Oui mais, c'est pour des situations différentes, dans le référentiel du laboratoire, avec mouvement de la source et du récepteur, ou bien dans le référentiel du récepteur, ou juste dans le réferentiel de la source.
On est dans le cadre du redshift, c’est à dire d’un mec qui observe les galaxies à l’aide d’un télescope. Si tu arrêtais de couper les cheveux en quatre dans le sens de la longueur, ce serait pas mal !
Dans ce cas, tu as plusieurs effets superposés :
le redshift cosmologique
le mouvement propre qui se décompose en mouvement propre longitudinal (à l'ordre 1 en v/c) et mouvement propre transversal (à l'ordre 2 en v/c)
un peu plus complexe que 1+z = H d / c
En fait le redshift est donné par le facteur d'échelle a qui est : a(t) = a_0 * (t/T_0)^(2/3)
à t=T_0 c'est aujourd'hui, et le facteur d'échelle vaut a_0 (que tu peux très bien mettre à 1 par convention).
Ensuite En fonction de la distance de l'objet, disons qu'il émet un photon à l'instant t_1, et qu'on le reçoit à l'instant T_0.
De fait le redshift est :
a(T_0) = a(t_1) = (T_0 / t_1)^(2/3)