• Existence du Big Bang ?

  • Le Big Bang désigne l’époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a environ 13,7 milliards d’années, ainsi que l’ensemble des modèles cosmologiques qui la décrivent, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. Et vous, vous en pensez quoi ?
Le Big Bang désigne l’époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a environ 13,7 milliards d’années, ainsi que l’ensemble des modèles cosmologiques qui la décrivent, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. Et vous, vous en pensez quoi ?
 #49324  par bongo
 
Du coup il y a bien un problème pour une particule dont la vitesse est supérieure à la lumière dans le milieu, effet Cerenkov comme tu dis. En fait à partir du moment où on prend une racine d'un nombre négatif... on ne peut pas s'en tirer en parlant de nombre imaginaire. Ca veut dire que la théorie est pathologique (surtout que je n'ai pas trop compris d'où venait ton calcul de sin quelque chose et cos quelque chose). Ca arrive comme un cheveu sur la soupe sans démonstration.
 #49328  par Dick
 
:upside_down_face: :cry:
bongo a écrit : lundi 23 septembre 2024 à 21:13 Du coup il y a bien un problème pour une particule dont la vitesse est supérieure à la lumière dans le milieu, effet Cerenkov comme tu dis.
L’effet Tchekonov est bien documenté.
Le matériel spécialisé, tel que les dispositifs d’observation de l’effet Tcherenkov de la prochaine génération (XCVD) ou les dispositifs numériques d’observation de l’effet Tcherenkov (DCVD), qui captent la lumière émise, permet aux inspecteurs des garanties d’analyser les matières nucléaires dans les installations nucléaires et ailleurs et de comparer ces données aux informations fournies par les États.
bongo a écrit :En fait à partir du moment où on prend une racine d'un nombre négatif... on ne peut pas s'en tirer en parlant de nombre imaginaire.
Pour les nombres imaginaires, on peut consulter ce site sur l’histoire de ces nombres.
en cette fin de Renaissance, l’utilité d’introduire des carrés négatifs se fait jour, ouvrant la voie à des nombres imaginaires et un monde complexe.
bongo a écrit :je n'ai pas trop compris d'où venait ton calcul de sin quelque chose et cos quelque chose. Ca arrive comme un cheveu sur la soupe sans démonstration.
Je définis β par sin β = nVp/c. C’est une définition et comme disait mon prof de maths en prépa "c’est une définition donc il n’y a rien à comprendre". On remarquera toutefois que lorsque n = 1, alors cos β = (1 - (Vp/c)^2)^1/2 = 1/γ, l’inverse du facteur de Lorentz γ. L’angle β a été introduit ainsi.

Je n’ai mentionné qu’un site sur l’effet Tchekonov et un seul sur les nombres imaginaires, mais il existe d’autres sites et bouquins sur ces sujets, si on veut les approfondir.
Dernière modification par Dick le mardi 24 septembre 2024 à 14:11, modifié 1 fois.
 #49330  par bongo
 
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 13:34L’effet Tchekonov est bien documenté.
Je ne doute pas que l'effet Tcherenkov est bien documenté, il est même observé dans les piscines des centrales nucléaires, dans les détecteurs de particules (par exemple Hyper Kamiokandé).

On se comprend pas... moi je dis que TA formule est pathologique... puisqu'elle n'admet pas qu'une particule puisse aller plus vite que la lumière dans un milieu...

TA formule : 1/racine(1- n² Vp²/c²) n'est pas possible pour Vp > c/n
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 13:34
bongo a écrit :En fait à partir du moment où on prend une racine d'un nombre négatif... on ne peut pas s'en tirer en parlant de nombre imaginaire.
Pour les nombres imaginaires, on peut consulter ce site sur l’histoire de ces nombres.
Non mais je connais les nombres imaginaires... c'est pas la question...
Je te dis que par exemple dans la théorie de la relativité, tu as ce paramètre qui intervient :
gamma = 1/racine(1-v²/c²)
C'est aussi pour ça qu'en relativité tu ne peux pas avoir de particules dont la vitesse est supérieure à c... indépendamment que les nombres complexes, quaternions, octonions etc... existent....
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 13:34
je n'ai pas trop compris d'où venait ton calcul de sin quelque chose et cos quelque chose. Ca arrive comme un cheveu sur la soupe sans démonstration.
Je définis β par sin β = nVp/c. C’est une définition et comme disait mon prof de maths en prépa "c’est une définition donc il n’y a rien à comprendre". On remarquera toutefois que lorsque n = 1, alors cos β = (1 - (Vp/c)^2)^1/2 = 1/γ, l’inverse du facteur de Lorentz γ. L’angle β est né de ce coefficient.
Ou bien il faut partir d'une définition... de toute façon je vais pas essayer de rattraper ton calcul qui me semble complètement faux... je te laisse te débrouiller.
 #49334  par Dick
 
:yum:
bongo a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 14:06 On se comprend pas... moi je dis que TA formule est pathologique... puisqu'elle n'admet pas qu'une particule puisse aller plus vite que la lumière dans un milieu...
Elle n’est pas pathologique car elle n’est pas due à une maladie.
TA formule : 1/racine(1- n² Vp²/c²) n'est pas possible pour Vp > c/n
Il en est de même en relativité einsteinienne, c/n est une limite théoriquement indépassable.
bongo a écrit :En fait à partir du moment où on prend une racine d'un nombre négatif... on ne peut pas s'en tirer en parlant de nombre imaginaire.
bongo a écrit :Non mais je connais les nombres imaginaires... c'est pas la question...
Une racine carrée d’un nombre négatif ne devrait pas te poser de questions, alors.
 #49335  par bongo
 
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 17:40Elle n’est pas pathologique car elle n’est pas due à une maladie.
Es tu un troll ?
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 17:40
TA formule : 1/racine(1- n² Vp²/c²) n'est pas possible pour Vp > c/n
Il en est de même en relativité einsteinienne, c/n est une limite théoriquement indépassable.
Non, c'est c qui est une limite indépassable, pas c/n (comme je l'ai écrit).
Dick a écrit : mardi 24 septembre 2024 à 17:40Une racine carrée d’un nombre négatif ne devrait pas te poser de questions, alors.
C'est pas ça le problème...
En mécanique quantique ou en problème d'algèbre, ou en problème de cinématique, tu t'attends à certains types de réponses : un nombre naturel, un nombre entier, etc...
De fait, même si mathématiquement tu peux trouver une solution à ton équation, physiquement, tu dois exclure certaines solutions, parce que physiquement inadmissible.

Ici explique moi ce qu'est une longueur d'onde imaginaire pure. Après je te dis ce que je pense.
 #49337  par Dick
 
Ben, je ne sais pas trop ça vient de sortir du four. Il faudrait peut-être chercher du côté de l’énergie réactive . Il y a peut-être une similitude entre les deu.x.
  • 1
  • 16
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20