Ce que je trouve intéressant au plus haut point, c'est cette définition de la Théorie de la Relativité Restreinte d' Albert Einstein :
"La vitesse de la lumière est une limite infranchissable
en effet, la vitesse de la lumière est une constante cosmologique qui ne serait pas remise en cause dans le cadre de la Théorie de la Relativité Générale, enfin je pense (mais aurait besoin de subir quelques modifications),
mais, dans le cadre de la Théorie de la Relativité Restreinte, ben, je me gratte la tête et je me demande (?) :
mais elle n'interdit pas l'existence de particules se déplaçant plus vite que la lumière
Je trouve cette phrase assez sybilline.
Est ce que, dans un espace-temps très dense (le compte à rebours du Big Bang) les particules se déplaçant plus vite que la lumière, ne remettrait pas en cause la vitesse de la lumière en la démultipliant. Ben, sincèrement, je ne suis pas persuadée d'une vitesse de la lumière dans un espace-temps restreint, constante. C'est mon opinion. Je vais soulever des tollés mais je m'en moque ! C'est peut être pas la vitesse de la lumière qui serait inconstante, non, non, elle serait constante, mais c'est la constance, la densité, vous comprenez ce que je veux dire ? Toutes ces particules qui se déplaçent autour de la lumière sous forme de rayonnements qui iraient plus vite que la vitesse de la lumière ?
Alors, question, quelles seraient les conséquences à petites et grandes échelles de ce doublement de la vitesse de la lumière ?
Pour moi, c'est un point capital de notre conception de l' Univers, une constance de la lumière et une inconstance de la lumière (énergie tachyon). Des champs de tachyons stables et instables dans le vide.
Vous m'étonnez que les scientifiques y balisent ! Hypothétique, hypothétique, ouais, ouais !
Ce tachyon, je le comprends, doit passablement énerver les physiciens et les scientifiques en général (pourquoi chercheraient ils ce tachyon-neutrinos ?) = énergie = 90 % de l' Univers = peut être la fâmeuse matière noire recherchée ? Une matière noire qui n'est pas observable mais qui est présente et notamment dans le vide, un maillage de rayonnement cosmique, des alternances de couches de matière/rayonnement - physique et quantique -.
Or, je me pose la question, si Albert Einstein nous dit que : E (énergie) = M (masse) c = célérité = vitesse de la lumière, au carré
c'est à dire que tous les composants de l' Univers doivent trouver leur parfaite équivalence entre la physique (dimension 4 D) et la quantique, ou symétrie. J'ai du mal à l'expliquer.
Vous pourriez me donner une définition "au carré" ?
Comme on l'a vu précédemment, le tachyon, remontant l'information sous forme de rayonnement pourrait violer le principe de causalité (la cause précède toujours l'effet).
Je pense que c'est le cas et tenderait à prouver, tout simplement, que le déterminisme d' Einstein : que l' Univers est pré-déterminé, logiquement cette pré-détermination c'est celle de l' instant T, du Big Bang. Mais, existait elle encore avant le Big Bang : le vide n'est pas vide puisque dedans il y a des rayonnements et que ces rayonnements sont des particules de matière qui ont changé d'état, c'est un schéma, sans réponse car les limites sont toujours repoussées (comme si nous ne pouvions accéder à cette information primordiale, ça vous interpelle pas, cela ?) donc ce schéma de l' Univers se serait reproduit jusqu'à créer 11 dimensions mathématiques (Théorie des Cordes).
Le pré-déterminisme, ben, ça maintenant, j'en suis convaincue et je suis convaincue que nous participons à son, à ce déterminisme. Nous sommes dedans, nous en faisons partie intégrante.
Certains se demandent si l' Univers a une causalité intégrale, c'est à dire que nous serions programmés à 100 %. Moi, je ne penche pas pour une causalité intégrale, que je trouve très réductrice (car cela voudrait dire que nous n'avons aucun libre arbitre et que notre liberté est illusoire, en partie oui, c'est vrai car elle est conditionnée par bien des paramètres) mais pour de nombreuses causalités intermédiaires à l'intérieur du pré-déterminisme = un système d'exploitation.
