Re: L'expansion de l'Univers : 5e force de l'Univers
Message non luPublié :lundi 6 juillet 2015 à 15:41
Un coup tu interprètes ma phrase en écrivant que je suis "imbu de ma personne" ( et toi alors, pffff, c'est celui qui le dit qui l'est ), un coup tu dis que je suis objectivement ignare, ce qui implique - implicitement - que je suis humble de le reconnaître. Mmmh, tu fais comme ça t'arranges en fonction du moment, donc... Bon, l'essentiel, c'est que je ne prenne pas mal tout ce que tu peux penser du pseudo "Rayon de soleil" qui apparaît sur ton écran (quel type de rapport peut-il avoir avec la personne que je suis réellement, dans ma vie non-virtuelle, à ton avis ? T'es-tu déjà posé la question ?)
Bon, j'ai bien lu toute la partie "scientifique" rigoureuse de ta dissertation épistémologique pamphlétaire, merci beaucoup, mais comme tu l'as compris je suis têtu et j'aime faire du sur-place, donc je me pose quand même encore des petites questions... Désolé.
J'ai compris, je crois (oups, désolé ça m'a échappé), ce qu'est l'équilibre hydrostatique d'une étoile, j'ai cherché sur Ecosia. C'est l'équilibre entre le poids (tourné vers l'intérieur) et la pression (tournée vers l'extérieur). Mais je me pose une question bête. S'il y a gravitation répulsive, le poids sera tourné dans l'autre sens, donc vers l'extérieur. Et pour obtenir notre équilibre hydrostatique, eh bien on donne à notre étoile une pression négative, et hop ! le tour est joué. Tout se tient, du début à la fin, on a juste mis des moins à la place des plus. Eh bien quoi, il paraît qu'on peut faire pareil avec le facteur temps dans les équations de la physique. Ou on peut le supprimer, je ne sais plus, comme s'il n'existait pas. Eh ! Je suis un petit malin, hein ? Bon, alors, Bongo, ne t'impatiente pas. Dis-moi simplement, et brièvement (inutile de rédiger des mémoires, tu perds ton temps, va droit au but comme moi ) pourquoi ma petite astuce ne marche pas.
Bon, allez, tant que j'y suis, et pour te remercier de ta patience et de ton dévouement pédagogique, je vais te filer une petite astuce qui pourrait expliquer le décalage vers le rouge observé sur les galaxies. En avant-première. Bon, c'est en chantier, c'est juste conceptuel, je te laisse mettre tout ça en équations, c'est ta spécialité à toi, moi c'est plutôt changer les couches (chacun son truc, et au fait, merci pour les félicitations, ça me rassure sur le fait que tu es un être sensible qui fait preuve de bon sens, et non pas un ordinateur qui aurait ingurgité toutes les équations de la physique contemporaine). Tu trouves que le redshift est magique ? Bravo pour ta capacité d'émerveillement. Et si ce qui était encore plus magique, c'était que RDS te donne aujourd'hui une explication qui sera retenue dans 157 ans environ ? Au fait, dans la vidéo "science étonnante", c'est un pote à toi ou c'est toi ? Ça correspond pour l'âge.
Eh bien il faut repartir de notre Univers sphérique, qui est très pratique, tout d'abord pour expliquer comment l'Univers peut être à la fois fini et sans bord. Vu que les amas de Galaxies sont répartis de façon homogène, il y aurait un problème s'il était infini : sa masse serait aussi infinie. Difficile de naître et de prendre de l'expansion avec une masse infinie et la gravitation par-dessus le marché.
Il faut avoir en tête qu'il existe quelque chose qui définit l'espace par rapport à d'autres réalités. En d'autres termes notre espace est contenu dans un autre "espace" doté d'une dimension supplémentaire. Il faut sortir de la représentation linéaire de l'espace à trois axes, X, Y et Z. Par exemple, si on ramène notre Univers à une sphère, donc à une surface à deux dimensions (2D), elle est contenu dans un espace à trois dimensions (3D).
Gardons cette image et représentons-nous maintenant ce qui est pour cette sphère l'équivalent d'une corde pour un cercle. C'est-à-dire des raccourcis qui passent par l'intérieur de la boule délimitée par la sphère. Imaginons maintenant que ces raccourcis puissent être les chemins empruntés par la lumière ou les ondes EM d'une galaxie à l'autre. En rejoignant la sphère, ces ondes ou ces rayons ont un angle d'incidence, un angle d'arrivée, à leur come back dans la 2D (image de la sphère) / 3D (en réalité). Eh bien cet angle d'arrivée va engendrer le décalage vers le rouge que nous observons. Idem pour les quasars et les pulsars, objets qui ne se situent pas dans notre Univers 3D, mais dans le 4D. Oui, vous savez, ces objets cosmiques étranges, dont on croit qu'ils se situent au beau milieu des espaces intergalactiques, vu leur fort décalage vers le rouge. Bon, je ne vous dis pas d'où je sors tout ça, bien sûr. C'est pas des lectures bonnes pour vous.
