Le Pitch, une sorte de résumé ?
Ben en fait, c'est une histoire à différents niveaux :
d'abord il s'agit d'une histoire sur une autre planète nommée Gizer, aux caractéristiques presques similaires à la Terre, où des hommes découvrent la "force vitale" contrôlable par la pensée qui leur permet de faire de la magie. Comme la vie est une organisation matérielle issue d'une instabilité contrôlée de la matière (c'est comme ça que je perçoit le phénomène de l'être vivant), "la force vitale" est une organisation de particules inférieures un peu comme la vie. En fait, dans cette histoire l'uivers est décrit selon une théorie décrite en plusieures dimensions, chacune contient des particules liées à des interactions diverses dans l'infiniment petit (le nombre d'interaction n'est pas limité à 4), mais ces particules sont aussi liées à d'autres propriétés physique qui leur permettent d'agir sur le dimensions supérieures. Ces particules sont nommées "snylecques" (nom complètement inventé). Dans cette théorie, les snylecques ont des périodes de mouvement vers les autres dimensions en fonction de plusieurs critèques non définis, en cette période ils "fuient" vers nos dimensions par tous les chemins possibles et un chemin est le favoris justement (ont pourraient les prendes un peu comme des âmes), elles fuient vers une matière norme prête à créer de la vie. C'est un peu complexe et ça peu paraitre incohérent alors passons au côté histoire.
Dans une célèbre bibliothèque (Sanghet). Le chef du mouvement et de la bibliothèque découvre par hasard qu'il contrôle des pouvoirs avec difficulté toutefois. Il se rend compte que ces pouvoir sont accessibles à tous ! La défouverte, l'expérimentation et l'apprentissage de la magie se développe alors et permet aussi le développement accéléré des technologies. Cette magie résulte d'une utilisation de l'énergie des snylecques. Mais si vous voulez le détail de la suite de l'histoire vous pouvez me demander, je vous l'enverrez. C'est un peu long à écrire. Ouff ! Voilà.
Il y a 27 pages (en comptant les trois parties) dans mon livre plus des idées non écrites encore.
M. Laurens