Nous programmons nous-mêmes des effets qui sont la résultante de nos probabilités de choix causaux (causals) (ortho = ?).
Les mêmes causes, dans les mêmes conditions, produisent les mêmes effets oui mais les conditions peuvent être tellement multiples,
alors, la cause est elle sujette à influence (?), la cause est elle influencée par des causalités de choix intermédiaires = le libre arbitre pour déterminer une cause avec un effet final (le chaud, le froid, honnêteté, malhonnêteté, etc ...).
L'effet obtenu serait le résultat d'une cause influençable, une cause qui, si l'on prend l'exemple d'une femme en pâmoison devant un très beau jeune homme qui ne lui serait pas insensible passerait d'un teint de porcelaine, à un rose aux joues trahissant son émoi, puis à un rouge cramoisi lors du baiser, l'extase.
J'espère ne pas m'être fourvoyé dans mon explication sur l'influence de la cause car c'est un exercice pas facile.
La causalité finale, c'est à dire notre durée de vie (mortel ou pasage) en tant qu'humain, ben je pense que c'est un changement d'état. Nous aurions des causalités finales, à titre individuel, et des causalités finales de destin et dessein collectifs sur la Terre, dans une dimension matérielle.
Le tachyon, chargé électriquement en produisant un rayonnement de Chrenkov caractéristique des vitesses supérieures à celle de la lumière dans le vide, donc, il accélèrerait sans fin, ce qui implique qu'un tachyon d'énergie nulle est "infiniment rapide".
Je reste ouverte à toutes suggestions ou argumentations.
LA QUESTION FONDAMENTALE EST :
Est ce que les particules qui sont des rayonnements supra-lumineux (le tachyon et ses sous produits) dépassant la vitesse de la lumière en accélérant infiniment, exercent sur la vitesse de la lumière une influence qui pourrait modifier la vitesse constante de la lumière elle-même ?
Ca me fait penser, cette accélération des particules sub-atomiques, à un effet de fronde comme quand les satellites profitent de la gravitation de Jupiter pour prendre de la vitesse en direction de Pluton.
"La vitesse de la lumière est une limite infranchissable
en effet, la vitesse de la lumière est une constante cosmologique qui ne serait pas remise en cause dans le cadre de la Théorie de la Relativité Générale, enfin je pense (mais aurait besoin de subir quelques modifications),
mais, dans le cadre de la Théorie de la Relativité Restreinte, ben, je me gratte la tête et je me demande (?) :
mais elle n'interdit pas l'existence de particules se déplaçant plus vite que la lumière
Je trouve cette phrase assez sybilline.
Est ce que, dans un espace-temps très dense (le compte à rebours du Big Bang) les particules se déplaçant plus vite que la lumière, ne remettrait pas en cause la vitesse de la lumière en la démultipliant. Ben, sincèrement, je ne suis pas persuadée d'une vitesse de la lumière dans un espace-temps restreint, constante. C'est mon opinion. Je vais soulever des tollés mais je m'en moque ! C'est peut être pas la vitesse de la lumière qui serait inconstante, non, non, elle serait constante, mais c'est la constance, la densité, vous comprenez ce que je veux dire ? Toutes ces particules qui se déplaçent autour de la lumière sous forme de rayonnements qui iraient plus vite que la vitesse de la lumière ?
Alors, question, quelles seraient les conséquences à petites et grandes échelles de ce doublement de la vitesse de la lumière ?
Pour moi, c'est un point capital de notre conception de l' Univers, une constance de la lumière et une inconstance de la lumière (énergie tachyon). Des champs de tachyons stables et instables dans le vide.
Vous m'étonnez que les scientifiques y balisent ! Hypothétique, hypothétique, ouais, ouais !
Ce tachyon, je le comprends, doit passablement énerver les physiciens et les scientifiques en général (pourquoi chercheraient ils ce tachyon-neutrinos ?) = énergie = 90 % de l' Univers = peut être la fâmeuse matière noire recherchée ? Une matière noire qui n'est pas observable mais qui est présente et notamment dans le vide, un maillage de rayonnement cosmique, des alternances de couches de matière/rayonnement - physique et quantique -.
