J'ai planché sur la question mais je vais être mise au piquet avec un bonnet d'âne car j'ai pas remis la copie en temps et en heure. J'étais pas vraiment disposée à réfléchir là dessus.
J'ai trouvé assez bizarre au départ cette phrase "les grandeurs de Planck" et pourtant c'est juste puisque l' Univers contient en son sein des dimensions macroscopiques et microscopiques (de la galaxie à l' hortensia) et qu'elles étaient contenues au Temps de Planck dans un, 1, Tout = 1, tout = 1, 1 = la particule élémentaire. Quel heureux hasard ! Déjà, cette prise de conscience de la particule élémentaire au commencement, c'est assez bluffant. Le 1 contenait TOUT y compris vous et moi.
4 forces fondamentales, nucléaire faible, nucléaire fort, électro-magnétisme, gravitation, dont UNE se détache avec l' adhésion des 3 autres. Si les 2 particules supplémentaires n'avaient pas existé, l' Univers n'aurait pas existé.
C'est quand même assez difficile d'imaginer que dans cette perfection de création puisse exister le hasard ? C'est étrange ! Une liberté de parole ?
Certains y verront de la physique pure mais on peut aussi y voir une intelligence de la particule. La particule était codée et contenait un vaste programme.
D'un côté, impossible de remonter avant l' Ere de Planck, comme si nous butions sur une donnée évidente : le commencement. Avant, rien ! Et, dans ce commencement il y a tous les ingrédients pour créer l' Univers. Le microscopique va donner naissance au macroscopique.
C'est assez difficile à appréhender cette notion de "Avant, rien" et, après, TOUT, nous en avons parlé à maintes reprises sur le forum car nous nous heurtons toujours à la même question, sans cesse repoussée : pourquoi cette étincelle de vie a jailli de la particule ? Je pense que c'est peine perdue et que nous n'aurons jamais la réponse. Nous pouvons donc donner la réponse qui nous convient, par conviction ou parce que la nature humaine a horreur du vide.
De l'autre, un espace qui paraît infini mais qui pourrait être une illusion d'optique et pourrait nous faire penser que l'espace est moins vaste qu'il n'y paraît (visite de nos amis les extra-terrestres). Y a t'il autant d'espace dans une autre dimension qui se trouverait dans la notre ? Les grilles du temps ?
Cet espace serait fini, cyclique, le compte à rebours nous ramenant au Temps de Planck, de la macro à la micro, la boucle est bouclée, tout à une fin et tout n'est que recommencement. Nous ne pouvons, par définition et mathématique donner une réalité à l'infini, l'infini ne peut être appréhendé puisque qu'il est par nature infini.
Une sphère qui se contracte et qui se dilate, avec un rythme à trois temps, passé - présent - futur - des strates superposées, un kaléidoscope avec des dimensions invisibles au regard de notre physiologie mais qui seraient à côté de nous. A la fois dans et en dehors. Les galaxies d'ailleurs sont invisibles à nos yeux tant que leur lumière n'a pas encore eu le temps de nous parvenir.
Je dirais qu'il n'y a pas de frontière délimitée entre la physique (réalité-abstrait) et la quantique (abstrait-réalité) mais une décohérence basculant au fur et à mesure avec une polarité + ou -, un zoom. Nous avons la même perception tous les 3 sur la décohérence.
Qu'est ce qui est le plus réel, en réalité, ce que nous voyons ou ce qui est invisible à nos yeux ? Notre notion du réel est basé sur la perception de nos sens mais ce n'est pas dit que dans une autre dimension la perception de la réalité, telle que nous pouvons l'appréhender, soit tout à fait différente.
Je pense que nous sommes partie intégrante de la BIG PARTICULE, c'est pourquoi je lui donne une forme sphérique (la tête d'épingle) une particule en suspension (la Terre et tout l' Univers), en devenir (notre avenir, notre évolution), où les notions de fini et d'infini (l'espace)n'existent pas mais où la fin signifie le commencement. C'est très bizarre comme notion pour une approche scientifique mais en même temps ce n'est pas contradictoire car c'est une approche tellement humaine, intrinsèquement liée. La science n'a de valeur que si elle est bien orientée, à des fins de pacification.
C'est comme si j'étais dans un agitateur de particules et, suivant le mouvement je me déplace sur un tapis roulant.
Pourriez-vous répondre à ma question sur la décohérence de la particule. S'il n'y a pas d'infini, mais un fini, qui est rien et qui est tout (1) la particule décohère jusqu'à temps qu'elle disparaisse pour n'être rien mais comme ce rien est un tout, ce rien invisible à nos yeux est il à son tour un tout dans une autre dimension ou est il réinjecté dans notre dimension, tout ou partie de rien, un big bang virtuel ?
Le temps serait il une éternité ? Quantique ?

L'infini peut être réel mais pas dans une conception d'espace, une conception de temps.
Avec une construction intellectuelle différente, je m' aperçois que nous arrivons à la même conclusion. :tooth: :roll:
