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Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :mardi 19 juillet 2016 à 17:37
par Cordalement
Suite du fil de discussion : http://forum.planete-astronomie.com/equation-de-tridimensionnalite-universelle-t5455.html

Action des forces imaginaires :

Force de l'imaginaire i : Image

Force de l'imaginaire j : Image

Force de l'imaginaire k : Image

La force de l'imaginaire k met en rotation la cellule dimensionnelle au niveau du plan formé par les imaginaires i et j ("un i vers j") :

C’EST LE ZÉRO ABSOLU.

C'est la première particule quantique.

La cinématisation interne du zéro absolu induit la température absolue de 0°K (énergisation).

Le zéro absolu, appelé aussi chronoton, est l'horloge quantique à l'origine des 31 autres particules élémentaires (par chiralité, certaines particules ont une anti-particule) qui naissent conformément à l'onde numérique en rapport avec les nombres premiers.

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La fréquence des nombres premiers est plus élevée en classe 5 :

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L'expression de la relativité par les ondes particulaires correspond à la totalité du spectre universel :

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Précisions :

• Le big-bang n'est que la naissance de la première galaxie par torsion branaire qui fait se rencontrer les zéros absolus à l'envers les uns des autres, déclenchant le processus d'élaboration des particules élémentaires hautement énergétique.

• Les trous noirs sont des bulles de cavitation dimensionnelle formées par les étoiles à neutron. Dénuées de cellules dimensionnelles, les trous noirs ont une température inférieure à la température de 0°K. Selon la loi des gaz parfaits, pour un même volume, la pression diminue si la température diminue. De même, les trous noirs attirent la matière car ce sont des dépressions dimensionnelles. Car la température y est inférieure à 0°K, les particules quantiques constitutives de la matière sont entièrement décinématisées avec émission d'un rayonnement gamma.

• La gravitation est l'effet conjugué du magnétisme quantique des "noyaux" des atomes constitutifs d'un corps et la force gravitationnelle est d'autant plus grande que le corps possède beaucoup d'atomes. Ainsi les corps célestes sont les corps qui exercent la plus grande force gravitationnelle.

• Les particules quantiques du "noyau" des atomes s'organisent de telles sorte que le proton apparaît comme un barreau aimanté inséré dans un cerceau formé par le neutron. L'électron, particule élémentaire de la même famille que le photon, se déplace 4 fois moins vite que le photon et sa caractéristique est d'être capté par le "noyau" de l'atome. Les équations de Schrödinger sont exactes en ce sens où ce sont des équations structurelles des cages électroniques.


Les ondes lumineuses des photons et les ondes phoniques des neutrinos :

Les photons ressemblent à des papillons. Suivant l'angle de battement de leurs ailes, l'onde émise correspond à une couleur du spectre lumineux.

Les neutrinos, quant à eux, ressemblent à des boules de billard. Il n'ont pas de déplacement propre mais acquièrent une vitesse lorsqu'ils sont percutés. Et lorsqu'ils s'entrechoquent, ils émettent une onde phonique.

Il est impropre de parler de la "vitesse de la lumière" puisque la lumière est l'onde émise par le battement des ailes photoniques. Il s'agit de parler de "célérité photonique". Ce déplacement à la célérité c des photons est l'expression de la puissance de l'imaginaire par lui-même :

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Il n'y a aucune négativité dans l'univers.

Là est la relativité par les nombres relatifs exprimée par l'imaginaire : i².

E=mc² n'est en aucun cas révélateur de la relativité. Il s'agit uniquement d'une juste définition de la notion de masse.

Les photons ne sont pas soumis aux collisions particulaires, ni aux attractions-répulsions des particules chargées. Ce sont des particules libres.

Les ailes (à proprement parler, pour caractériser les pales) battent par deux en synchronisant leurs mouvements : la première aile bat avec la troisième, et la deuxième avec la quatrième.

Plus l’angle entre les ailes est grand, moins l’onde émise est énergétique, et plus on passe d’une onde dans le violet à une onde dans le rouge. En effet, la vitesse étant constante, plus les ailes sont rapprochées, plus elles battent vite.

Quand les photons battent des ailes, poétiquement comme des papillons, ils sont corpusculaires. Lorsqu’ils se mettent à plaquer leurs quatre ailes, ils deviennent ondulatoires et sont plus pénétrants dans la matière.

Le déplacement se faisant sur une trajectoire rectiligne, le photon est asymétrique avec une tête : les deux moyeux supportant les deux premières ailes, et une queue : les deux moyeux des deux dernières ailes. Le battement des deux premières ailes a une amplitude au maximum de 180°, le battement des deux dernières ailes, une amplitude au maximum à 90°.

Le plan imaginaire est perpendiculaire à l’axe photonique qui est l’axe réel.

