LA REDOUTABLE "QUESTION" QUE POSAIT L'INQUISITION (2è exercice : logique niveau collège)
Message non luPublié :lundi 24 septembre 2018 à 05:07
Quand cesseras-tu de blasphémer Dieu ?
Telle était la [fausse] redoutable question que s'acharnaient à poser et répéter sans cesse ses serviteurs zélés, jusqu'à piéger (ô combien facilement) ceux qui étaient tombés entre leurs griffes; et qui de lassitude, après avoir vainement clamé leur innocence, finissaient par répondre :
je cesserai dès aujourd'hui, ou dès à présent, ou ....
"Tu avoues donc avoir blasphémé le Seigneur", leur rétorquait aussitôt le [satanique] serviteur ..... du diable !
Et le malheureux accusé, ne sachant plus quoi répondre (après avoir été longuement "travaillé au corps"), aggravait son cas, en réclamant son pardon, ou l'indulgence à son [ignoble] accusateur, qui n'attendait que cet instant, pour l'envoyer au bûcher !!
J'ai souvent réfléchi à la réponse qu'il fallait donner en pareille situation, et plaint les innombrables victimes historiques de cette vicieuse question.
J'ai trouvé deux réponses à la question :
une insolente, que je vais vous indiquer, et une absolument imparable*, que je vous invite à trouver par vous-mêmes, en exerçant votre sagacité ...
(*) comme la réponse bien connue, que doit donner le voyageur qui rencontrait le sphinx dans le désert ...
Réponse [insolente] à donner au serviteur de l'inquisition qui poserait "la question" :
aussitôt que vous cesserez vous-même(s) de le faire ! (cette réponse ô combien vraie, ne risque pas de vous sauver, bien au contraire)
À présent c'est à vous de "jouer" (avec votre vie), et d'élaborer une réponse [pas trop longue], et qui clouera infailliblement le bec, à l'oiseau de mauvaise augure (sic) !!
Telle était la [fausse] redoutable question que s'acharnaient à poser et répéter sans cesse ses serviteurs zélés, jusqu'à piéger (ô combien facilement) ceux qui étaient tombés entre leurs griffes; et qui de lassitude, après avoir vainement clamé leur innocence, finissaient par répondre :
je cesserai dès aujourd'hui, ou dès à présent, ou ....
"Tu avoues donc avoir blasphémé le Seigneur", leur rétorquait aussitôt le [satanique] serviteur ..... du diable !
Et le malheureux accusé, ne sachant plus quoi répondre (après avoir été longuement "travaillé au corps"), aggravait son cas, en réclamant son pardon, ou l'indulgence à son [ignoble] accusateur, qui n'attendait que cet instant, pour l'envoyer au bûcher !!
J'ai souvent réfléchi à la réponse qu'il fallait donner en pareille situation, et plaint les innombrables victimes historiques de cette vicieuse question.
J'ai trouvé deux réponses à la question :
une insolente, que je vais vous indiquer, et une absolument imparable*, que je vous invite à trouver par vous-mêmes, en exerçant votre sagacité ...
(*) comme la réponse bien connue, que doit donner le voyageur qui rencontrait le sphinx dans le désert ...
Réponse [insolente] à donner au serviteur de l'inquisition qui poserait "la question" :
aussitôt que vous cesserez vous-même(s) de le faire ! (cette réponse ô combien vraie, ne risque pas de vous sauver, bien au contraire)
À présent c'est à vous de "jouer" (avec votre vie), et d'élaborer une réponse [pas trop longue], et qui clouera infailliblement le bec, à l'oiseau de mauvaise augure (sic) !!