1) Bongo a écrit : « on n'a absolument pas la même définition de sciences dures/molles » bah si on a pas la même définition, dis moi la tienne.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_duresLa médecine est plus proche des sciences molles que la physique...
2) Bongo a écrit : « ces êtres doivent être exposés à des fractures qui laissent des traces dans les fossiles », bah oui. Tu crois qu’on n’a pas de fossiles de nos ancêtres ? Même si c’est peu, on en découvre toujours plus…
Mon raisonnement est analogue à ce qui est fait en archéologie. On a des os, des fossiles d'égyptiens, d'hommes de Cro Magnon ayant des fractures du crâne etc...
Cela prouve que leur médecine était assez évoluée pour pratiquer des opérations.
A fortiori, si tu supposes que d'autres civilisations étaient aussi avancées que nous, on doit pouvoir trouver des fossiles portant ce genre de traces.
3) Bongo a écrit : «l y a d'autres choses qui manque dans ta remarque, ce sont des preuves d'êtres ayant un volume crânien assez important pour développer une intelligence », j’ai déjà dis tout à l’heure que le volume crânien homininé n’évolue quasiment plus depuis 2,5 millions d’années et que ça fais depuis 6 millions d’année qu’on est déjà « assez intelligent » pour transformer la nature.
J'ai montré avec la source que homoe ergatus avait un volume crânien de 800 cm^3, soit 2 fois moins que l'homme moderne, et il avait 1.9 millions d'années...
4) Bongo a écrit : « Pour réfléchir aux sciences, il faut que la société vive avec abondance. Donc il faut une population assez importante » drôle de déduction, peut tu me l’expliquer ? je ne comprends pas le « Donc il faut une population assez importante ».
Pour réfléchir aux sciences, il ne faut pas réfléchir à "qu'est-ce que je vais manger demain ?", "comment va-t-on survivre ?", "où sont les animaux nomades ?"
Donc il faut avoir domestiquer des animaux, et inventer l'agriculture. Cependant ces tâches requièrent beaucoup de main d'oeuvre (donc l'homme continue à travailler durement la terre).
Donc il faut que l'homme se spécialise dans les tâches : je suis meilleur nageur, donc je pêche, tu as plus de force que moi, tu travailles la terre.
Donc il faut inventer la monnaie, et donc développer le commerce. C'est ce qui provoque la navigation, la quantification, l'observation astronomique pour savoir quand planter.
Une fois qu'il y a assez de monde qui travaille la terre, il faut optimiser tout ça afin que l'économie rurale diminue, et enfin on peut avoir des hommes qui réfléchissent aux sciences.
On ne nourrit pas du jour au lendemain 3 milliards de personnes, donc on mécanise tout ça, mais pour le faire, il faut une révolution industrielle, donc il faut découvrir une source d'énergie après avoir découvert la force de la vapeur.
Donc cela implique l'énergie fossile, et donc le changement climatique qui laisse des traces dans les carottages.
Tu ne peux pas nier cela ? Donc si une grande civilisation a existé, alors elle a perturbé l'atmosphère, donc les carottes doivent nous fournir des traces.
5) Bongo a écrit : « et a priori, une civilisation basée sur le carbone, ou l'énergie nucléaire», encore une fois, c’est une déduction infondé et fausse, si tu l’a déduis par toi même essaye au moins d’argumenter.
Quelles autres sources d'énergie existe-t-il ?
Le soleil ? bien c'est exploité de façon primaire par l'agriculture.
Les animaux domestique ? oui mais ils se nourissent de plantes, qui poussent grâce au soleil.
A moins que cette civilisation invente tout de suite les cadrans solaires... je ne vois pas comment exploiter l'énergie solaire.
De toute façon on sait quelle quantité d'énergie provient du soleil, et on connait les rendements des plantes...
Cela implique qu'une société doit trouver ailleurs de l'énergie... comme cette civilisation a dû inventé le feu, la combustion est la voie la plus simple... toujours pas de trace dans le carottage.
Peut-être ont-ils inventé la fission ? Dans ce cas, ça laisse des déchets nucléaires avec des périodes radioactives diverses.
Peut-être la fusion ?
Une fois cela supposé, il faut réfléchir sur ce qui a causé leur perte.