Roman, poésie, science sexuelle, pseudo-science, charlatanisme, embrouille ? Seul l'avenir le dira. Bon, Bongo, je fais ce que je peux. Mais je suis honnête, non ? J'essaie de faire donnant-donnant avec les moyens du bord. Alors, tu réponds à mon idée d'astuce du début de message, steup ?
Bon, j'ai bien lu toute la partie "scientifique" rigoureuse de ta dissertation épistémologique pamphlétaire, merci beaucoup, mais comme tu l'as compris je suis têtu et j'aime faire du sur-place, donc je me pose quand même encore des petites questions... Désolé.
J'ai compris, je crois (oups, désolé ça m'a échappé), ce qu'est l'équilibre hydrostatique d'une étoile, j'ai cherché sur Ecosia. C'est l'équilibre entre le poids (tourné vers l'intérieur) et la pression (tournée vers l'extérieur). Mais je me pose une question bête. S'il y a gravitation répulsive, le poids sera tourné dans l'autre sens, donc vers l'extérieur. Et pour obtenir notre équilibre hydrostatique, eh bien on donne à notre étoile une pression négative, et hop ! le tour est joué. Tout se tient, du début à la fin, on a juste mis des moins à la place des plus. Eh bien quoi, il paraît qu'on peut faire pareil avec le facteur temps dans les équations de la physique. Ou on peut le supprimer, je ne sais plus, comme s'il n'existait pas. Eh ! Je suis un petit malin, hein ? Bon, alors, Bongo, ne t'impatiente pas. Dis-moi simplement, et brièvement (inutile de rédiger des mémoires, tu perds ton temps, va droit au but comme moi ) pourquoi ma petite astuce ne marche pas.
Bon, allez, tant que j'y suis, et pour te remercier de ta patience et de ton dévouement pédagogique, je vais te filer une petite astuce qui pourrait expliquer le décalage vers le rouge observé sur les galaxies. En avant-première. Bon, c'est en chantier, c'est juste conceptuel, je te laisse mettre tout ça en équations, c'est ta spécialité à toi, moi c'est plutôt changer les couches (chacun son truc, et au fait, merci pour les félicitations, ça me rassure sur le fait que tu es un être sensible qui fait preuve de bon sens, et non pas un ordinateur qui aurait ingurgité toutes les équations de la physique contemporaine). Tu trouves que le redshift est magique ? Bravo pour ta capacité d'émerveillement. Et si ce qui était encore plus magique, c'était que RDS te donne aujourd'hui une explication qui sera retenue dans 157 ans environ ? Au fait, dans la vidéo "science étonnante", c'est un pote à toi ou c'est toi ? Ça correspond pour l'âge.
Eh bien il faut repartir de notre Univers sphérique, qui est très pratique, tout d'abord pour expliquer comment l'Univers peut être à la fois fini et sans bord. Vu que les amas de Galaxies sont répartis de façon homogène, il y aurait un problème s'il était infini : sa masse serait aussi infinie. Difficile de naître et de prendre de l'expansion avec une masse infinie et la gravitation par-dessus le marché.
Il faut avoir en tête qu'il existe quelque chose qui définit l'espace par rapport à d'autres réalités. En d'autres termes notre espace est contenu dans un autre "espace" doté d'une dimension supplémentaire. Il faut sortir de la représentation linéaire de l'espace à trois axes, X, Y et Z. Par exemple, si on ramène notre Univers à une sphère, donc à une surface à deux dimensions (2D), elle est contenu dans un espace à trois dimensions (3D).
Gardons cette image et représentons-nous maintenant ce qui est pour cette sphère l'équivalent d'une corde pour un cercle. C'est-à-dire des raccourcis qui passent par l'intérieur de la boule délimitée par la sphère. Imaginons maintenant que ces raccourcis puissent être les chemins empruntés par la lumière ou les ondes EM d'une galaxie à l'autre. En rejoignant la sphère, ces ondes ou ces rayons ont un angle d'incidence, un angle d'arrivée, à leur come back dans la 2D (image de la sphère) / 3D (en réalité). Eh bien cet angle d'arrivée va engendrer le décalage vers le rouge que nous observons. Idem pour les quasars et les pulsars, objets qui ne se situent pas dans notre Univers 3D, mais dans le 4D. Oui, vous savez, ces objets cosmiques étranges, dont on croit qu'ils se situent au beau milieu des espaces intergalactiques, vu leur fort décalage vers le rouge. Bon, je ne vous dis pas d'où je sors tout ça, bien sûr. C'est pas des lectures bonnes pour vous.
Roman, poésie, science sexuelle, pseudo-science, charlatanisme, embrouille ? Seul l'avenir le dira. Bon, Bongo, je fais ce que je peux. Mais je suis honnête, non ? J'essaie de faire donnant-donnant avec les moyens du bord. Alors, tu réponds à mon idée d'astuce du début de message, steup ?