Je recogite depuis aujourd'hui sur la conceptualisation du TEMPS en général . A mon humble avis, le TEMPS est le concept majeur sur lequel nous butons et qui pourrait mettre en évidence la nécessaire complémentarité des modèles "relativistes" et "quantiques".
Plus le temps est dense, moins il y a d'espace et plus il y a de temps (le Temps tendant vers l' Absolu-Intemporalité) si je comprends bien au regard des lois de la physique. Ce n'est pas une contre vérité car si l'on se réfère au Big Bang, le TEMPS était au commencement et précédait l'espace. La matière est venue ensuite.
Plus il y a d'espace, à contrario, plus il y a un étirement du temps, moins de densité du temps (et plus le temps est relatif).
Donc, même si une contradiction peut apparaître dans la qualification de l' adjectif, le temps est absolu et relatif et, contrairement à l' instanton-créationniste de Stephen Hawking, je le qualifierais "d'intemporel" (lol). Le Temps Absolu et Relatif serait un Temps Intemporel, c'est à dire qui a existé de tout temps et de tous les temps.
Ce concept inter-agissant sur le comportement de la vitesse de la lumière (les photons sont de la matière devenus des ondes électromagnétiques) m'interpelle , le temps et l'espace ont une incidence considérable sur le comportement de la vitesse de la lumière qui, comme le dit Manuelarm, peut être ralentie ou accélérée - théoriquement - mais aussi et surtout par l'expérimentation. Je ne pense pas que ce soit la vitesse de la lumière qui est inconstante mais plutôt l'espace-temps à petites et grandes échelles dans lesquelles elle se déplace. C'est le concept dans lequel la lumière évolue.
C'est Nicolas GISIN (professeur de physique, master en physique, DEA maths, docteurhonoris causa et son équipe qui l'ont démontré en 1997 avec l'expérience de photons (particules de la lumière) jumelés conservant la même trajectoire que la vitesse de la lumière, soit 300.000 km/seconde, a été largement dépassée. Donc ... ? Difficile de contrer l'académisme et la théorie de la relativité restreinte ou générale (?) d' Albert Einstein affirmant que la vitesse de la lumière est une constante cosmologique, oui mais l' ESPACE-TEMPS dans laquelle elle évolue pourrait il modifier et amplifier sa vitesse ou convertir ou changer son comportement ?
Comment se comporterait la lumière sur, supposons sur une échelle, dans une densité de temps confinée car peu (ou pas de dimension spatiale) ? Dans les théories quantiques nous n'appréhendons pas la dimension spatiale comme une topologie de l' Espace. Est ce que dans ces conditions la vitesse de la lumière ne serait pas démultipliée ????????? Vous savez il se produirait un phénomène comparable à un big crunch ou rip, je sais plus lequel. Une expansion de lUnivers devenue folle, que la vitesse de la lumière ne pourrait rattraper, causant des étapes d'effondrement de la matière sur elle-même car n'étant plus soutenue par la gravitation. Et bien, dans ce cas de la lumière, ce serait un phénomène peut être inverse : la lumière en fait dans des espaces-temps réduits, se chevauche ou se superpose et se densifie pour créer davantage de temps ?
Et bien, peut être que la vitesse de la lumière dans une dimension d'espace-temps relativiste et spatiale (une topologie de l'espace en 3 dimensions) cela est le cas mais que dans une superposition décohérée des particules de la lumière cela change radicalement la donne dans des petites et grandes échelles fractalisées (???).
Manuelarm souligne d'ailleurs, et ce qui semblerait que,lui-même n'en est pas convaincu, qu "Il fallait bien expliquer l'expérience de Micheld .."
hé ouais, grave pour des scientifiques si pour sauver la face il faille à tout prix valider une théorie !
La longueur de Planck peut elle être considérée comme un quantum de temps, c'est à dire un micro-processeur qui déverserait dans la macro des quantas de temps, les distillerait en quelquesorte ?
Le temps décohérerait (entre 2 états quantiques de superposition) que devient le temps et aussi que devient l'information que contient le temps ?
Supposons que nous ayions la faculté de remonter le temps ou plus exactement une tranche de temps (peut être ?) dans un temps absolu-intemporel nous servant de béquille, nous décohérions car passerions de l'état physique (des molécules) à l' état, je dirais, fluidique, ondes électromagnétiques, mais, pour autant aurions nous perdus L' INFORMATION ??? Si l'on prend l'exemple d'un ordinateur, même si vous supprimez un fichier, il en reste une trace dans le disque dur, la matrice ...
Si 1 particule est transférée d'un état physique à un état quantique par le processus de la décohérence, même spatialement éloignée, elle garde en elle même l'information initiale (les vidéons : plus petits points physiques d'espace-temps).
Si nous remontions dans le TEMPS INTEMPOREL = matrice = Univers = 1, l'origine du temps, nous passons ou passerions par des phases de cohérence et décohérence (d'ailleurs, au passage, dans une phase de décohérence, aurions nous la possibilité de nous cohérer dans une autre dimension et est ce que l'on pourrait le faire sous la forme que nous connaissons ici dans la 4D, pourrions nous matérialiser ou dématérialiser selon la configuration ?? ) et devenons une particule mais cette particule garde en elle l'information de son vécu et passe dans une autre réalité de temps, supposons, supposons ... et, oh, surprise : les frères extra-terrestres.
Selon Laurent Nottale, la vitesse de la lumière est la limite entre 2 espaces-temps, séparés par leur échelle.
Les tachyons et les vidéons remontent la lumière. Donc, est il possible en remontant la lumière de la dépasser ? Les vidéons et les antividéons se meuvent à des vitesses supra-lumineuses.
L'état de la matière dépend directement de la densité du temps. Plus il y a de temps (plus il y a de chronons = plus de quantas de temps = un temps s'approchant de l' Absolu), moins il y a d'espace (contraction), plus il y a d'espace, plus le temps devient relatif (dilatation) car moins dense.
Pour moi, le temps se déclinerait en :
1) la matrice = l'intemporalité du temps régissant le temps et l'espace (sans dimension spatiale), la réduction de l'espace créant une dimension de pur temps = 1, le temps éternel, l'intemporalité du temps.
2) espace-temps quantique = le temps absolu ou tendant vers l'intemporalité du temps, la marche arrière de l'espace-temps contenant le temps (?)devenu indiscret pour les autres observateurs(c'est à dire notre dimension physique, visible car matérielle !).
3) espace-temps physique = le temps relatif, celui dans lequel nous évoluons, un temps continu (perception d'observateur) dans lequel existe des réalités multiples discontinues d'espace-temps quantique (le temps discret observable non observable, invisible à l'oeil pour nous, observateurs car immatériel, quantique).