bonsoir,
manuelarm a dit:
Déjà pour pouvoir vraiment trancher il faudrait savoir ce que pense la biologie du concept de conscience de soi, quelle qu'un sait ?
pas de biologiste à l'horizon .....wikipedia !!!
Niveaux de consciencesource:http://fr.wikipedia.org/wiki/Conscience_(biologie)
extrait : (le ien doit etre lut dans son ensemble des extrait ne suffise pas)
En comparant en particulier les capacités cognitives de différentes espèces animales, il apparaît différents niveaux de conscience :
La conscience primaire (consciousness), au sens général, qui serait l'état le plus primaire et le plus basique du phénomène de conscience (représentation consciente de l'environnement et du corps du sujet). La plupart des animaux seraient limités à ce niveau de conscience ;
La conscience introspective ou réflexive, qui correspondrait à une représentation consciente des représentations (être conscient d'avoir conscience) ;
La conscience de soi (self-awareness), qui serait un état supérieur de conscience, où le psychisme accède à une connaissance claire et immédiate, non seulement de son activité, mais en plus de son identité propre et singulière, et tel que l'auteur de sa propre activité (capacité du sujet à se percevoir comme étant l'auteur de ses pensées). Seul les hominidés et les dauphins auraient accès à ce niveau de conscience. La conscience de soi est à distinguer de la reconnaissance de soi (self-recognition), capacité cognitive – généralement inconsciente – d'un organisme à se reconnaître à partir d'informations sensorielles olfactives, auditives, visuelles, etc.
Contexte matérialiste
L’hypothèse où tout ce qui est observé dans l’univers peut s’expliquer sans faire appel à une intervention divine ou spirituelle est appelée matérialisme. Dans cette conception, tout ce qui existe est formé de matière. La science opère dans un cadre matérialiste. D'après le darwinisme, l’être humain est le produit d'un processus d’évolution par sélection naturelle. On peut donc supposer que la conscience est un caractère ayant été acquis car il apportait un avantage sélectif. Au cours de l'évolution, elle serait devenue nécessaire pour assurer la survie en milieu hostile.
Le scientifique, dans sa tentative d’expliquer la conscience, la définit comme étant une fonction du cerveau. Il existe alors deux possibilités :
Le cerveau étant considéré comme un simple système de traitement de l'information, la conscience serait alors ce qui pilote son fonctionnement.
Il existe des propriétés de la matière que les scientifiques n’ont pas encore découvertes et qui peuvent expliquer le phénomène de la conscience
Donc la consience n'est pas une caracteristique propre à l'Homme.
manuelarm a dit:
il y a une question que l'on oublie de se poser ou bien plutôt que l'on n'as pas tranché définitivement, est-ce possible de vivre sans perturber le biotope, l'équilibre parfait n' existe peut-être pas, ou bien il existe plusieurs états d'équilibres instables, dont certaines variations permet de passer de l'un vers l'autre avec la possible disparitions d'espèces.
donc l'homme s'adapte à un environement de la méme maniere qu'un autre animale le ferait si l'animale n'est pas adapter a la nouvelle configuration il entrenera sur celle-ci une instabilite dans son milieux tu le resume tres bien :
il existe plusieurs états d'équilibres instables, dont certaines variations permet de passer de l'un vers l'autre avec la possible disparitions d'espèces
exemple en australie une expece a ete introduite par ereur celle-ci malgré tout,c'est adapté mais
a entrené la disparition d'autre éspece, endémique au pays.
toujours aucune preuve sientifique de la superiorité de l'Homme sur l'animale
qu'es ce qui le différent ci de l' Hanimal alors ?
sa societe : non (voir fourmie/termite...)Des spécialistes en la matière
sa solidarité : non ,car se comportement ne s'observe que sur quelque individu isolé
je tien a presise une chose CAPITALE pour observé de maniére objectfe une espece le CONTEXTE (l'environement) doit etre pris en compte.
Exemple:L’expérience de StanfordL’expérience de Stanford (effet Lucifer) est une étude de psychologie expérimentale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. En d'autres termes, chaque participant savait que l'attribution des rôles n'était que le simple fruit du hasard et non pas de prédispositions psychologiques ou physiques quelconques. Un gardien aurait très bien pu être prisonnier, et vice-versa.
Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés aux rôles qu'on leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement dommageables. L'une des conclusions de l'étude est qu'un tiers des gardiens fit preuve de comportements sadiques, tandis que de nombreux prisonniers furent traumatisés émotionnellement, deux d'entre eux ayant même dû être retirés de l'expérience avant la fin1.
Malgré la dégradation des conditions et la perte de contrôle de l'expérience, une seule personne (Christina Maslach) parmi les cinquante participants directs et indirects de l'étude s'opposa à la poursuite de l'expérience pour des raisons morales. C'est grâce à celle-ci que le professeur Zimbardo prit conscience de la situation et fit arrêter l'expérience au bout de six jours, au lieu des deux semaines initialement prévues1.
Les problèmes éthiques soulevés par cette expérience la rapprochent de l'expérience de Milgram, menée en 1963 à l'Université Yale par Stanley Milgram, un ancien camarade de classe de Zimbardo au lycée.[/quote]
A voir aussi :Expérience de Milgram
prenons ces personnes ( 50 ) nous les mettrons au milieux d'une forêt (très vaste)
Pour simuler dans les premier temps un prédateurs naturelle nous abattrons de manière aléatoire une personne chaque mois, durent les 2 premières années .Ainsi un climat de peur plus naturelle apparaitra
À votre avis quel type de société vont-ils adopter ? Sachant que dans le meilleur des cas il reste plus que 26 individus
L’homme et un animal parmi d'autre animale (c'est juste une question d'échelle/de point de vue rien de plus) plusieurs expérience scientifique l'on malheureusement prouvé
une derniere la meute source :
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/05/26/beregovoy-dsk-l-effet-de-meute.htmlextrai d'un article de Bérégovoy:
Il y a quelque chose d’inquiétant dans l’effet de meute: il naît spontanément, et ne s’arrête parfois jamais vraiment.
Par principe je pense qu’il faut s’opposer au mécanisme de meute. Ne pas aboyer avec la meute quand on nous désigne un coupable. Ce n’est pas toujours facile: parfois on ne voit pas tout de suite que l’on est dans la meute. Et celui qui ne suit pas la meute déplaît. Et parfois on ignore dans quel sens va vraiment la meute tant elle est elle-même incertaine. Mais il faut le savoir: être du côté du côté du plus grand nombre ou de ceux qui crient le plus fort n’est pas une attitude intellectuelle réfléchie.
La meute est conformiste. Et l’époque étant assez conformiste, la meute trouve un terrain d’expression facilité. Ne pas être du côté de la meute, mais tenter de réfléchir autrement, par soi-même, quitte à se tromper, à faire évoluer sa position: c’est devenu une forme d’hygiène mentale, dans cette époque non seulement conformiste, mais prisonnière de la dictature de l’émotion et de l’indignation.
Ni l’émotion ni l’indignation ne sont des vérités objectives. Ni les cris de la meute.
S’opposer par principe au mécanisme de la meute n’est pas non plus une garantie de vérité. Mais au moins la meute n’a pas tout pouvoir sur le monde.
bref: se qui diferencie l'Homme de l'Hanimal est...........