Salut à tous 
Comme vous le savez tous, une équipe d’astronomes de l’OFXB (Observatoire François-Xavier Bagnoud) de Saint-Luc (Suisse) a réussi l’exploit de mettre à jour la structure interne d’une planète extra-solaire : GJ436b. C’est une première mondiale !
Cette planète est connue depuis 2004, ce n’est pourtant que 3 ans plus tard que nous avons eu la chance de pouvoir assister à un transit de la planète autour de son étoile, condition nécessaire à l’interprétation de sa composition.
Les transits ont été repérés par l'OFXB, puis confirmés par un observatoire israélien, et mesurés avec précision par le télescope Euler de l'Observatoire de Genève au Chili.
Nous avons donc eu la surprise de découvrir une planète essentiellement constituée de glace d’eau chaude ! Cet état physique n’existe pas sur Terre, car il nécessite une pression gigantesque pour que l’eau se stabilise à l’état solide (70 000 bar).
J’ai eu la chance de pouvoir recueillir le témoignage et les impressions de Frédéric Mallmann, responsable de l’OFXB et membre de l’équipe, qui nous révèle les conditions de la découverte.
Je vous invite à lire cette interview sur cette page de mon site web :
Vos commentaires sont les bienvenus
Comme vous le savez tous, une équipe d’astronomes de l’OFXB (Observatoire François-Xavier Bagnoud) de Saint-Luc (Suisse) a réussi l’exploit de mettre à jour la structure interne d’une planète extra-solaire : GJ436b. C’est une première mondiale !
Cette planète est connue depuis 2004, ce n’est pourtant que 3 ans plus tard que nous avons eu la chance de pouvoir assister à un transit de la planète autour de son étoile, condition nécessaire à l’interprétation de sa composition.
Les transits ont été repérés par l'OFXB, puis confirmés par un observatoire israélien, et mesurés avec précision par le télescope Euler de l'Observatoire de Genève au Chili.
Nous avons donc eu la surprise de découvrir une planète essentiellement constituée de glace d’eau chaude ! Cet état physique n’existe pas sur Terre, car il nécessite une pression gigantesque pour que l’eau se stabilise à l’état solide (70 000 bar).
J’ai eu la chance de pouvoir recueillir le témoignage et les impressions de Frédéric Mallmann, responsable de l’OFXB et membre de l’équipe, qui nous révèle les conditions de la découverte.
Je vous invite à lire cette interview sur cette page de mon site web :
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