Ce que je veux dire, c'est que si le temps et l'espace sont relatifs, ça me parait difficile d'avoir des références communes avec des référentiels différents.
Effectivement, là je comprends beaucoup mieux ta remarque.
Je pense que les effets relativistes de contraction des longueurs peuvent être négligeable entre civilisations qui peuvent communiquer ensembles, puisque résidents de la même galaxie. Je vois mal une communication avec d'autres civilisations dans d'autres galaxies.
Non pour moi la raie 21 cm est une bonne unité, c'est le première atome, le plus simple, le plus courant dans l'univers et en grande quantité.. Sa transition hyperfine est un phénomène fondamental qui doit être facilement compris par une civilisation capable d'observer les caractéristiques de la lumière venant de l'espace.
C'est le message de Carl Sagan, qu'on communiquerait sur ce canal privilégié.
Oui, je pensais à la limite de Chandrasekhar, mais je pensais qu'elle ne pouvait pas être une valeur précise (1.44 Msol) car je pensais que les naines blanches avaient toutes une composition différente, dépendente de leur étoile initiale. Est-ce que le diamètre d'une naine blanche à la limite de Chandrasekhar est une constante ?
Cette masse est surtout théorique, et peu opérationnel. C'est-à-dire qu'il faut aller chercher une naine blanche, la remorquer jusqu'à une étoile comportant du gaz à prélever, ensuite nourrir la naine blanche jusqu'à la limite de Chandrasekhar... je me vois mal faire ça.
Je préfère quelque chose lié aux lois de la nature.
En fait pour le rubidium j'en avais entendu parler (technologie exploitant la fontaine atomique), mais selon les dernières news, une équipe a réussi à concevoir une horloge encore plus précise.
http://www.lemonde.fr/sciences/article/ ... 50684.htmlLa dernière née des horloges atomiques s'appuie sur quelque 10 000 atomes d'ytterbium refroidis un peu au-dessus du zéro absolu (– 273,15 °C). Ces atomes sont piégés dans des puits optiques formés de rayons laser. Un autre laser "bat" 518 000 milliards de fois par seconde, créant une transition entre deux niveaux d'énergie dans les atomes qui assure une vibration d'une régularité encore plus grande qu'avec un atome de césium et pourrait conduire à une nouvelle définition internationale de la seconde et donc du temps universel.