En 2009 j’ai visité l’Argentine et plus précisément le territoire de Mendosa, Une loi internationale demande à tout pays qui vend de l’uranium de récupérer les déchets, l’Argentine a arrêté d’exporter de l’uranium pour ne plus récupérer les déchets. Mendosa est un plateau grand comme la France situé à 1500m d’altitude, une terre rouge baignée par un soleil permanent et irrigué par les eaux de fonte du pôle sud et par la cordillère des Andes, le grenier des cultures de ce pays. Ces eaux de fonte forment ces magnifiques fleuves qui se déversent dans toute l’Amérique du sud et centrale et notamment sur l’Amazonie. Au centre du plateau un immense volcan en sommeil, au fond de son cratère des millions de futs d’uranium à la merci des intempéries, à ciel ouvert, aucun reportage télévisé ne révèle cette catastrophe potentiel. J’ai eu une idée ou peut être une révélation en voyant cette abomination. De retour de vacance j’ai fait calculer la décente d’un solide dans un liquide par rapport à leurs densité et à leur résistance à la chaleur. La terre possède une 12ène de volcans de silice (les volcans de silice étant les seuls à être assez fluides pour cette réalisation), l’Argentine en possède 3, le chili 3, la France 1), de plus ces volcans doivent êtres en activité et posséder une cheminé verticale, certains de ces volcans sont immergés sous les océans. Les quantités d’uranium que l’on peut trouver sur la surface de la croute terrestre ne représente que des traces par rapport aux quantités d’uranium que la terre possède en son centre, ceci est explicable par le fait que l’uranium est l’une des matières les plus dense qui existe et à été attiré aux centre de la terre de ce fait lors de la formation de la planète. Les radiations de tous ces déchets ne sont qu’une goutte d’eau dans un océan comparé aux radiations du centre de la terre, n’oublions pas que la terre est une immense machine nucléaire. Si l’on plonge les futs d’uranium dans une cheminé active d’un volcan de silice, les futs descendront automatiquement vers le centre de la terre de part leur gravité. J’ai plusieurs moyens sans risque pour ce transfert. Aujourd’hui les volcanologues sont capables de prévoir avec quelques jours d’avances une éruption, ce qui est le seul risque qui pourrait cour circuiter la descente des futs. Si mes calculs sont exacte, le fut s’ouvrirait au bout de 80 mètres de descente dans le magma, non pas à cause de l’uranium mais à cause du métal contenu dans le béton armé des futs ; A cette distance il n’y a plus de risque de remonté de radiation, l’uranium continu sa descente, le béton se mélange au magma.

Ta découverte des fûts pourraient en tous cas intéresser certains médias indépendants, comme Nexus, ou la radio en ligne de Bob, qui animait sur Sud Radio une émission du genre "on nous cache tout".
Quant à moi, je m'intéresse aux travaux de Jean-Paul Bibérian sur les transmutations. Ce professeur d'université à Aix-Marseille travaille sur des moyens de transmuter les déchets radioactifs notamment pour les rendre inoffensifs.
