• big bang, matiere noire ,energie sombre

  • Le Big Bang désigne l’époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a environ 13,7 milliards d’années, ainsi que l’ensemble des modèles cosmologiques qui la décrivent, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. Et vous, vous en pensez quoi ?
Le Big Bang désigne l’époque dense et chaude qu’a connue l’Univers il y a environ 13,7 milliards d’années, ainsi que l’ensemble des modèles cosmologiques qui la décrivent, sans que cela préjuge de l’existence d’un « instant initial » ou d’un commencement à son histoire. Et vous, vous en pensez quoi ?
 #49440  par Dick
 
bongo a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 12:00 Par contre si tu pars sur : la relativité est fausse...
En étudiant la RR, j’ai élaboré une théorie à l’insu de mon plein gré. Je me suis longtemps demandé où je me trompais car je trouvais un truc différent de la relativité einsteinienne. C’était impossible, car la RR est juste, certifiée et reconnue juste. J’ai toujours cherché des scientifiques capables de d’’évaluer ce truc. Comme il a été vérifié et décrété juste, je me suis demandé ce qui clochait dans celle d’Einstein.
T'as intérêt à avoir un dossier en béton armé...
T’inquiète pas, non seulement c’est béton (je t’en ferais part si tu veux) mais ma théorie vient remplacer la RR, je ne me suis pas encore attaqué à la RG.
En fait la relativité n'est pas qu'une théorie... c'est une sorte de méta théorie...
Elle constitue un paradigme.
toute théorie édifiée après doit être conforme à la relativité, dans le sens où être invariante par une transformation de Lorentz.
Il est vrai que j’ai eu du mal à trouver et à admettre que c’était faux. Tout un pan de la physique basée sur une erreur. C’est rigolo , nan ?
[C'est marrant, tous les ingés à la retraite qui n'ont rien compris en relativité veulent révolutionner ça...
Si elle est tant décriée c’est qu’ils sentent qu’elle est bancale. Ils ont une approche différente du mouvement de celle des physiciens, ils utisent les variables d’Euler alors que ces derniers se servent de celles de Lagrange. Ça n’a l’air de rien, mais ça change tout.
 #49442  par bongo
 
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 13:55J’ai toujours cherché des scientifiques capables de d’’évaluer ce truc.
Déjà qu’est-ce qui est faux dans la relativité ?
Et qu’est-ce que tu proposes à la place qui n’a pas été fait par d’autres ?
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 13:55T’inquiète pas, non seulement c’est béton (je t’en ferais part si tu veux) mais ma théorie vient remplacer la RR
Du coup quelle prédiction est différente de la relativité ? On peut peut-être monter une expérience pour discriminer entre les deux ?
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 13:55Il est vrai que j’ai eu du mal à trouver et à admettre que c’était faux. Tout un pan de la physique basée sur une erreur. C’est rigolo , nan ?
Ouais très marrant, surtout que couplé aux groupes de symétrie, on a des invariants qui apparaissent, tels que le spin, la masse, ou la prédiction de l’antimatière…
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 13:55Si elle est tant décriée c’est qu’ils sentent qu’elle est bancale. Ils ont une approche différente du mouvement de celle des physiciens, ils utisent les variables d’Euler alors que ces derniers se servent de celles de Lagrange. Ça n’a l’air de rien, mais ça change tout.
Si elle est tant décriée par des personnes extérieures, c’est parce que : elle est contre-intuitive, difficile à comprendre, et on s’attaque à un monument : Einstein. La relativité n’est pas décriée du tout chez les physiciens, pas comme l’interprétation orthodoxe de la mécanique quantique par exemple.
 #49445  par Dick
 
bongo a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 15:04Déjà qu’est-ce qui est faux dans la relativité ?
La théorie de la relativité s’appuie sur la transformation de Lorentz car elle est le garant du principe de relativité. On en déduit une contraction de la longueur d’un corps dans le sens du mouvement et une dilatation de la durée d’un phénomène pour un observateur situé dans un autre référentiel que celui où il se produit. Deux interprétations de ces conséquences sont alors proposées, dans l’une d’elles ces phénomènes sont réels, dans l’autre ils sont apparents (dûs à la perception). Deux interprétations pour une théorie c’est une de trop, de plus elles sont antagonistes, cela suffit à discréditer la théorie de la relativité restreinte, mais on peut examiner ces deux propositions.

D’après l’une d’elle, le temps se déroule moins vite dans un référentiel en mouvement par rapport à un autre référentiel. Soit deux référentiels distincts (i.e. en mouvement l’un par rapport à l’autre) R et R’. Si l’on considère que R est immobile alors le temps passe plus vite dans R que dans R’. À l’inverse, si l’on considère que R’ est immobile alors le temps passe plus vite dans R’ que dans R. Le temps s’écoulerait donc à la fois moins vite et plus vite dans un référentiel que dans un autre, ce qui est contradictoire. Cette proposition est donc à rejeter.
Dans la seconde interprétation, le temps mesuré par un observateur dans un référentiel diffère de celui où le phénomène se produit, c’est une durée apparente t’_i, appelé durée impropre, tel que t’_i = γ t’ (γ étant le facteur de Lorentz). Cette durée impropre est fonction de la vitesse relative des référentiels mais la durée propre d’un phénomène est invariante dans un changement de référentiel. D’après cette théorie le temps serait donc absolu, ce qui, en soi, n’est pas incohérent. Par contre ce qui est aberrant est que le temps t mis par un rayon lumineux pour parcourir une longueur L d’un référentiel R serait fonction de son inclinaison dans R pour un observateur situé dans un autre référentiel.
 #49448  par bongo
 
