je lis que plus les supernovae sont lumineuses plus leur luminosité décroit lentement au cours du temps après l'explosion. D'après ma lecture il s'agit d'une contraction du temps et non d'une dilatation du temps contrairement à ce qui est stipulé ici: http://arxiv.org/abs/0804.3595. Je m'explique si une supernovae est moins lumineuse ca veut dire qu'elle est plus éloignée. Or plus elles sont éloignées plus leur luminosité baisse rapidement. En supposant que toute les supernovae perdent leur luminosité dans un interval de temps donné ca veut dire que cet interval de temps s'est contracté quand il est arrivé à nous. On a donc on contraction du temps dans la flèche du temps et une dilatation du temps dans le sens inverse de la flèche du temps.
Je pense que ton hypothèse initiale : toutes les supernovae Ia ont une courbe de décroissance strictement identique est fausse.
Dans la thèse que tu as mentionnée, il est dit qu'il y a des variations de 40% sur leur luminosité intrinsèque (calibrée par des Céphéides).
C'est pourquoi les travaux de Riess, Perlmutter, et Guilde prennent en compte ces variations, et étudient justement ces variations dans différentes plages (B, V etc...) et avec des facteurs correctifs, permettent de rentrer ces types de décroissances dans des gabarits donnés. (cf. p 52).