ADM :
C'est quasiment mission impossible avec le système d'interprétation scientifique actuel. On va plus vers le ''tout est relatif'' donc il est très compliqué d'avoir un 0 (zéro) de type ''absolu''. D'où les mesures de type comparatif, bien que de fois on trouve des ''points'' de référence de ''genre absolu'' (comme le 0° absolu pour la température).
C'est pourquoi j'essaie de ''reconsidérer'' l'Univers comme étant défini par une fonction d'énergie et de temps : f(E,t) bien que ce ne pas le plus commode. Comme Bongo disait ci-dessus : le terrain est glissant et c'est un peu à la limite de nos connaissances.
Je remercie Bongo pour le fait qu'il a accepté de suivre cette conversation car il n'est pas aisé d'emprunter des chemins non-conventionnels. Ses critiques et observations sont très justes et bien ancrés dans la ''norme'' scientifique actuelle. C'est comme ça qu'on évite les déviations intellectuelles.
En revenant sur le référentiel j'ai le sentiment que si on garde les paramètres actuels on ne pourra pas sortir de cette relativité du mouvement (des vitesses plus précisément). Mais si on considère que la vitesse est une forme d'énergie et qu'on accepte de définir l'espace en conséquence on peut avoir ce zéro ''absolu'' la ou l'énergie est nulle ou le temps est nul.
On tombe plus sur des limites mais ça peut aider dans certains cas.
Vous avez aussi parlé de vitesse nulle...c'est possible ça à part théoriquement ? Là encore, tout dépend du référent non ? De la même manière qu'on ne peut situer la position d'un objet dans l'Univers qu'en faisant référence à d'autres objets et non par rapport à l'Univers lui-même, comment peut on définir un objet sans mouvement, sans vitesse dans l'Univers ? Comment un objet pourrait être immobile dans un Univers en expansion ?
C'est quasiment mission impossible avec le système d'interprétation scientifique actuel. On va plus vers le ''tout est relatif'' donc il est très compliqué d'avoir un 0 (zéro) de type ''absolu''. D'où les mesures de type comparatif, bien que de fois on trouve des ''points'' de référence de ''genre absolu'' (comme le 0° absolu pour la température).
C'est pourquoi j'essaie de ''reconsidérer'' l'Univers comme étant défini par une fonction d'énergie et de temps : f(E,t) bien que ce ne pas le plus commode. Comme Bongo disait ci-dessus : le terrain est glissant et c'est un peu à la limite de nos connaissances.
Je remercie Bongo pour le fait qu'il a accepté de suivre cette conversation car il n'est pas aisé d'emprunter des chemins non-conventionnels. Ses critiques et observations sont très justes et bien ancrés dans la ''norme'' scientifique actuelle. C'est comme ça qu'on évite les déviations intellectuelles.
En revenant sur le référentiel j'ai le sentiment que si on garde les paramètres actuels on ne pourra pas sortir de cette relativité du mouvement (des vitesses plus précisément). Mais si on considère que la vitesse est une forme d'énergie et qu'on accepte de définir l'espace en conséquence on peut avoir ce zéro ''absolu'' la ou l'énergie est nulle ou le temps est nul.
On tombe plus sur des limites mais ça peut aider dans certains cas.