Hello,
J'ai écrit un nouvel article, voir le lien: http://fr.calameo.com/books/000145333f8a711c60c7e.
Pour résumer j'ai dérivé l'équation de la propagation de la lumière dans un Univers en expansion en partant de la définition de la "comoving distance". Cette equation est intéréssante car elle définit un horizon de l'Univers visible.
Ensuite j'ai proposé une méthode numérique pour résoudre cette équation conjointement avec l'équation de Friedmann.
Voici les résultats:
(1) En utilisant les hypothèses du modèle lambda-cdm (introduction d'une constante cosmologique pour le vacuum energy density et courbure de l'epace mise à zéro) j'obtiens un horizon de l'Univers observable à redshift 1.6. Ce résulat est inconsistant avec les observtions, car on observe des galaxies de redshift 6.
(2) Une prédiction du modèle c'est qu'il existe une limite des redshifts observables pour des objects celestes.
J'ai écrit un nouvel article, voir le lien: http://fr.calameo.com/books/000145333f8a711c60c7e.
Pour résumer j'ai dérivé l'équation de la propagation de la lumière dans un Univers en expansion en partant de la définition de la "comoving distance". Cette equation est intéréssante car elle définit un horizon de l'Univers visible.
Ensuite j'ai proposé une méthode numérique pour résoudre cette équation conjointement avec l'équation de Friedmann.
Voici les résultats:
(1) En utilisant les hypothèses du modèle lambda-cdm (introduction d'une constante cosmologique pour le vacuum energy density et courbure de l'epace mise à zéro) j'obtiens un horizon de l'Univers observable à redshift 1.6. Ce résulat est inconsistant avec les observtions, car on observe des galaxies de redshift 6.
(2) Une prédiction du modèle c'est qu'il existe une limite des redshifts observables pour des objects celestes.
Dernière modification par cosmos le samedi 29 décembre 2012 à 02:11, modifié 2 fois.