bien parler de métrique, et blablabla.
Au final, ta phrase reste un truïsme non ?
C'est une bonne chose d'être critique, cela est nécessaire, cependant apporter des réponses est tout de même mieux.
Ne peux-tu proposer des réponses à tes propres questions ?
Non tout simplement parce que tu n'as pas donné d'explication, on reste toujours à une phénomène longitudinal pour expliquer un phénomène transversal, pour moi c'est incompréhensible.

Mais si tu préfère je peux te flatter.
Oh que c'est beau ce que tu dis, ça a l'air d'expliquer toute la physique théorique. Waouh, je m'incline, je ne savais pas qu'il y avait un génie sur le forum.