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 16:00
bongo a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 15:04Déjà qu’est-ce qui est faux dans la relativité ?
La théorie de la relativité s’appuie sur la transformation de Lorentz car elle est le garant du principe de relativité. On en déduit une contraction de la longueur d’un corps dans le sens du mouvement et une dilatation de la durée d’un phénomène pour un observateur situé dans un autre référentiel que celui où il se produit. Deux interprétations de ces conséquences sont alors proposées, dans l’une d’elles ces phénomènes sont réels, dans l’autre ils sont apparents (dûs à la perception). Deux interprétations pour une théorie c’est une de trop, de plus elles sont antagonistes, cela suffit à discréditer la théorie de la relativité restreinte, mais on peut examiner ces deux propositions.
Je ne comprends pas pourquoi tu dis qu’il y adeux interprétations possibles. Il y a deux observations faites dans deux référentiels différents. La contraction des longueurs c’est liée à la relativité de la simultanéité.
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 16:00D’après l’une d’elle, le temps se déroule moins vite dans un référentiel en mouvement par rapport à un autre référentiel. Soit deux référentiels distincts (i.e. en mouvement l’un par rapport à l’autre) R et R’. Si l’on considère que R est immobile alors le temps passe plus vite dans R que dans R’. À l’inverse, si l’on considère que R’ est immobile alors le temps passe plus vite dans R’ que dans R. Le temps s’écoulerait donc à la fois moins vite et plus vite dans un référentiel que dans un autre, ce qui est contradictoire. Cette proposition est donc à rejeter.
Et bien non en fait c’est pas ça.
En fait le temps ne passe pas plus vite dans R que dans R’ et vice versa.
R se considère au repos et va voir des horloges de R’ battre au ralenti par rapport à R.
De même R’ se considère au repos (pourquoi il en serait autrement ?), et va voir les horloges de R battre au ralenti par rapport à R’.

Il n’y a pas de contradiction. Pour qu’il y ait contradiction, il faudrait que tu puisses ramener les deux horloges au même point, ou bien arrêter le mouvement rectiligne uniforme l’un par rapport à l’autre pour comparer les deux horloges (et tenir compte de la durée de propagation du signal). Et je te renvoie vers le paradoxe de Langevin.
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 16:00Dans la seconde interprétation, le temps mesuré par un observateur dans un référentiel diffère de celui où le phénomène se produit, c’est une durée apparente t’_i, appelé durée impropre, tel que t’_i = γ t’ (γ étant le facteur de Lorentz). Cette durée impropre est fonction de la vitesse relative des référentiels mais la durée propre d’un phénomène est invariante dans un changement de référentiel. D’après cette théorie le temps serait donc absolu, ce qui, en soi, n’est pas incohérent.
Non, en fait c’est pas ça…
On va parler de l’événement A de coordonnées (tA,xA) et B de coordonnées (tB,xB) (on les suppose causaux). Avec des indices primés dans le référentiel R’.
Ce que dit la relativité, c’est que tB – tA différent de tB’ – tA’.
Par contre le truc qui est conservé c’est ce qu’on appelle le temps propre défini de la façon suivante :
Delta Tau = racine (ds²) = racine [ c²(tB-tA)² - (xB-xA)²] = racine [ c²(tB’-tA’)² - (xB’-xA’)²]
Dans le référentiel où A et B se produisent au même point (disons que c’est le référentiel R’’) alors xA’’ = xB’’ et donc
Delta Tau = racine (ds²) = racine [ c²(tB’’-tA’’)²]
C’est pour ça qu’on l’appelle le temps propre (celui lié au référentiel propre).
Dick a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 16:00Par contre ce qui est aberrant est que le temps t mis par un rayon lumineux pour parcourir une longueur L d’un référentiel R serait fonction de son inclinaison dans R pour un observateur situé dans un autre référentiel.
Ben… réfléchissons un peu.
Si on a deux lames A et B séparés d’une longueur L, un faisceau lumineux met une durée t=L/c.
Par contre… si je me déplace orthogonalement à AB, à une vitesse v, je vois le faisceau lumineux parcourir une certaine distance pendant une durée t’ : racine(c²t’² + v²t’²)
Puisque pendant la durée t’, le rayon parcourt une direction en biais dont la hauteur serait ct’ et la base vt’ (lié à mon déplacement).
Donc forcément il doit parcourir une distance plus grande.

C’est un peu comme si tu considères le trajet de la lune autour de la terre. La lune parcourt une portion d’arc de cercle de 380 000 km par exemple.
Mais vu du soleil, la lune est emporté par le mouvement de la terre à 30 km/s sur son orbite.

Tout comme moi qui marche dans un train, je parcours 90 m en 1 seconde vu du plancher des vaches, et par contre seulement 1 m/s vu par le contrôleur dans le train.


Du coup je parcours une même longueur pendant des durées différentes…
 #49449  par Dick
 
C’est normal, c’est même bien, que tu rejettes mes dires car
rejeter un paradigme sans lui en substituer un autre c’est rejeter la science elle-même..
Toutefois le temps mis par un rayon lumineux est t_i si la longueur est située dans le sens du mouvement, tel que
L = c t_i = γ c t et L = c t si elle est perpendiculaire au mouvement avec toute une gamme intermédiaire pour une orientation différente. Je sais bien que tu n’admettras pas cela car… voir ci-dessus.
 #49452  par Dick
 
bongo a écrit : lundi 7 octobre 2024 à 17:35 Je ne comprends pas pourquoi tu dis qu’il y adeux interprétations possibles.
Je ne dis pas qu’il y a deux interprétations possibles, mais que la relativité restreinte donne deux explications différentes de la dilatation des durées. Deux théories pour le prix d’une, il y en a une de trop.
De plus elles sont antagonistes, l’une affirme que le temps est relatif, l’autre qu’il est absolu.
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