Bonjour,
Je me permet de partager avec vous une petite réflexion d’ordre purement intellectuel, qui me turlupinait depuis quelques temps, et dont je viens de trouver un aboutissement. Je souhaite donc vous la présenter pour recueillir vos avis (indépendamment de mes croyances personnelles, quelles qu’elles soient). En effet, même si l’exercice semble assez délicat, rien n’empêche a priori de s’essayer à appliquer une vision purement cartésienne au domaine de Dieu…
A l’origine, ce n’était pas tant une démonstration de l’existence (ou de l’inexistence) de Dieu qui m’intéressait, mais plutôt celle de l’âme (selon une définition assez ‘usuelle’ du terme). Et en l’occurrence, je pensais bien détenir une démonstration de son « absence » !
Pour l’illustrer, imaginons le questionnaire (fictif) suivant, destiné à prouver l’inexistence de Dieu :
- Croyez-vous en Dieu ? (si négatif, pas la peine de continuer le test)
- Croyez-vous en l’âme ? (a priori oui si la 1ère réponse est positive, sinon quel intérêt d’avoir un Dieu ?)
- Croyez-vous que (c’est là que ça devient intéressant) votre âme puisse influencer votre comportement, voire votre intuition ?
- Réponse A : non ! On pourrait dire que l’âme est donc comme un auréole suspendue comme un trophée au dessus de votre tête (si l’on peut dire). On peut donc raisonnablement s’interroger quant à son intérêt, puisque dans ce cas, elle ne « sert » à rien (pas même à vous montrer le bon « chemin »)
- Réponse B : Oui ! Votre âme peut influencer votre comportement (voire correspondre à ce que l’on appelle habituellement votre « libre arbitre »). Par ailleurs, tout votre comportement, vos muscles, sont commandés par le cerveau. Le cerveau est formé de neurones, de molécules, d’atomes, d’influx nerveux, de signaux électriques… Bref, de phénomènes exclusivement physiques (jusqu’à preuve du contraire). Et par voie de conséquence, si l’âme devait avoir une influence quelconque, cette influence se traduirait nécessairement par un impact sur la physique (à savoir la matière, l’énergie..). Or, il devient délicat d’imaginer un phénomène externe à la physique, dont l’effet serait réel sur la matière, mais dont l’influence serait non détectable ! Même si l’existence de l’âme n’était pas mesurable, on pourrait a priori imaginer pouvoir mesurer son influence (un peu à la façon du boson de Higgs, indétectable, mais dont on parvient à mesurer les effets indirects de sa présence).
Là résidait donc cette « preuve ». Je croyais donc tenir une démonstration « solide » (dont je ne parvenais toutefois pas à me résoudre)
Voilà qu’il y a quelques jours, j’ai relu quelques éléments de mécanique quantique. En l’occurrence l’expérience du Chat de Schrödinger. Dans le cas d’une particule, les postulats décrivent des particules présentes à plusieurs endroits ‘à la fois’. Restreint au cas d’un atome radioactif, rien ne permet de connaître le moment exact de sa désintégration. J’ai déjà découvert qu’il n’existait même aucun consensus des physiciens à l’heure actuelle dans l’interprétation de ce « paradoxe » (si on peut l’appeler ainsi).
Quand bien même l’expérience serait réalisable, les lois actuelles de la physique donne un chat à la fois mort et vivant dans une boite, jusqu’à ce que la constatation vienne ‘figer’ le résultat. Certains scientifique ont également imaginé qu’en tout instant le monde se décompose en une infinité d’univers parallèles.
Et là, ce fut une révélation en rapport à ma démonstration. Il existe donc un espace de liberté entier, dont personne ne connaît les ressorts, caché au cœur de toute particule de l’univers !
Et en conséquence, cet espace de liberté (qui s’exprime dans le cas du chat de Schrödinger par l’instant exact de la décomposition d’une particule radioactive) pourrait donc receler l’influence d’une entité externe (cela ne paraît « a priori » pas très scientifique, mais devant cette incompréhension, certains physiciens vont même jusqu’à faire intervenir des paramètres non mesurables ! Je reste donc dans le même registre) !! Ce serait précisément un phénomène physique, compatible avec les lois physique connues, dans lequel l’influence de l’âme pourrait précisément s’inscrire. Et si cette influence s’exprimait sur toutes particules de la matière, elle disposerait d’un pouvoir fantastique.
Cet argument semble donc tuer net ma démonstration précédente. Libre à chacun d’en tirer une conclusion (selon son libre-arbitre !)
A défaut de prouver l’existence de Dieu, voici toujours un contre-argument à la démonstration de son inexistence.
Soupçonnant un effet caché ou une incompréhension physique, Einstein avait conclu « Dieu ne joue pas au dés !! ». Mais, la question ne serait-elle pas au contraire : « Et si Dieu était dans le dé » ?