Or, je me pose la question, si Albert Einstein nous dit que : E (énergie) = M (masse) c = célérité = vitesse de la lumière, au carré
c'est à dire que tous les composants de l' Univers doivent trouver leur parfaite équivalence entre la physique (dimension 4 D) et la quantique, ou symétrie. J'ai du mal à l'expliquer.
Vous pourriez me donner une définition "au carré" ?
Comme on l'a vu précédemment, le tachyon, remontant l'information sous forme de rayonnement pourrait violer le principe de causalité (la cause précède toujours l'effet).
Je pense que c'est le cas et tenderait à prouver, tout simplement, que le déterminisme d' Einstein : que l' Univers est pré-déterminé, logiquement cette pré-détermination c'est celle de l' instant T, du Big Bang. Mais, existait elle encore avant le Big Bang : le vide n'est pas vide puisque dedans il y a des rayonnements et que ces rayonnements sont des particules de matière qui ont changé d'état, c'est un schéma, sans réponse car les limites sont toujours repoussées (comme si nous ne pouvions accéder à cette information primordiale, ça vous interpelle pas, cela ?) donc ce schéma de l' Univers se serait reproduit jusqu'à créer 11 dimensions mathématiques (Théorie des Cordes).
Le pré-déterminisme, ben, ça maintenant, j'en suis convaincue et je suis convaincue que nous participons à son, à ce déterminisme. Nous sommes dedans, nous en faisons partie intégrante.
Certains se demandent si l' Univers a une causalité intégrale, c'est à dire que nous serions programmés à 100 %. Moi, je ne penche pas pour une causalité intégrale, que je trouve très réductrice (car cela voudrait dire que nous n'avons aucun libre arbitre et que notre liberté est illusoire, en partie oui, c'est vrai car elle est conditionnée par bien des paramètres) mais pour de nombreuses causalités intermédiaires à l'intérieur du pré-déterminisme = un système d'exploitation.
Nous programmons nous-mêmes des effets qui sont la résultante de nos probabilités de choix causaux (causals) (ortho = ?).
Les mêmes causes, dans les mêmes conditions, produisent les mêmes effets oui mais les conditions peuvent être tellement multiples,
alors, la cause est elle sujette à influence (?), la cause est elle influencée par des causalités de choix intermédiaires = le libre arbitre pour déterminer une cause avec un effet final (le chaud, le froid, honnêteté, malhonnêteté, etc ...).
L'effet obtenu serait le résultat d'une cause influençable, une cause qui, si l'on prend l'exemple d'une femme en pâmoison devant un très beau jeune homme qui ne lui serait pas insensible passerait d'un teint de porcelaine, à un rose aux joues trahissant son émoi, puis à un rouge cramoisi lors du baiser, l'extase.
J'espère ne pas m'être fourvoyé dans mon explication sur l'influence de la cause car c'est un exercice pas facile.
La causalité finale, c'est à dire notre durée de vie (mortel ou pasage) en tant qu'humain, ben je pense que c'est un changement d'état. Nous aurions des causalités finales, à titre individuel, et des causalités finales de destin et dessein collectifs sur la Terre, dans une dimension matérielle.
Le tachyon, chargé électriquement en produisant un rayonnement de Chrenkov caractéristique des vitesses supérieures à celle de la lumière dans le vide, donc, il accélèrerait sans fin, ce qui implique qu'un tachyon d'énergie nulle est "infiniment rapide".
Je reste ouverte à toutes suggestions ou argumentations.
LA QUESTION FONDAMENTALE EST :
Est ce que les particules qui sont des rayonnements supra-lumineux (le tachyon et ses sous produits) dépassant la vitesse de la lumière en accélérant infiniment, exercent sur la vitesse de la lumière une influence qui pourrait modifier la vitesse constante de la lumière elle-même ?
Ca me fait penser, cette accélération des particules sub-atomiques, à un effet de fronde comme quand les satellites profitent de la gravitation de Jupiter pour prendre de la vitesse en direction de Pluton.