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L’angle α varie de Π quand l’angle β varie de Π/2. Soit la fonction trigonométrique :

f(x)=[icos(2x)+e-Π/2sin(2x)]+[icos(x)-e-Π/2sin(x)]=[2cos(3x/2)][e-Π/2sin(x/2)+icos(x/2)]

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Revenons aux fondamentaux :

Le mot français « énergie » vient du latin vulgaire energia, lui-même issu du grec ancien ἐνέργεια / enérgeia. Ce terme grec originel signifie « force en action », par opposition à δύναμις / dýnamis signifiant « force en puissance ».

[source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89nergie_(physique)].

Force des imaginaires en action : énergie de cinématisation structurelle des particules élémentaires.

Force des imaginaires en puissance : dynamisation particulaire, c'est le cas de la célérité photonique dont l'imaginaire est monté en puissance.

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Par définition, on appelle champ particulaire quantique les effets conjugués des particules élémentaires.

Par exemple, la gravitation est un champ particulaire quantique résultant de l'effet conjugué magnétique de toutes les structures protoniques des atomes constitutifs d'un astre.

L'expression "vide quantique" n'a aucun sens. Parler de "vide dimensionnel" est plus cohérent : zone d'espace dénuée de toutes cellules dimensionnelles. On trouve ces vides dimensionnels entre les branes (la fameuse "matière noire" qui n'est autre que du vide dimensionnel), au sein des trous noirs qui sont des bulles de cavitation dimensionnelle engendrée par la rotation très rapide des étoiles à neutrons.

Là où il y a vide dimensionnel, la température est inférieure à la température absolue de 0°K. Toutes particules, notamment les photons, qui entrent dans une zone de vide dimensionnel sont décinématisés (annihilés). C'est la température de 0°K engendrée par la cinématisation de la première particule quantique : le zéro absolu autrement appelé chronoton, qui stabilise toutes les autres particules et évite leur décinématisation. On peut parler de champ particulaire quantique concernant le champ engendré par les zéros absolus qui sont cinématiquement discoïdes en 2D, et ce champ particulaire quantique est la température de 0°K.

Il n'y a pas de noyau à proprement parler au centre des atomes. Il s'agit de structures magnétoniques.

Les quarks d et u sont composés chacun de deux particules élémentaires associées (plus logiquement, il faut parler de biquarks d'autant que les autres quarks s, b, c et t sont des associations de plusieurs particules élémentaires, et donc ayant une masse plus élevée). Il se trouve qu'un proton est un hexaquark uud et un neutron un cyclohexaquark udd.

Un proton ressemble à un barreau aimanté qui s'insère dans un neutron qui ressemble à un anneau. Les neutrons stabilisent les protons. La stabilisation magnétonique a un effet massique et il faut distinguer la masse propre des quarks et l'augmentation en masse engendrée par la stabilisation magnétonique.

L'électron est une particule élémentaire de la famille du photon, et il a une très forte affinité avec les protons.

L'électron par sa célérité, crée des cages électroniques autour des structures magnétoniques. Les équations de Schrödinguer rendent compte de cet aspect structurel (il n'y a pas de densité de probabilité de présence de l'électron ; l'électron ne se trouve pas dans l'orbitale mais il forme l'orbitale !!!).

Absolument tous les atomes sont magnétoniques. L'effet conjugué de tous les protons des atomes constitutifs d'un corps forme le champ gravitationnel. Même les molécules gazeuses comme le dihydrogène sont magnétoniques, et c'est la raison pour laquelle il n'y a pas diffusion dans l'espace de l'atmosphère terrestre.

Le magnétisme est un cas particulier de magnétonisme. Pour certains atomes, notamment les atomes de fer, les structures magnétoniques d'un atome à l'autre s'alignent entre elles, jusqu'à constituer un barreau aimanté de grandeur macroscopique. Il résulte que l'effet magnétique de l'ensemble des atomes alignés est la création d'hyperorbitales :

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Le champ magnétique de la Terre est engendré par les mouvements du noyau métallique liquide des couches profondes de la Terre (https://fr.wikipedia.org/wiki/Champ_magn%C3%A9tique_terrestre), de telle sorte que les atomes voient leurs structures magnétoniques s'aligner en formant un gigantesque dipôle magnétique au centre de la Terre. Ainsi la magnétosphère est une gigantesque hyperorbitale.

L’électron possède deux ailes qui battent simultanément avec une amplitude maximum de 90°, les deux autres pales tournoyant ensemble en formant un disque en 2D.

