Je vais prendre un exemple terre à terre, car il n'y a que ça de vrai, avec notre pauvre petite comprenette tellement limitée (nous avons besoin d'images pour aprécier les phénomènes macroscopiques, car notre cerveau est totalement conçu/orienté par les fonctions de l'oeil)
Si l'on suppose que les informations macroscopiques "utiles" véhiculées par une particule sont les ondes hertziennes "utiles" qui caractérisent nos images de télévision, il n'empêche que pour caractériser un flux hertzien, on a besoin de connaitre également la fréquence porteuse (plus élevée) qui véhicule l'onde "utile", et permet de connaître l'émetteur, le transpondeur satellite, par exemple.
Je ne peux pas prouver que le bouillonnement quantique/probabiliste contient également quelque chose qui caractérise la nature exacte de la particule qui transporte l'information macroscopique utile, mais personne ne peut prouver le contraire.
C'est mon hypothèse, la fréquence porteuse est assimilable à l'ADN de la particule.
Reste à disséquer le bouillonnement.
Par ailleurs, ce bouillonnement existe également dans chaque cube, même s'il n'y a pas de particule à proximité, à quoi donc correspondrait-il ? sinon à un traitement de l'information intime/intégré et inconnu (objectif/rôle/sens/etc.)
Le martien qui captera l'une de nos émissions satellites ne comprendra que lorsqu'il aura reconstitué un décodeur, pas avant, car il ne verra pas que, dans ce bouillonnement apparent de multiples sinusoïdes, il y a l'image très stable et en 3D de Pamela Anderson.
Trouvons le modem, bon dieu, et cessons de reluquer des probabilités que nous ne savons même pas voir/mesurer.
Si l'on suppose que les informations macroscopiques "utiles" véhiculées par une particule sont les ondes hertziennes "utiles" qui caractérisent nos images de télévision, il n'empêche que pour caractériser un flux hertzien, on a besoin de connaitre également la fréquence porteuse (plus élevée) qui véhicule l'onde "utile", et permet de connaître l'émetteur, le transpondeur satellite, par exemple.
Je ne peux pas prouver que le bouillonnement quantique/probabiliste contient également quelque chose qui caractérise la nature exacte de la particule qui transporte l'information macroscopique utile, mais personne ne peut prouver le contraire.
C'est mon hypothèse, la fréquence porteuse est assimilable à l'ADN de la particule.
Reste à disséquer le bouillonnement.
Par ailleurs, ce bouillonnement existe également dans chaque cube, même s'il n'y a pas de particule à proximité, à quoi donc correspondrait-il ? sinon à un traitement de l'information intime/intégré et inconnu (objectif/rôle/sens/etc.)
Le martien qui captera l'une de nos émissions satellites ne comprendra que lorsqu'il aura reconstitué un décodeur, pas avant, car il ne verra pas que, dans ce bouillonnement apparent de multiples sinusoïdes, il y a l'image très stable et en 3D de Pamela Anderson.
Trouvons le modem, bon dieu, et cessons de reluquer des probabilités que nous ne savons même pas voir/mesurer.