Je me permet de partager avec vous une petite réflexion d’ordre purement intellectuel, qui me turlupinait depuis quelques temps, et dont je viens de trouver un aboutissement. Je souhaite donc vous la présenter pour recueillir vos avis (indépendamment de mes croyances personnelles, quelles qu’elles soient). En effet, même si l’exercice semble assez délicat, rien n’empêche a priori de s’essayer à appliquer une vision purement cartésienne au domaine de Dieu…
A l’origine, ce n’était pas tant une démonstration de l’existence (ou de l’inexistence) de Dieu qui m’intéressait, mais plutôt celle de l’âme (selon une définition assez ‘usuelle’ du terme). Et en l’occurrence, je pensais bien détenir une démonstration de son « absence » !
Pour l’illustrer, imaginons le questionnaire (fictif) suivant, destiné à prouver l’inexistence de Dieu :
- Croyez-vous en Dieu ? (si négatif, pas la peine de continuer le test)
- Croyez-vous en l’âme ? (a priori oui si la 1ère réponse est positive, sinon quel intérêt d’avoir un Dieu ?)
- Croyez-vous que (c’est là que ça devient intéressant) votre âme puisse influencer votre comportement, voire votre intuition ?
- Réponse A : non ! On pourrait dire que l’âme est donc comme un auréole suspendue comme un trophée au dessus de votre tête (si l’on peut dire). On peut donc raisonnablement s’interroger quant à son intérêt, puisque dans ce cas, elle ne « sert » à rien (pas même à vous montrer le bon « chemin »)
- Réponse B : Oui ! Votre âme peut influencer votre comportement (voire correspondre à ce que l’on appelle habituellement votre « libre arbitre »). Par ailleurs, tout votre comportement, vos muscles, sont commandés par le cerveau. Le cerveau est formé de neurones, de molécules, d’atomes, d’influx nerveux, de signaux électriques… Bref, de phénomènes exclusivement physiques (jusqu’à preuve du contraire). Et par voie de conséquence, si l’âme devait avoir une influence quelconque, cette influence se traduirait nécessairement par un impact sur la physique (à savoir la matière, l’énergie..). Or, il devient délicat d’imaginer un phénomène externe à la physique, dont l’effet serait réel sur la matière, mais dont l’influence serait non détectable ! Même si l’existence de l’âme n’était pas mesurable, on pourrait a priori imaginer pouvoir mesurer son influence (un peu à la façon du boson de Higgs, indétectable, mais dont on parvient à mesurer les effets indirects de sa présence).
Là résidait donc cette « preuve ». Je croyais donc tenir une démonstration « solide » (dont je ne parvenais toutefois pas à me résoudre)
Voilà qu’il y a quelques jours, j’ai relu quelques éléments de mécanique quantique. En l’occurrence l’expérience du Chat de Schrödinger. Dans le cas d’une particule, les postulats décrivent des particules présentes à plusieurs endroits ‘à la fois’. Restreint au cas d’un atome radioactif, rien ne permet de connaître le moment exact de sa désintégration. J’ai déjà découvert qu’il n’existait même aucun consensus des physiciens à l’heure actuelle dans l’interprétation de ce « paradoxe » (si on peut l’appeler ainsi).
Quand bien même l’expérience serait réalisable, les lois actuelles de la physique donne un chat à la fois mort et vivant dans une boite, jusqu’à ce que la constatation vienne ‘figer’ le résultat. Certains scientifique ont également imaginé qu’en tout instant le monde se décompose en une infinité d’univers parallèles.
Et là, ce fut une révélation en rapport à ma démonstration. Il existe donc un espace de liberté entier, dont personne ne connaît les ressorts, caché au cœur de toute particule de l’univers !
Et en conséquence, cet espace de liberté (qui s’exprime dans le cas du chat de Schrödinger par l’instant exact de la décomposition d’une particule radioactive) pourrait donc receler l’influence d’une entité externe (cela ne paraît « a priori » pas très scientifique, mais devant cette incompréhension, certains physiciens vont même jusqu’à faire intervenir des paramètres non mesurables ! Je reste donc dans le même registre) !! Ce serait précisément un phénomène physique, compatible avec les lois physique connues, dans lequel l’influence de l’âme pourrait précisément s’inscrire. Et si cette influence s’exprimait sur toutes particules de la matière, elle disposerait d’un pouvoir fantastique.
Cet argument semble donc tuer net ma démonstration précédente. Libre à chacun d’en tirer une conclusion (selon son libre-arbitre !)
A défaut de prouver l’existence de Dieu, voici toujours un contre-argument à la démonstration de son inexistence.
Soupçonnant un effet caché ou une incompréhension physique, Einstein avait conclu « Dieu ne joue pas au dés !! ». Mais, la question ne serait-elle pas au contraire : « Et si Dieu était dans le dé » ?