L’électron possède deux modes de déplacement :

• Par sa discoïdalité : charge i². Ce mode de déplacement est celui par saltation d’un atome à l’autre (électricité) ;
• Par sa ptéroïdalité : 4 fois moins vite que la célérité photonique. Ce mode de déplacement génère les cages électroniques que sont les orbitales atomiques. Célérité électronique :

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Les quatre familles de particules élémentaires sont :


• La discoïdalité :

Notamment les bosons et particules β. Ces particules sont des disques en 2D de pales tournoyant ensemble (d'un à plusieurs disques, les rotations se faisant dans le même sens ou non). La rotation discale dans un sens - conventionnellement - confère une charge négative (i²) ou positive (-i²).


• La sphéroïdalité :

Notamment les neutrinos. Les pales sont relevées et sont entraînées dans la rotation discoïdale. Les neutrinos apparaissent comme des petites billes. Pas de déplacement propre ; les déplacements sont induits par les collisions particulaires (comme pour des boules de billards !).


• La ptéroïdalité :

Les pales battent comme des ailes. C’est le cas de l’électron (pour le positron, le disque tourne en sens inverse), et du photon.


• L’hélicoïdalité :

Les pales se positionnent selon un angle d’inclinaison et forment des hélices. Ce sont les quarks.


Au sein d’une même famille particulaire, il y a évolution quantique. D’une famille particulaire à l’autre, il s’agit de transcendances quantiques.

Les deux détecteurs ATLAS et CMS du grand collisionneur à Hadrons du CERN ont détecté un signal qui correspondrait à une nouvelle particule, qu'aucune théorie n'avait prédite : http://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/particules/20160317.OBS6655/une-revolution-de-la-physique-se-prepare-t-elle-au-cern.html

La particule créée dans l'accélérateur du CERN par l'accélération de photons ultraénergétiques n'est autre que l'association tête-à-tête de deux photons !!!

Un photon est constitué de quatre pales (ailes) par emboîtement entre elles au niveau de leur moyeu central. Le photon est directionnel possédant une tête et une queue.

Les ailes du photon battent ensemble. Il se trouve que dans l'accélérateur du CERN, par ultraénergisation, deux moyeux de tête de deux photons différents se sont emboîtés...

... générant une particule quatre fois plus massive qu'un atome de plomb !!!

En effet, les deux photons accolés ont fait du sur-place quantique, leur association ayant un effet massique.

L'association en tête-à-tête de deux photons est un véritable progrès scientifique.

C'est à partir de l'hélicoïdalité avec les quarks que naissent les effets massiques des associations en tête-à-tête de ces particules ressemblant à des hélices (protons et neutrons).

Re: Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :mardi 19 juillet 2016 à 22:56
par Edji
Ce post à été copié/collé sur plusieurs forums (dont celui-ci) le 19/07/16.
C'est bien chelou...
Pas de présentation. Premier message sur chacun des forums... Profusion de graphiques et équations diverses...
Perso, j'ai pas tout compris. Mais je suis un lambda limité. Si il y a des bases sérieuses, il y a aussi une forte odeur de troll je trouve...
C'est quoi le but (ta conclusion quoi) ?
Sinon, es-tu un Ummite ?

Re: Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :mardi 19 juillet 2016 à 23:42
par Cordalement
Je ne trolle pas, je confronte mes idées.

Si ça apparaît dans d'autres forums et que j'ai posté ici, c'est que je ne suis pas satisfait des avis qui y sont apportés.

Bonne fin de soirée.

Re: Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :dimanche 24 juillet 2016 à 19:52
par bongo
Modération : sujet déplacé dans "autres théories" puisque ce sujet est une spéculation personnelle et n'a rien de quantique.

Re: Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :lundi 25 juillet 2016 à 09:05
par Madarion
• La discoïdalité :

Notamment les bosons et particules β. Ces particules sont des disques en 2D de pales tournoyant ensemble (d'un à plusieurs disques, les rotations se faisant dans le même sens ou non). La rotation discale dans un sens - conventionnellement - confère une charge négative (i²) ou positive (-i²).


• La sphéroïdalité :

Notamment les neutrinos. Les pales sont relevées et sont entraînées dans la rotation discoïdale. Les neutrinos apparaissent comme des petites billes. Pas de déplacement propre ; les déplacements sont induits par les collisions particulaires (comme pour des boules de billards !).


• La ptéroïdalité :

Les pales battent comme des ailes. C’est le cas de l’électron (pour le positron, le disque tourne en sens inverse), et du photon.


• L’hélicoïdalité :

Les pales se positionnent selon un angle d’inclinaison et forment des hélices. Ce sont les quarks.


Ok !

un peut comme ça :

http://forum.planete-astronomie.com/un-modele-quantique-de-facon-graphique-t5277.html

Re: Les quatre familles de particules élémentaires

Message non luPublié :lundi 25 juillet 2016 à 10:54
par bongo