C'est pas la panachée mais on peut peut-être imaginer une expérience pour la mettre en évidence.Ok, postulons que la métrique s'écrive :
Je n'ai pas approfondi le sujet mais à partir du décalage des GPS il me semble que c'est jouable. Mais on peut y réfléchir encore.
ds² = F(r,t)c²dt² - dr² - r²dθ²-r²sin²θdφ²
Bon maintenant qu'est-ce qu'on fait ?
Sachant que c'est déjà le cas dans le cas particulier qui est le décalage gravitationnel du temps dans un champ de gravitation. Là on parle bien de cosmologie ? Donc on doit repartir des hypothèses d'homogénéité et d'isotropie. Il me semblait que la métrique FLRW était la plus générale possible pour ce genre d'hypothèse ?
Cette ''métrique'' du temps qui pourrait en être variable dans certaines cas est comme même à la base de pas mal des théories. On la considérant invariable pour la commodité de l'interprétation et de la compréhension me parait être à l'origine de zones d'ombre qu'on comble par des ''on dit''.Je pense qu'il faut reprendre la dérivation de cette métrique à partir des hypothèses initiales et voir en quoi l'on perd la généralité...
Pourquoi on colle cet effet à tout prix à l'expansion ? Juste à cause du Redshift ?Parce que c'est une conséquence naturelle de l'expansion. De plus le redshift est proportionnel à la distance des objets (vérifié par les céphéides par exemple).
Quelle autre interprétation tu verrais pour le redshift ?
On accepte que l'Univers est né d'une singularité (un point)Pas vraiment, on dit qu'en utilisant les équations de la relativité générale, et en extrapolant jusqu'à l'instant initial, il y a inévitablement une singularité. Les physiciens s'accordent pour dire que la RG n'est plus valable.
Ils nous disent (dans les écrits et à la télé) que l'd'énergie a eu plusieurs transformations en se refroidissant jusque 'a l'apparition des photons.Pas tout à fait, l'énergie peut se matérialiser en plusieurs types de particules si l'énergie est suffisante. Par exemple pour un électron, il faut 1 MeV ce qui correspond à une température. Pour un proton c'est 2 GeV.
Pour le photon, à n'importe quel moment il a pu se créer.
Notons cet instant.Si tu parles de l'instant où les photons ont pû se déplacer librement c'est 380 000 ans après le soit-disant instant 0.
Pouvons nous y croire ? Si oui on doit admettre qu'avant le temps n'y était pas.Non pas d'accord, pourquoi donner un rôle particulier au photon ?
Donc entre la singularité et l'instant marqué ci-dessus il y a une partie pendant laquelle il y a eu des transformations en dehors du temps. Est vous d'accord jusque la ?