• La Mécanique Néo-Newtonienne

  • Les autres théories ou peut être la votre...
Les autres théories ou peut être la votre...
 #49458  par Dick
 
Je me réfère souvent à cette réflexion dans la philosophie des sciences au XXè siècle
Barberousse, Kisler, Ludwig a écrit :Affirmer d'une part qu'une explication prend nécessairement la forme d'un argument déductif dont les prémisses sont vraies, et d'autre part que si une explication remplit sa fonction, alors on peut en déduire que ses prémisses sont vraies, sont deux choses fort différentes. On ne peut passer purement et simplement de la première à la seconde sans commettre une grave faute logique.
 #49462  par bongo
 
Hop une citation pour tenter d'éviter de répondre à la question.
 #49463  par Dick
 
J’étais à peu presque sûr que tu ne comprendrais pas. Ça dit en gros que ce n’est pas parce qu’une théorie est conforme aux observations qu’elle est juste. Je te l’ai pourtant déjà dit, ce n’est parce que A => B que B => A. Si une théorie est juste alors elle est conforme aux observations, mais ce n’est pas parce qu’elle est conforme aux observations qu’elle est juste. Alors tes arguments de vérification de la relativité n’ont aucune valeur. Toi comprendre ? Une théorie fausse peut être conforme aux observations et comme je l’ai déjà indiqué la RR est constituée de deux théories antagonistes, l’une préconise un temps relatif, l’autre un temps absolu. La première est contradictoire, la seconde incohérente. Désolé !
 #49464  par bongo
 
Ah oui, il faut que je te rappelle ce que je pense.

Une théorie n'est jamais confirmée par l'expérience. Une théorie n'est qu'une approximation plus ou moins juste de la réalité. Pour le moment, les théories actuelles, relativité, mécanique quantique n'ont pas été réfutée par l'expérience. Je ne dis pas qu'elles sont justes, simplement que leur limite expérimentale n'a pas encore été atteinte. Si ce que je pense est juste, mais ça voudrait dire que ce sera compliqué d'atteindre cette limite, c'est que les deux théories s'effondrent en même temps dès qu'on ne peut plus négliger la mécanique quantique dans les phénomènes gravitationnels, ou bien dans l'échelle quantique, quand on ne peut plus négliger la gravitation. Ce serait à l'échelle de Planck...

Ce que je dis aussi, c'est qu'une nouvelle théorie doit pouvoir reproduire les mêmes résultats dans ces domaines, et être conforme au delà des limites, là où l'expérience nous indique qu'il y a un défaut.

Pour ce qui est de la relativité, je pense que tu la rejètes simplement parce que tu ne l'as pas comprise du tout, ce qui explique tous les contre-sens que tu as sortis dans le poste où je te proposais de faire un exercice, en fait c'était poser le problème et voir où ça nous mènerait. La partie la plus intéressante c'est pas les calculs, mais la partie interprétation. Est-ce que tu peux me dire maintenant où est l'incohérence ? Tu as aussi le droit de me dire que tu n'étais pas capable de dérouler tout ça, ou que maintenant tu as pigé un truc que tu n'avais pas pigé avant.

Une chose que je dis également, c'est qu'aujourd'hui, un simple amateur, quelqu'un qui n'a pas étudié le sujet, qui n'a pas été diplômé, qui fait ça en dilettance ne peut pas révolutionner le domaine de la physique. Einstein était dans le circuit académique, c'est juste qu'il a eu un équivalent de Master en physique (de l'école polytechnique fédérale de Zurich), mais il n'avait pas de doctorat, non pas parce qu'il a fait de l'ingénierie son métier, mais parce qu'il n'arrivait pas à trouver des postes académiques. Du coup son travail était en attendant faute de mieux. Mais quelqu'un comme Einstein ne pourrait pas révolutionner la physique aujourd'hui en travaillant dans un bureau d'ingénieur le jour, en s'occupant des enfants en rentrant du travail et en faisant de la physique déconnecté des chercheurs le week-end.

Encore moins un retraité qui n'a pas étudié la relativité avant et qui la rejète comme un étudiant qui la rejète parce qu'il n'en pas compris la substance et qui finit, à force de persévérance de calculs, d'exercices, d'échanges avec d'autres étudiants, de questionnement du prof, des autres profs, au contact de chercheurs, par sauter tous les verrous conceptuels et non intuitifs, par comprendre la relativité.
 #49467  par Dick
 
Je m’étais arrêté au § 1.3 de ma proposition d’une mécanique néo-newtonienne.
1.3. ESPACE DE VITESSE.
Un élément y d'un espace de vitesse F est défini par y = b f = Σ bk fk, b étant une fonction de la vitesse, (fk) forme une base de F. Le point d'origine O est également pris comme l'origine des y. Un espace de vitesses est représenté par un espace euclidien de dimension 3.

Je poursuis donc si vous le permettez.
1.4. MÉCANIQUE DU POINT DANS L'ESPACE GÉNÉRAL.
1.4.1. Cinématique du point dans l’espace général.
L’espace général G est le produit d’un espace physique E par son espace de vitesses associé F: G = E x F. Il est constitué de tous les points de l’Univers. Il est modélisé par les espaces euclidiens R^6 et C^3. Dans C^3 un point de G est défini par le vecteur OM = x + i y.
La vitesse d'un point dans l'espace général G est donnée par la dérivée de son vecteur-position OM':
w = dOM'/dt = dz’/dt = v + i u, avec v = dx'/dt et u = dy'/dt = f db/dt+ b df/dt = f db/dt + b n v/r.
Dernière modification par Dick le samedi 12 octobre 2024 à 12:33, modifié 3 fois.
 #49469  par bongo
 
Dick a écrit : mercredi 9 octobre 2024 à 16:15Un point de G est défini par le vecteur OM = x + i y.
Si je te suis x est en fait un vecteur à 3 dimensions, ainsi que y ?
Dick a écrit : mercredi 9 octobre 2024 à 16:15Comme dans E, la vitesse d'un point dans l'espace général G est définie par la dérivée de son vecteur-position
OM' = z' = x' + i y': w = dOM'/dt = dz’/dt = dx'/dt + i dy'//dt = v + i u, avec v = dx'/dt
et u = dy'/dt = f db/dt+ b df/dt = f db/dt + b n v/r.
Là je comprends pas, car tu as mis la vitesse dans l'espace G, du coup je m'attendais à avoir y (qui est peut-être la vitesse dépendant des dérivées de x).
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