Dans le lien suivant: http://supernova.lbl.gov/~natalia/Quark ... de0047.htm
je lis que plus les supernovae sont lumineuses plus leur luminosité décroit lentement au cours du temps après l'explosion. D'après ma lecture il s'agit d'une contraction du temps et non d'une dilatation du temps contrairement à ce qui est stipulé ici: http://arxiv.org/abs/0804.3595. Je m'explique si une supernovae est moins lumineuse ca veut dire qu'elle est plus éloignée. Or plus elles sont éloignées plus leur luminosité baisse rapidement. En supposant que toute les supernovae perdent leur luminosité dans un interval de temps donné ca veut dire que cet interval de temps s'est contracté quand il est arrivé à nous. On a donc on contraction du temps dans la flèche du temps et une dilatation du temps dans le sens inverse de la flèche du temps.
Dans cette thèse de doctora http://lpnhe-doctorants.in2p3.fr/upload ... -10-05.pdf il y a la dérivation de la formule standard de la distance lumineuse à la page 15 (qui est la même dérivation que l'original dans Weinberg: Gravitation and Cosmology). Il est écrit: "Ainsi des photons émis dans un intervalle de temp dt arriveront sur terre dans un intervalle (1+z)dt." Par conséquent le flux de luminosité doit être divisé par (1+z).
Ce qui me dérrange c'est que d'après les données des supernovae c'est exactement l'inverse qui se passe: des photons émis dans un intervalle de temps dt arrivent sur terre dans un intervalle plus court...
Est ce que j'ai manqué quelque chose?
Ca me semble suffisant pour justifier ma redefinition de la luminosity distance: re-definition-de-la-luminosity-distance-et-la-constante-de-hubble-t3394.html
je lis que plus les supernovae sont lumineuses plus leur luminosité décroit lentement au cours du temps après l'explosion. D'après ma lecture il s'agit d'une contraction du temps et non d'une dilatation du temps contrairement à ce qui est stipulé ici: http://arxiv.org/abs/0804.3595. Je m'explique si une supernovae est moins lumineuse ca veut dire qu'elle est plus éloignée. Or plus elles sont éloignées plus leur luminosité baisse rapidement. En supposant que toute les supernovae perdent leur luminosité dans un interval de temps donné ca veut dire que cet interval de temps s'est contracté quand il est arrivé à nous. On a donc on contraction du temps dans la flèche du temps et une dilatation du temps dans le sens inverse de la flèche du temps.
Dans cette thèse de doctora http://lpnhe-doctorants.in2p3.fr/upload ... -10-05.pdf il y a la dérivation de la formule standard de la distance lumineuse à la page 15 (qui est la même dérivation que l'original dans Weinberg: Gravitation and Cosmology). Il est écrit: "Ainsi des photons émis dans un intervalle de temp dt arriveront sur terre dans un intervalle (1+z)dt." Par conséquent le flux de luminosité doit être divisé par (1+z).
Ce qui me dérrange c'est que d'après les données des supernovae c'est exactement l'inverse qui se passe: des photons émis dans un intervalle de temps dt arrivent sur terre dans un intervalle plus court...
Est ce que j'ai manqué quelque chose?
Ca me semble suffisant pour justifier ma redefinition de la luminosity distance: re-definition-de-la-luminosity-distance-et-la-constante-de-hubble-t3394.html
Dernière modification par cosmos le vendredi 4 janvier 2013 à 14:11, modifié 3 fois.